Dernier ajout : 16 janvier.
Joyeux Noël avec Kingdom New Lands !
Je vous reparle du jeu très vite !
Edit : Quelques mois plus tard sort enfin la version boite de Kingdom New Lands, qui regroupe également sa suite, Kingdom Two Crowns, dans une compilation appelée Kingdom Majestic !
On fait le point en vidéo !
Avant de vous livrer mes jeux de l’année 2019, je reviens sur les autres jeux qui sont sortis cette année sur Switch, mais pour lesquels je n’ai pas emboité le pas. Un petit hommage, puisqu’il s’avère que j’oublie souvent ces jeux avec le temps qui passe.
Super Mario Maker 2 : Ma Preview du jeu
Sorti en juin alors que j’étais en plein périple sur les différents Final Fantasy, Super Mario Maker 2 a pu faire le bonheur des fans de cette licence née sur Wii U en 2015. Pour ma part j’avais aimé le premier épisode, mais sans plus. Je pense que j’aurais aimé faire le mode histoire du jeu, afin de pouvoir goûter aux niveaux concoctés par les développeurs de chez Nintendo.
Tetris 99
Sorti en février 2019, Tetris 99 est un jeu gratuit pour les possesseurs d’un abonnement Nintendo Switch Online. Succès incroyable, le jeu propose de mettre en compétition 100 joueurs de Tetris qui s’affrontent en ligne pour la survie. J’y ai joué un petit peu, mais je n’ai jamais été très compétiteur, donc j’ai vite laissé tomber. Le jeu est sorti en septembre en version boite et dispose d’un mode solo offline (disponible via dlc en ligne). Je pourrais éventuellement me laisser tenter.
Cadence of Hyrule
Joli spin-of du jeu d’aventure rythmique Crypt of the NecroDancer, Cadence of Hyrule est le mariage du jeu indépendant et de la licence la plus prestigieuse de Nintendo. Ses graphismes sont superbes. Ses musiques sont démentielles. Mais pour ce qui est du gameplay, ça passe ou ça casse. N’ayant pas le sens du rythme, je n’ai pas pu m’amuser autant que je le voulais en essayant la démo, et ce même en mode "arythmique". Dommage pour moi !
Fire Emblem Three Houses
Encore un mis de côté du fait des Final Fantasy, et pourtant, en cette fin d’année, Fire Emblem Three Houses semble faire l’objet d’un véritable plébiscite. L’autre problème pour moi est sans doute d’avoir fait trop d’épisodes de cette série ces dernières années : Fire Emblem Fates, Echoes, Warriors pour ne citer que les derniers. J’aimerais beaucoup y jouer, mais l’engagement d’une centaine d’heures minimum me fait un peu peur (dit le gars qui vient de passer cent heures sur Pokémon Épée !...)
Astral Chain : Ma Preview E3 du jeu
Sorti à la fin de l’été, Astral Chain semble avoir pas mal passionné les joueurs qui s’y sont frotté. Pour ma part, passé la preview réalisée à l’E3 d’après une présentation de gameplay, je n’ai pas été plus que ça convaincu. Chez Platinum Games, j’aime bien Bayonetta (1 et 2), mais le beat’em all furieux n’est pas mon genre préféré non plus. J’ai donc passé, lui et dans un autre genre le Daemon X Machina de Marvelous sorti début septembre et dont la démo ne m’avait particulièrement emballé.
Dragon Quest S Les Combattants de la destinée – Édition ultime
Je n’ai jamais été un grand fan des Dragon Quest. Néanmoins la présence d’une démo de Dragon Quest S Les Combattants de la destinée – Édition ultime m’a permis de m’essayer au début du jeu... et de confirmer que la série n’est pas particulièrement pour moi. Je suis plus à l’aise dans l’univers Pokémon !
Untitled Goose Game
Si je devais citer tous les jeux uniquement disponibles sur l’eShop à côté desquels je suis passé on ne s’en sortirait pas. Je pourrais citer The Stretchers ou encore The Tourist. Le plus drôle restera sans conteste Untitled Goose Game sorte de jeu d’infiltration qui nous met dans la peau d’une oie très farceuse.
Mise à jour : ce fut mon "jeu des fêtes" pour quelques heures de drôlerie
Mise à jour 2 : la première vidéo de 2020 lui est consacré !
The Witcher 3 : Wild Hunt - Complete Edition
Cette année 2019 a vu naître de nombreux portages de titres triple AAA sortis sur d’autres supports ces dernières années. Le plus impressionnant reste sans doute celui de The Witcher 3 : Wild Hunt. Prouesse technique pour certains, version au rabais pour d’autres, j’avoue être toujours aussi tenté par l’aventure. Possédant le jeu sur PS4, je pense que The Witcher 3 sera un de mes jeux de rattrapage de 2020.
Et je n’ai même pas parlé de jeux mobile sortis en 2019 comme Mario Kart Tour ! C’est à voir dans l’article consacré aux jeux mobile 2018-2019 !
