Dernier ajout : 27 avril.
Qu’avez-vous fait pendant le confinement ? Moi, perso, j’ai fait comme tout le monde : j’ai joué à Animal Crossing New Horizons !
Le premier mois a été très intense, j’ai pu partager le jeu avec plusieurs amis, ce qui est tout de suite plus sympathique. Puis je suis rentré dans ma routine habituelle (piocher les fossiles), routine qui n’a été dérangée que par quelques mises à jour épars, la plus importante à ce jour ayant été la mise en place de la plongée autour de l’île.
Après avoir terminé le très bon Final Fantasy IX, j’étais motivé pour en finir avec les FF de l’ère PSOne avec Final Fantasy VIII.
Ça avait très mal démarré avec un début poussif au possible, ce qui m’avait fait abandonner le jeu. Et puis une fois repris, la tension est gentiment montée avec la mise en place de l’opération d’assassinat de notre joyeuse (non) équipe. De là le jeu a vraiment démarré et je me suis laissé entraîner dans une aventure vraiment hors-norme. Je ne peux pas dire que j’ai vraiment aimé, mais cela m’a permis de comprendre de quoi il retournait dans le cœur des fans de cet épisode mal aimé !
Fin mars j’ai eu le plaisir de retrouver Panzer Dragoon dans sa version remaster sur Switch. De découvrir le très bon BioShock sur Switch. Et de (re)commencer Xenoblade Chronicles via sa Xenoblade Chronicles Definitive Edition sortie fin mai. Le Let’s Play est toujours en cours. J’ai également rapidement parcouru 51 Worldwide Games, Duke Nukem 3D ou encore Star Wars Racer !
En juin, alors que je ne pensais pas le faire, je n’ai pas pu passer à côté de The Last of Us Part II. En fait, je me suis hypé tout seul en regardant un Live du premier épisode (que j’avais adoré) quelques jours avant.
L’expérience a été forte et ça a a été difficile pour moi d’en parler mais j’ai finalement réussi à faire un article de mon ressenti.
Autre jeu PS4 que je ne comptais pas faire, mais la conjoncture s’est finalement révélée propice (comprenez que j’ai trouvé une promo à Auchan) : Final Fantasy VII Remake ! Je m’attendais à une bête conversion du début du jeu FFVII (que j’ai refait l’année dernière), et je me trompais lourdement !
Midgard est métamorphosé, le scénario s’allonge de manière agréable et spectaculaire, le traitement des décors et des personnages m’a ravi. Sans compter le système de combat que j’ai trouvé excellent. Donc, pour l’instant c’est mon GOTY du bonheur !
Actuellement je suis sur Streets of Rage 4 (plutôt pas mal !) et surtout Kingdom Two Crowns (la suite de mon coup de cœur découvert en 2019 !). On en reparle plus tard !
Bon été à tous !
Suite :
– Les 35 ans de Mario
– Mes jeux de l’année 2020
Sorti en ligne en avril, en boite en juillet, je découvre enfin Streets of Rage 4 ! Voici mes premiers pas en vidéo !
J’ai également récupéré Kingdom Majestic, une compilation des deux jeux Kingdom dont j’avais adoré "New Lands" l’année dernière ! je vous propose une vidéo de découverte des deux jeux (qui apparaissent en icônes séparées dans votre menu Switch). Je présente rapidement le premier et je découvre "Two Crowns" !
Particularité de ces deux titres : être sortis dans des éditions collector. Si SoR4 propose "juste" un livret et un porte-clés, celle de Kingdom en impose carrément !
Voir toutes les autres vidéos !
L’éditeur Virgin Interactive a connu une grande époque dans les années 90 en alignant plusieurs jeux de plateformes réussis. Je parerai surtout de ceux que j’ai connus à l’époque de leurs sorties.