Mon année 2019 sur Switch a été plutôt drôle : j’ai privilégié les petits jeux et les portages plutôt que les titres majeurs proposés. Je vous propose de revivre tout ça dans mon article à venir sur mes jeux de 2019 !
J’avais envie de faire un article focalisé sur les jeux PS4 que j’ai faits cette année car hormis Shenmue III ce sont tous des jeux sortis il y a déjà quelques temps. Vous ne les retrouverez donc pas forcément dans l’article à venir sur les jeux 2019, qui promet d’être très très fourni !
Après des débuts sur la console en 2018 avec Shenmue HD et Red Dead Redemption 2, j’ai pas mal profité de la PS4 pour rattraper mon retard.
Début 2019, j’ai donc terminé deux jeux commencés en fin d’année dernière : A Way Out et Detroit : Become Human.
Sorti en mars 2018, A Way Out est un jeu coopératif en local en écran splitté où l’on incarne deux détenus qui cherchent à s’évader de prison. Pour cela ils vont devoir coopérer en se répartissant les rôles de part et d’autre des environnements ou en s’alliant le temps d’une action commune. Le jeu est très bien réalisé et l’histoire est tout à fait satisfaisante. Je me suis bien pris à l’aventure avec Gaspard et nous avons passé un très bon moment !
Sorti en avril 2018, Detroit : Become Human est le nouveau jeu d’aventure à choix multiples de David Cage au sein des studios Quantic Dream après Heavy Rain et Beyond Two Souls. Nous incarnons ici plusieurs héros dont les choix ont plus que jamais une importance sur la suite du récit. Si pour nous l’aventure semble couler de source, elle est en fait un véritable casse-tête narratif mené avec brio. Personne ne vivra la même histoire, et j’avoue que certains embranchements qui me restent inconnus après ma première partie me donnent envie d’en refaire une... mais ne vais-je pas refaire les mêmes actions ?!
La peinture d’une société peuplées de cyborgs malmenés par des humains sur le fil du rasoir est en tout cas saisissante. Je l’ai fini en début d’année 2019 mais rétroactivement Detroit : Become Human avait toutes les chances d’être au plus haut de mon podium des meilleurs jeux 2018.
Il y avait également Abzû, sorti en 2016, qui me faisait de l’œil. Sorte de "Journey sous l’eau", l’aventure est très jolie, assez simple et courte. Le jeu n’égale pas son modèle et s’oublie très facilement. Ce ne sont que les captures d’écran prises sur le moment qui m’ont rappelé quelques bons souvenirs de cette petite balade.
Et puisque l’on parle de Journey, impossible de ne pas y rejouer également dans sa version PS4, qui aura été l’occasion pour moi de faire le fameux mode en ligne. Un ou plusieurs joueurs auront donc rejoint ma partie le temps de quelques minutes pour se balader et "philosopher" ensemble. Je vous ai dit que c’est mon jeu de la décennie ? Non ? Voilà c’est dit.
Il faut croire que j’avais envie de revoir mes classiques puisque je me suis également relancé dans Shadow of the Colossus, mais version PS4 cette fois-ci. Sortie en janvier 2018, cette version est plus qu’une version remastérisée puisque c’est une totale refonte du jeu original sorti en 2006, tout en restant le plus fidèle possible. Bref, le deuxième jeu de Fumito Ueda est toujours un chef d’œuvre.
The Last Guardian est sorti il y a déjà trois ans ! Quand on pense qu’alors on l’avait attendu pendant sept longues années, cela fait quand même tout drôle. J’y avais donc joué un peu fin 2016, et ce que j’en avais vu m’avait alors immédiatement envie d’en faire mon GOTY. Me faisant ensuite prêter une PS4 en 2017, j’avais pu le faire en entier, et le résultat était nuancé. J’étais quand même content de l’avoir parcouru. Je l’ai relancé cette année, sans forcément le terminer de nouveau, lui.
C’est également en ce finalement très riche début d’année de gamer que j’ai découvert pour la première fois What Remains of Edith Finch. Sorti en 2017, le titre est un "walking simulator", un jeu de marche, où l’on incarne une jeune femme qui retourne sur les pas de ses ancêtres dans la maison que sa famille a occupé pendant plusieurs décennies. Chaque pièce de la maison évoque les souvenirs d’histoires racontées par la famille, qui sont autant de moments que nous allons revivre au travers de séquences narratives interactives toutes plus étonnantes les unes que les autres. Impossible d’en dire plus sans spoiler les événements, que l’on qualifiera d’incroyables ! Le jeu n’est pas long du tout mais vaut toutes les aventures ! Le titre est sorti sur Switch cette année, ce qui me permet d’en faire officiellement un de mes jeux préférés en 2019 !
En 2018 j’avais tout de même enchaîné les trois Uncharted sur PS3. Il ne manquait plus que le quatrième épisode (sorti en mai 2016 sur PS4) pour boucler la boucle ! Si Uncharted 4 : A Thief End est le plus beau et le plus impressionnant (quoique le 2e avait fait très fort), il est peut être aussi le plus poussif d’un point de vue narratif, à force de vouloir nous raconter plein de choses sur Nathan Drake. L’aventure n’est néanmoins pas désagréable du tout à suivre et j’ai passé un bon moment. En revanche je ne ferai pas The Lost Legacy, la suite parallèle avec les demoiselles de l’aventure.
Avant l’arrivée du troisième opus, j’ai reparcouru Shenmue II via la compilation PS4 sortie l’année dernière. Cela m’a bien pris plusieurs mois tout au long de cette année, et je l’ai terminé une semaine avant la sortie de Shenmue 3. C’était parfait ! Toujours une grande aventure, que j’aime un poil moins que le premier épisode, mais dont la toute dernière partie vaut tous les jeux vidéo du monde !
Et enfin, parce que ce sera le dernier jeu PS4 que je ferai cette année, Shenmue III. Je me garderai bien de donner mon avis final tout simplement parce que je suis actuellement en train de le découvrir. Pour faire court, les premières heures ont été très douloureuses, le jeu n’étant comme prévu pas à la hauteur du mythe. Mes dernières parties m’ont laissé toutefois apercevoir la possibilité que le jeu puisse révéler son potentiel avec le temps. A suivre donc !
Je pense avoir à peu près rattrapé tous les jeux PS4 que je souhaitais faire. Il est possible que je me refasse un jour The Last of Us Remastered et Beyond Two Souls sur PS4. Les jeux annoncés sur PS4 en 2020 ne me faisant pas particulièrement de l’œil, il est donc plus que probable que je commence enfin The Witcher 3, qui m’attend déjà sagement depuis quelques mois...
Voir les (autres) jeux 2019 (sur Switch) !
Le jeu Donkey Kong Country sur Super Nintendo a aujourd’hui 25 ans ! C’est l’occasion de revenir sur cette saga !
Sorti en 1994, Donkey Kong Country déterre le personnage du mythique jeu d’arcade Donkey Kong pour en faire le héros d’une nouvelle aventure de jeu de plateformes. Leu est développé par le studio britannique Rare qui développait depuis de nombreuses années sur consoles, que ce soit NES, GameBoy, Megadrive ou Super Nintendo. Le jeu est un énorme projet, et un gros carton.
J’ai déjà eu l’occasion de vous parler du jeu dans ces colonnes, mais voici une vidéo spéciale à l’occasion de cet anniversaire.
Donkey Kong Country 2
L’année suivante sort Donkey Kong Country 2 : Diddy’s Kong Quest, une suite où l’on ne contrôle plus Donkey Kong qui s’est fait enlever, mais Diddy et sa cousine Dixie. Cette dernière peut planer avec sa queue de cheval. Le jeu est plus beau encore, plus riche, mais aussi plus difficile.
Donkey Kong Country 3
Et encore une année plus tard, en 1996, sort Donkey Kong Country 3 : Dixie Kong’s Double Trouble !, l’épisode final d’une trilogie. Malgré une volonté de continuer à faire évoluer la formule, l’épisode - très bon au demeurant - commence à lasser un petit peu. C’est aussi l’un des derniers jeux officiels de la Super Nintendo. Retrouvons-le également en vidéo !
La suite avec Retro Studio
La trilogie s’achève et même si d’autres jeux de plateformes Donkey Kong sortent entre temps (DK 64 ou DK Jungle Beat sur Gamecube), il faudra attendre 14 années le retour de cette franchise avec Donkey Kong Country Returns sur Wii en 2010. Cette fois-ci c’est Retro Studio qui est aux commandes. Le studio de développement acouchera d’une suite encore meilleure avec Donkey Kong Country Tropical Freeze en 2014 sur Wii U.
Deux jeux que je vous propose de retrouver également en vidéo dans l’article qui leur est consacré !
Les autres jeux Donkey Kong [pas country]
Succédant à la trilogie Donkey Kong Country, Donkey Kong 64 a la tâche de faire passer la série à la 3D. Personnellement, je n’aime pas, mais le jeu a su marquer les esprits, notamment grâce à son humour et sa réalisation.
Pour la suite, ce sera Donkey Konga et Donkey Kong Jungle Beat, avec les bongos !
Sim City est ce jeu culte sorti sur à peu près tous les supports à la fin des années 80 et années 90 et qui vous met dans la peau d’un maire chargé de construire une ville. La version Super Nintendo a été spécialement travaillée par Nintendo pour la rendre plus sympathique. J’adore ce jeu ! Le voici enfin raconté en vidéo sur ma chaîne !
Voir toutes les autres vidéos !
Vous aimez chasser les fantômes un aspirateur à la main dans les couloirs sombres d’un hôtel enchanté ? Vous aimez vous faire peur ou rire de ceux qui comme Luigi s’effraient du moindre bruit ? Vous aimez enfin ressentir cette satisfaction qui survient alors que vous venez de résoudre des énigmes joliment agencées ? Luigi’s Mansion 3 est alors très certainement fait pour vous !