Commençons avec Mick & Mack Global Gladiators, un jeu de plateformes qui a aujourd’hui bien vieilli mais dont la réalisation technique impressionnait lors de sa sortie en mars 1993. Il était dirigé par le jeune David Perry, qui sera aux commandes des jeux suivants ! Son brio : savoir faire des jeux de commande très rapidement !
Son jeu suivant arrive en effet dès juillet 1993 ! Cool Spot est à la fois un jeu de plateformes à la réalisation brillante à l’époque, avec des graphismes, des animation et des musiques au top, mais aussi une pub détournée pour une grande marque de soda d’alors. C’est un carton plein.
Le titre suivant sera celui de son triomphe : Aladdin ! Réalisé en un temps record avec le soutien des artistes de chez Disney pour pouvoir accompagner la sortie du film en salles, Aladdin fait grande sensation. Je vous invite à aller revoir la vidéo d’Aladdin Megadrive dans mes archives. Edit : Ou de découvrir la nouvelle !
C’est en juillet 1994 que sort le Livre de la Jungle. Le projet était à l’origine développé avant Aladdin, mais la priorité du dernier film Disney avait mis cette adaptation de côté. Une fois la folie Aladdin passée, David Perry peut retourner à son jeu, mais visiblement l’humeur n’y est plus.
Le succès lui est peut-être monté à la tête, quoi qu’il en soit il ne termine pas le projet lui-même. Le voilà ailleurs, à fonder sa propre société, Shiny Entertainment pour préparer son prochain jeu : Earthworm Jim. Mais ça, c’est une autre histoire.
Les équipes sont un peu chamboulées mais parviennent néanmoins à sortir un jeu Le Roi Lion à la fin de l’année 1994. Et c’est un exploit visiblement ! J’avais adoré le jeu à l’époque. Force est de constater qu’il a un peu vieilli, ne serait-ce que la difficulté passé les premiers niveaux !
Virgin Interactive publiera les deux Earthworm Jim de David Perry. Mais perdra la licence Disney suivante, Pocahontas (qui échoue chez Funcom, une société de production norvégienne).
Le studio est racheté par Titus Interactive en 1998, renommé Avalon Interactive en 2003, puis Titus fait faillite en 2004. Avalon Interactive reste simple éditeur.
Lire également : Les jeux Disney sur Megadrive
En 2013, The Last of Us m’avait beaucoup plu. Avec les années, le jeu a su marquer profondément le joueur que je suis, même sans avoir à le refaire. Son histoire vous marque au fer rouge, et ses deux protagonistes principaux restent avec vous même le rideau fermé.
Même si le jeu se termine sur un moment choc, je le trouvais suffisamment puissant tel quel. Je n’en attendais pas particulièrement une suite. Tout était dit, la symbolique était parfaite.
C’est pourquoi, lorsque The Last of Us II a été annoncé, j’étais très méfiant. D’une part parce que je ne voyais pas l’intérêt dramatique d’une suite, et d’autre part parce que les premiers extraits présentés étaient extrêmement violents. Le premier jeu est certes violent, mais là on montait un stade au dessus, avec une représentation frontale de torture.
Le jeu est donc automatiquement sorti de mon esprit, et ne s’est rappelé à mon bon souvenir que lors de sa présentation à l’E3 2019 (jolie cinématique de bisou, et survie très sale entre deux voitures rouillées)... puis jusqu’à sa sortie.
C’est en regardant entre amis un live du premier épisode que j’ai commencé à me poser des questions sur la "suite" de l’histoire : et si Ellie découvrait la vérité ? Cela a commencé à me hanter.
Bref, le jeu sort, et avec son aura prononcée de mystère, je me dois d’en avoir le cœur net. Me voilà parti dans TLOU2.
Voyage au bout de l’horreur
Nous retrouvons tout ce beau monde quatre ans après les événements du premier épisode. Il y a une réelle tension entre Joël et Ellie. Nous découvrons d’autres personnages, alors que la vie dans un camp de résistants nous est présentée. Très vite nous incarnons même un autre personnage qu’Ellie, et c’est très mystérieux. Techniquement le jeu tabasse. Donc la sauce prend.