Test publié sur Puissance-Nintendo
Plus jamais seul
En entrant dans cet hôtel aux allures champêtres, Luigi est tombé dans un guet-apens : le bâtiment est un nid à fantômes et ses amis ont été enlevés. Prenant son courage et son aspirateur à deux mains, Luigi peut compter sur son chien ectoplasmique pour l’aider à progresser, mais également sur un allié de choix pour le guider au travers des différents étages : le Professeur K.Tastroff est de la partie et prodiguera à Luigi ses précieux conseils. De ceux qui sont liés à l’histoire et qui permettent à Luigi d’augmenter progressivement les capacités de son attirail à ceux qui nous aident ponctuellement à résoudre une énigme (et qui sont désactivables dans les menus), vous ne serez jamais abandonné.
Ses objectifs clarifiés, Luigi est lâché dans la nature et peut à loisir explorer les salles qui se dévoilent toujours plus nombreuses. La plupart du temps, Luigi arpente un étage spécifique de l’hôtel pour récupérer l’élément qui lui permet d’aller au suivant via l’ascenseur principal.
Sur son chemin, il doit déloger les différents fantômes, ramasser un maximum de pièges, billets ou autres lingots d’or qui traînent dans tout le mobilier, et débloquer les différents accès jusqu’à atteindre le boss de la zone. Même si l’hôtel est un seul et même lieu dans lequel on peut revenir à travers les étages comme on le souhaite histoire de chercher des choses que l’on aurait pas vu au premier passage, le jeu est décomposé en moments forts qui suivent généralement les différentes ambiances propres à chaque niveau.
Une réalisation Triple AAAAAAAAAHHHHH
Je vous laisse l’entière surprise de ces environnements. Or on imagine tout à fait les concepteurs du studio Next Level Games avoir arpenté différents hôtels quatre étoiles de Vancouver pour chercher leur inspiration tant les lieux sonnent juste. Chaque salle est différente, dispose de son propre mobilier et d’énigmes conçues en conséquence. Aux lieux communs, salles de loisir ou de repos viennent s’ajouter des environnements beaucoup plus hors-normes, que l’on imagine pas trouver un seul instant dans la réalité !
D’un point de vue technique et artistique, Luigi’s Mansion 3 est un merveilleux travail d’orfèvre sans aucune fausse note, et quand on repense à toutes les situations incongrues que l’on peut vivre dans ce donjon géant, on ne peut que tirer son chapeau à l’équipe de développement.
Je mettais également l’accent dans ma preview sur l’incroyable travail d’animation sur les personnages. En jeu, Luigi dispose de très nombreuses animations s’adaptant en permanence aux éléments qui l’entourent, que ce soit son regard, ses émotions, ou son attitude générale quand il se met par exemple à courir ou encore réagir à un obstacle impromptu. C’est encore un pas en avant en terme d’animation et d’interaction de personnage avec son environnement. Les cinématiques ne sont pas en reste puisqu’on atteint là également un niveau supérieur dans tout ce que l’on a pu voir chez Nintendo : nombreuses et toujours d’excellente qualité, elles rivalisent presque avec ce que l’on a l’habitude de voir au cinéma.
N’oublions pas l’incroyable capital sympathie et comique de notre bon vieux Luigi, téméraire et froussard, poussé malgré lui dans l’action. Ses adversaires sont facétieux, comploteurs, grotesques, dépassés par les événements ou au contraire machiavéliques, mais toujours follement drôles. Il suffit de voir leurs attitudes pendant les cinématiques ou encore alors qu’ils sont sur le point de se faire aspirer pour en être convaincu. Ajoutons à cela toutes les blagues ou références plus ou moins évidentes ajoutées par les développeurs qui s’en sont donné à cœur joie pour nous faire rire le plus souvent possible.
De nombreuses mécaniques de gameplay au service d’un level-design soigné
Aspirer (ou souffler) n’aura bientôt plus de secrets pour vous ! Si l’on commence gentiment en explorant l’hôtel avec sa lampe torche, très vite on récupère l’Ectoplast 3000 à même de nous permettre d’aspirer les fantômes. Pour cela, il faut au préalable les éblouir avec l’énergie concentrée de la lampe, puis les ferrer comme des poissons : le fantôme se débat et voit ses points de vie fondre comme neige au soleil. A vous de maintenant le stick droit dans la position inverse du déplacement du fantôme - et ce même s’il change de direction - pour faire monter une jauge qui une fois remplie vous permet d’envoyer valser l’ectoplasme violemment contre le sol. C’est d’ailleurs l’occasion de le projeter sur ses comparses pour faire des dommages collatéraux. Ils perdront d’ailleurs sûrement au passage leur objet de protection comme des boucliers ou des lunettes qu’en temps normal vous devez leur enlever par la ruse. Il existe différentes familles de fantômes, lesquels ont des comportements différents et nécessitent de les approcher d’une manière bien spécifique. Il arrive souvent que plusieurs fantômes aux attaques complémentaires s’y mettent à plusieurs pour tenter de vous piéger.
Que ce soit pendant les combats ou pendant l’exploration, il faut souvent jongler entre les différentes capacités que l’on apprend au fil de l’eau. Ainsi, le saut brutal de Luigi lui permet autant de se débarrasser d’ennemis un peu trop collants que d’ouvrir des passages que l’on avait tenté d’aspirer sans succès. La ventouse que l’on peut balancer un peu partout pour viser et atteindre des cibles vous aide à tracter toute sorte d’éléments comme vous défendre contre certains types d’ennemis. Le révéloscope fait apparaître des objets invisibles dont vous avez soupçonné la présence par un détail, comme c’est le seul moyen de vous débarrasser de certains monstres à la force surnaturelle.
Déjà remplis de petites énigmes très ingénieuses, le jeu gagne en puissance dès lors que Luigi se voit offert un acolyte de poche, le fameux Gooigi. Double de lui-même disposant de toutes ses capacités, l’entité verte certes craint l’eau, ce qui nous oblige à penser nos déplacements, mais s’avère capable de traverser grillages, tuyaux ou bouches d’égouts pour aller explorer plus en avant. L’exploration des mécanismes dissociés ou à actionner en plusieurs temps nous renvoie à ce que Nintendo sait faire de meilleur en terme de level-design. Les deux moustachus doivent parfois agir en même temps, ce qui même en mode solo reste possible : un Luigi s’immobilise en train d’aspirer une zone et il ne nous reste plus qu’à prendre le contrôle de l’autre pour venir aspirer à ses côtés. L’intérêt de Gooigi est aussi qu’il peut être incarné par un deuxième joueur en mode duo, un deuxième joueur qui cette fois-ci ne se sentira pas délaissé !
Je n’ai pas rencontré de difficulté particulière pour avancer dans le jeu, mais il faut bien avouer que les énigmes proposées par ce Luigi’s Mansion 3 sont de celles que nous raffolons. Totalement dans l’esprit des deux premiers épisodes, mais aussi de nombreux autres jeux du même type comme Captain Toad ou Pikmin, elles demandent le sens de l’observation et de comprendre la logique propre à la thématique du niveau, tout en ayant conscience de ses propres capacités, quitte à jongler entre les pouvoirs. Les habitués seront ravis de voir Nintendo au top de sa forme. Les nouveaux joueurs peuvent s’aider de quelques indices de K. Tastroff dans le menu de pause. L’ingénieur ne recule d’ailleurs devant rien pour aménager votre navigation et rendre plus confortable votre progression au fur et à mesure de l’aventure, évitant ainsi les écueils des joueurs amenés à faire de trop nombreux aller-retours.
Le jeu n’est pas difficile mais sait donner du répondant. Il m’est arrivé une seule fois dans l’aventure de tomber sur un os avec une énigme franchement plus complexe qui demande un certain enchaînement d’éléments. Je ne serai probablement pas le seul à rester bête sur celle-là, mais gageons que toutes les cellules grises de la communautés se mobiliseront pour se sortir de ce mauvais film. En dehors de cela, tout s’enchaîne parfaitement bien, et avec un plaisir non dissimulé. Il faut environ une quinzaine d’heures pour terminer le jeu, sans les à côtés (gemmes cachées qui demandent pour certaines un peu plus de réflexion, et le retour d’ennemis "boolversifiant"). Profitez-en bien car elles passent à toute vitesse !
Sauf erreur de ma part, pas de New Game Plus proposé à la fin de l’aventure : il faut reloader un point de sauvegarde précédent la fin du jeu pour pouvoir retourner explorer l’hôtel et compléter ses quêtes annexes. Pensez à récolter le plus d’argent possible, on ne sait jamais, ça pourrait servir !
Pour quelques lingots de plus
Les modes multijoueurs sont semble t-il devenus la norme même dans les jeux d’aventure à la base solo. Luigi’s Mansion 3 est un jeu incroyable, mais de nombreux joueurs continuent d’en demander toujours, ce qui a amené Nintendo à développer deux façons supplémentaires de jouer à plusieurs.
Tout d’abord une section multi en local. Les "jeux de l’étrange" sont trois arènes qui permettent de deux à huit joueurs de s’affronter aux points. "Tombes à la pelle" est une chasse aux fantômes dans un cimetière. "Grands canons" vous demande d’aspirer des boulets au sol pour les déposer dans des canons à actionner pour détruire des cibles mouvantes. "Bassin miné" est une piscine géante dans laquelle il faut ramasser des pièces tout en faisant attention à ne pas se faire toucher par des bombes. Les jeux sont honnêtes et égaieront quelques soirées. Le dicton "plus on est de fous plus on rit" est de circonstance.