Un événement majeur survient, je ne spoilerais pas. Et l’aventure commence vraiment. C’est à ce moment que j’ai capturé un bout de ma partie, pour ceux que ça intéresse. On n’y voit pas grand chose, c’est même pas très vendeur pour le jeu qui n’a déjà pas manqué de nous en faire voir des vertes et des pas mûres.
Le jeu suit un rythme d’exploration pépère, fusillades/embuscades, cinématiques/temps fort qui a déjà fait ses preuves dans le premier épisode. Ici nous avons un monde ouvert en la ville de Seattle, et un découpage narratif à la journée, qui prend tout son sens par la suite.
La quête d’Ellie que l’on incarne est incroyable de fureur. Nous ne parlons plus ici de survie comme c’était le cas dans le premier épisode. Elle est ici complètement aveuglée par son objectif, et même nous en temps que joueur qui l’incarnons, nous avons des doutes quant à nos actes.
Spoil de structure à défaut d’histoire
La pression monte, jusqu’à un ultime cliffhanger qui retourne complètement la situation. On est alors un peu sidéré, frustré et curieux à la fois.
Le jeu explose complètement la timeline, entre flashback de la vie d’Ellie, et ceux d’autres personnages dont on a apprend à connaître le passé. C’est intéressant, perturbant assurément. On comprend bien les intentions des réalisateurs. Un peu trop peut-être même. La structure en journées prend sens, et on est fasciné par cette relecture qui nous est proposée.
Les séquences qui s’enchaînent alors sont toutes aussi impressionnantes les unes que les autres, changeant même totalement le style ou l’ambiance du jeu. Mais à ce stade, quelque chose chez moi ne fonctionne plus.
Le jeu m’a perdu lors du cliffhanger que je pensais être la fin du jeu. La deuxième partie est intéressante, mais beaucoup trop longue à mon sens. Et elle pèse d’autant plus que lorsqu’on rejoint le cliffhanger (et là spoil +), ce n’est toujours pas fini. C’est même fini, avec épilogue apaisé en surface, mais en fait non, on est reparti pour encore quelques temps. Le dénouement n’est même pas tranché, et certains y verront une leçon de vie. Je n’y ai vu qu’une absence de prise de risque pour les scénaristes qui n’ont tout simplement pas osé mettre un point final tranché à leur histoire. Toute cette fin manque cruellement de sel alors que toute la sauce avait été levée pour faire un plat explosif, et non une soupe tiédasse difficilement défendable.
Alors oui, plus la fin de la deuxième partie approchait plus je commençais à m’ennuyer. La résolution du cliffhanger m’a déçu. Et tout ce qui a suivi s’est tellement éternisé que je n’en pouvais plus.
C’est difficile d’en parler car quelque part le jeu est bon, voire très bon. Mais comme pour Red Dead Redemption 2, j’ai trouvé que l’histoire aurait largement pu être raccourcie, et que même si la structure narrative est intéressante, elle ne marche pas aussi bien que prévue. The Last of Us premier du nom marche du tonnerre car le propos est clair et la fin percutante. Avec cette Part II, ils vont encore plus loin, mais presque trop loin, ils veulent tout faire, tout essayer, et en font finalement trop.
Il y a quelque chose de peu logique dans cette histoire, et selon moi, ça sent le DLC ou le TLOU 3 à plein nez. L’avenir nous le dira ! En attendant, TLOU 2 m’a - et ça me fait un peu mal de le dire vu la qualité - déçu. J’ai laissé passer le temps depuis que j’y ai joué, mais mon avis n’a pas changé depuis, et je suis passé à autre chose. A priori.
J’ai eu un coup de mou avec Fortnite ! Le lancement de la nouvelle map en octobre 2019 m’a laissé un peu le cul entre deux chaises, et j’avais laissé gentiment tomber.
C’est sans compter sur une sympathique rencontre avec un joueur motivé et motivant pendant le confinement, qui m’a donné envie de reprendre le jeu !