Le mode multi en ligne est autrement plus intéressant puisqu’il propose d’explorer un dédale de salles jusqu’à quatre joueurs en coopération. Chaque mission en temps limité a un objectif différent, qui va du nettoyage de fantômes, au ramassage de pièces à la libération de Toad. Chaque joueur peut explorer librement et communiquer avec les autres joueurs par de petites phrases pré-enregistrées pour demander de l’aide ou de se rassembler. Un mode sympathique dont il faudra profiter les premiers mois avant que les joueurs ne deviennent trop rares sur les serveurs.
Du grand Nintendo ! Artistiquement et techniquement irréprochable, Luigi’s Mansion 3 est un bijou soigné dans tous ses détails. De son exploration palpitante à ses énigmes variées et recherchées, on ne s’ennuie jamais, seul ou à deux. Des modes multi local et en ligne ont été ajoutés pour prolonger un peu l’expérience, mais moi je n’ai qu’une envie, c’est de "boocler" le jeu à 100% puis le refaire, parce que c’est tout ce qu’il reste à faire... un nouvel épisode n’étant pas prêt d’arriver !
Après un lancement début septembre, nous n’avons plus de nouvelles des jeux SNES sur le Nintendo Switch Online. Nintendo a confirmé qu’il n’y aurait plus de livraison mensuelle de jeux comme c’était le cas depuis un an avec les jeux NES . Il faudrait donc patienter pour savoir quels seront les potentiels jeux ajoutés. En attendant, je vous propose de revenir en vidéo sur les titres qui sont déjà sortis sur d’autres supports "virtuels" comme la SNES Mini et les Consoles Virtuelles Wii U et Wii.
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Liste des actuels 20 jeux sur Nintendo Switch Online SNES :
Brawl Brothers, Breath of Fire, Demon’s Crest, F-Zero, Joe & Mac 2 : Lost in the Tropics, Kirby’s Dream Course, Kirby’s Dream Land 3, Star Fox, Super E.D.F Earth Defense Force, Super Ghouls’n Ghosts, Super Mario Kart, Super Mario World, Super Mario World 2 : Yoshi’s Island, Super Puyo, Super Metroid, Super Soccer, Stunt Race FX, Pilotwings, The Legend of Zelda : A Link to the Past
Liste des jeux disponibles sur SNES Mini qui pourraient donc sortir :
Donkey Kong Country, EarthBound, Final Fantasy VI, Kirby Super Star, Mega Man X, Secret of Mana, Street Fighter II’ : Hyper Fighting, Super Castlevania IV, Super Mario RPG : Legend of the Seven Stars
Liste des jeux disponibles sur Console Virtuelle Wii U qui pourraient donc sortir :
Castlevania Dracula X, Megaman X 2/ X3/ 7, Donkey Kong Country 2/3 ; Street Fighter Alpha 2, Street Fighter II the World Champion, Super Street Fighter II, Breath of Fire 2, Final Fight 1/2/3, The Legend of Mystical Ninja, Pac-man 2 : The New Adventure, Pac-Attack, Axelay, Cybernator, Wild Guns, Vegas Stakes, Harvest Moon, Natsume Championshio Westling, Nobunaga’s Ambition, Pop’n Twinbee Rainbow Adventures, Pop’n Twin Bee, Uncharted Waters : New Horizons, Romance of the Three Kingdoms IV
Liste des jeux qui étaient disponibles sur Console Virtuelle Wii :
Sim City, Actraider, Zombies, Super Star Wars 1/2/3, Ogre Battle, Space Invaders, Doremi Fantasy, Super Turrican, Gradius III, Prince of Persia, Adventure Island 1/2, Chrono Trigger, The Ignition Factor, Rival Turf, Aero the Acrobat 1/2, Final Fantasy II, Kirby’s Fun Pak, Kirby’s Ghost Trap, Ghoul Patrol, Indiana Jones, Super Bonk
Évidemment, des jeux Super Nintendo, il y en a de nombreux autres, et l’on ne peut jamais vraiment savoir lesquels vont ressurgir du passé, sous le coup d’un remaniement des droits des éditeurs d’origine. A suivre donc !
Edit : sont depuis sortis Donkey Kong Country 1, 2 et 3, EarthBound, Kirby Super Star, Breath of Fire 2, Final Fight, Wild Guns, Harvest Moon, Pop’n Twin Bee, The Ignition Factor, Rival Turf, Kirby’s Fun Pak, Kirby’s Ghost Trap
J’ai pu consacrer quelques heures à celui qui s’annonce comme un des jeux incontournables de cet hiver : Luigi’s Mansion 3. Fort de mon expérience dans le mode Solo et une incursion dans le mode multijoueur, que penser, pour l’instant, de ce nouvel opus ? La réponse dans cette preview !
Preview publiée sur Puissance-Nintendo
Mario et toute la bande sont invités par un mystérieux mécène à venir passer un séjour de rêve dans un hôtel de campagne. Arrivé sur place, tout n’est que luxe et volupté. Mais la nuit tombée, Luigi se rend très vite compte que lui et ses amis sont tombés dans un sinistre traquenard !
Quand Nintendo marche sur les plates-bandes de Pixar
Lors de cette longue introduction, qui mêle à la fois dessin-animé en images de synthèse et séquences de gameplay, on peut se rendre compte de la qualité du travail réalisé par les équipes de Nintendo. Luigi’s Mansion 3 dispose d’une direction artistique absolument magnifique, tant pour les décors que les animations des personnages.
Durant les phases animées au cours desquelles on suit Luigi et ses amis, on ne peut être qu’émerveillé par le soin apporté à la mise en scène et les attitudes de notre peureux favori : quelque part entre Pixar et Aardman (Wallace et Gromit), jamais la bande à Mario n’avait été aussi vivante. Et quant on sait que Nintendo prépare son propre film d’animation de Mario avec les studios Illumination (Moi moche et méchant), on est rassuré sur l’avenir d’un tel projet. On trouve dans ce Luigi’s Mansion des signes évidents que Nintendo veut s’améliorer dans ce sens. C’est en tous cas clairement un rêve de fan de la première heure que de voir cet univers si bien représenté.
Du mobilier et un plombier malmenés
Même si ses cinématiques sont très soignées et que l’on nous en donne pour notre argent, le jeu n’oublie jamais de nous faire intervenir tout au long de ces séquences.
La nuit tombée, Luigi sort sa lampe torche pour explorer les sombres couloirs de cet endroit devenu menaçant. On s’amuse de pouvoir rentrer dans tous les éléments du décor, interagir avec certains comme des commodes ou la cuvette des WC. Luigi est clairement effrayé et cela se ressent dans l’animation du personnage alors même qu’on le contrôle.
Ce n’est qu’après quelques péripéties que Luigi met enfin la main sur son emblématique aspirateur. Votre boulot de ménage peut commencer ! Littéralement, puisque Luigi peut quasiment aspirer tout ce qui l’entoure, et tant pis si les objets sont sensés être trop gros pour rentrer dans le tuyau... ils y passeront quand même ! Un effet comique certain, en même temps qu’un gros plaisir de pouvoir interagir avec tout ce qui nous entoure et faire disparaître tout le mobilier. La tornade de l’Ectoplast crée un joyeux capharnaüm ! Les pièces, perles, billets de banque et autres lingots d’or cachés pullulent et l’on inspecte tous les recoins pour les récupérer.
J’ai joué avec un contrôleur pro, et si les sticks permettent de déplacer indépendamment Luigi et son aspirateur, le gyroscope permet d’orienter l’aspirateur vers le haut ou le bas. Tous ces paramètres et de nombreux autres sont ajustables dans les menus du jeu. Je reviendrai dessus d’ici le test du jeu.
Un équipement de pro
L’Ectoplast de Luigi peut à la fois aspirer mais également souffler de l’air, ce qui sera utile dans certaines situations. La lampe-torche est dès lors intégrée à l’équipement, et permet de créer des flash lumineux pour actionner certains mécanismes, détruire les petits ennemis comme les souris ou les araignées, et bien sûr éblouir les fantômes pour pouvoir les aspirer.
Plus tard, Luigi apprend à utiliser le Reveloblast, un rayon qui dévoile les éléments cachés invisibles à l’œil nu mais décelables avec un peu d’observation.
Au menu des nouveautés, j’ai déjà pu expérimenter l’attaque dévastatrice qui permet de balancer un fantôme aspiré de part et d’autre de la pièce pour lui faire tomber ses points de vie plus rapidement. Il est possible de choisir la direction dans laquelle vous voulez envoyer valdinguer le fantôme, et si possible sur d’autres fantômes pour les blesser, ou encore du mobilier pour le détruire au passage.
En appuyant sur les deux gâchettes, Luigi peut également faire un saut et retomber violemment pour causer des dommages au sol.
Enfin, Luigi pourra disposer d’une ventouse qu’il peut tirer dans le décor et aller aspirer ensuite. La plupart du temps il s’agit de viser un objet que l’on veut dégager du passage.
Toutes ces techniques nous sont remises au fur et à mesure de l’histoire par un personnage truculent que les fans de la série auront tôt fait d’identifier.
Déjà dans les décors, certains éléments inaccessibles (comme des gemmes emprisonnées dans des plantes récalcitrantes) nous font dire que d’autres capacités seront à découvrir au fil de l’aventure. Les précédents épisodes proposaient en effet des fonctionnalités de feu et de glace.
Les premières heures de jeu sont déjà en soit palpitantes, tant par leur ambiance, la sympathie que l’on éprouve pour le personnage, que par les capacités qui lui sont octroyées et qui apportent énormément de situations de jeu satisfaisantes.
Le slime est ton ami
Dans la suite de l’aventure, Luigi se voit accompagné de sa version ectoplasmique pour l’aider. Le fameux Gooigi peut apparaître et disparaître à volonté. Activé, Luigi tombe dans les vapes et ne bouge pas pendant que vous prenez le contrôle de l’ectoplasme. Ce dernier dispose de tous les mouvements de Luigi mais a quelques avantages... et aussi quelques faiblesses.
Gooigi peut par exemple passer par toutes les canalisations au sol ou au travers de tous les grillages, se dématérialisant le temps de passer. Pratique pour atteindre des endroits inaccessibles par notre bon vieux Luigi. Mais il faut bien une faiblesse pour contrebalancer : Gooigi ne résiste pas à l’eau du tout et fond à tout contact avec elle. Il faudra souvent trouver l’astuce pour contourner le problème.
Ce sont donc souvent des situations qui nécessitent de séparer les actions entre les deux personnages. Il est commun en effet de passer de l’un à l’autre pour réaliser une énigme.
Mais il arrive parfois que les deux personnages doivent s’unir pour passer un obstacle. C’est le cas d’un mécanisme à actionner en même temps. Il est en effet possible de commencer à faire aspirer quelque chose à Luigi, de switcher vers Gooigi - Luigi restant alors en position d’aspiration - et d’aspirer enfin avec Gooigi pour valider une énigme.
Une exploration totalement libre
Le premier Luigi’s Mansion, sorti sur Gamecube en 2002 (et réadapté sur 3DS l’année dernière) était apprécié car il nous proposait d’explorer un manoir et ses proches environs sans véritables coupures. Des zones se dévoilaient petit à petit, rythmées par des combats de boss. Le sentiment d’exploration et de liberté était assez fort.
Un sentiment qui s’était vu quelque peu malmené avec Luigi’s Mansion 2, sorti sur Nintendo 3DS en 2013. En effet le jeu - tout aussi bon soit-il - était séquencé par missions, avec numéros de chapitres et écrans de fin de score, ce qui rompait avec cette sensation de liberté totale appréciée par les joueurs.
Dans Luigi’s Mansion 3, nous revenons à la formule originale. L’hôtel est certes segmenté par notre propre capacité à l’explorer, mais dans l’absolu une fois les obstacles passés il sera possible d’évoluer comme bon nous semble. Le jeu propose d’explorer les différents étages de l’hôtel les uns après les autres, mais de ne pouvoir y accéder qu’à la condition d’en avoir les "clés" (je ne vous en dirais pas plus pour l’instant).
Chaque étage, ou zone, offre le temps d’observer les différentes salles qui le composent, d’en résoudre les énigmes et d’en dégager les accès. Chacun est sur une thématique et dispose d’un boss qu’il faut battre en utilisant les outils que l’on vient de mettre à notre disposition.
En effet, l’allié de Luigi a installé sa base dans le garage de l’hôtel, et vous pouvez y retourner à chaque fin de nettoyage de zone, ou même à tout moment, quand vous le souhaitez. Vous pourrez y sauvegarder votre partie (bien que le jeu le fasse de manière automatique très régulièrement, notamment quand on passe des portes), consulter les différentes données de l’aventure et naviguer dans les différents menus.
Premiers contacts avec le mode multijoueurs
Luigi’s Mansion 3 permet de jouer en solo ou en duo à plusieurs en mode local dans certains modes de jeu qui ne sont pas le scénario. Nous n’avons pas encore pu le tester.
J’ai pu essayer au mode multijoueur en ligne, qui propose de parcourir une tour hantée jusqu’à quatre joueurs ensemble. Ce mode est très similaire à ce que Luigi’s Mansion 2 offrait dans son déjà très sympathique mode multi.
L’objectif est de répondre aux différentes missions qui nous sont proposées à chaque étage. Il faudra réussir par exemple à collecter un nombre défini de fantômes, récolter des pièces, ou encore libérer des Toad, le tout dans le temps imparti.
Chacun des quatre joueurs peut vaquer indépendamment à ses occupations dans le dédale de salles proposées. Généralement chacun part de son côté pour répartir les tâches. Il faut toutefois parfois se réunir pour actionner des mécanismes ou affronter un monstre plus fort.
La croix directionnelle (ou boutons gauches des Joy-Cn) sert à envoyer des messages à ses coéquipiers ("merci", "venez ici", "au secours"...) car il n’est pas exclu que vous ayez besoin d’aide, tandis que vous êtes coincé derrière une porte qui s’est rabattue sur vous ou que vous êtes englobé par un tapis hanté !
Il y a plusieurs manches qui sont autant de salles. Vous pouvez en définir le nombre (5, 10 ou de manière aléatoire). Mes premières impressions sont plutôt bonnes. Le mode est bien réalisé, mais il faut voir ce qu’il propose sur la longueur pour savoir si on y reviendra suffisamment.
Mes premières heures avec Luigi’s Mansion 3 sont totalement satisfaisantes. Nintendo nous sort le grand jeu pour le retour de Luigi, au meilleur de sa forme. Mêlant action, exploration et réflexion, le titre semble être le digne représentant de tout ce que l’on aime chez Nintendo.
Rendez-vous d’ici quelques étages, le temps de savoir si le jeu tient la route jusqu’au sommet !
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