Je vous propose de l’entre-apercevoir dans cette vidéo de bilan de la Saison 2 du Chapitre 2. Une saison sous le signe des super-héros et de l’agence !
Puis la map a été complètement imergée, ce qui m’a de nouveau un peu démotivé... Heureusement il y avait les requins !
Depuis l’eau s’est barrée de la map et je peux reprendre une activité normale !
La trilogie Donkey Kong Country sur Super Nintendo, développée par Pare dans les années 90, a marqué de nombreux joueurs, dont votre serviteur.
Après quelques titres sur lesquels il me faudra impérativement revenir (Donkey Konga ou encore Donkey Kong Jungle Beat), Nintendo a jugé bon de remettre le grand singe sur les rails de la Country. C’est Retro Studios (Metroid Prime) qui se chargea de cette mission, avec tout d’abord Donkey Kong Country Returns, sorti sur Wii en 2010.
Très sympathique, le jeu a su captiver une nouvelle génération de joueurs. Pour ma part je l’ai trouvé bon, mais sans plus. En fait, ses contrôles gyroscopiques m’avaient un peu saoulé. Mais comme je ne suis pas trop rancunier, je me suis quand même replongé dans l’aventure le temps d’une vidéo.
Mais c’est surtout Donkey Kong Country Tropical Freeze (toujours par Retro Studio), sorti en 2014 sur Wii U, qui m’a captivé. J’ai eu l’occasion de dire de nombreuses fois dans ces colonnes tout mon amour pour ce jeu au level-design racé, niveaux passionnants et musiques sublimes signées David Wise (le compositeur sur la trilogie originale).
Lorsque le jeu ressort sur Switch en 2018, je replonge sans problème. Cette version propose de pouvoir jouer Funky Kong, un personnage complètement cheaté puisqu’il est insensible aux pics en tout genre et plus planer dans les airs avec sa planche de surf. C’est cette version que je vous propose de retrouver en vidéo !
On aurait pu s’attendre à un troisième épisode, mais celui-ci n’est jamais venu. Retro Studios est aujourd’hui affairé à Metroid Prime 4. Nous ne savons donc pas à quelle sauce notre cher gorille sera mangé à l’avenir ! Il a fait de la figuration dans le DLC de Mario et les Lapins Crétins nommé Donkey Kong Adventure, et c’était très bien !
Pour pouvoir bénéficier de ce DLC, vous devez au préalable posséder le jeu Pokémon Épée ou Bouclier, et avoir acheté la Pass d’Extension qui correspond à votre version du jeu. Une fois votre jeu mis à jour, rendez-vous à la gare de Brasswick pour pouvoir débarquer à Isolarmure, l’île où se passent les aventures de ce premier DLC. La seconde partie du Pass d’Extension ne sera elle disponible qu’à l’Automne prochain.
Test publié sur Puissance-Nintendo
Pokémon Epée / Bouclier, sorti en fin d’année dernière, est une aventure très agréable, rythmée par des personnages hauts en couleur et des affrontements dans des arènes revisitées façon grands stades. La série Pokémon de retour sous son plus beau jour pour tous les fans de la série. Alors, seuls 400 Pokémon sur les 800 existants n’étaient disponibles, ce qui n’avait pas manqué de faire grincer des dents.
Le Pokédex de ce DLC est indépendant du jeu principal et monte à 211 Pokémon, dont 108 déjà disponibles dans Galar. Une autre fournée de Pokémon sera disponible dans la deuxième partie du DLC, les "terres enneigées de la Couronne". Mais nous n’arriverons à priori toujours pas au bout.
Dans "l’île solitaire de l’Armure", vous pouvez choisir de recapturer ces Pokémon enfin disponibles à l’air libre comme choisir de les exporter depuis Pokémon Home, à condition que vous les ayez déjà capturé dans le passé et importé jusqu’au logiciel Home sur mobile ou Nintendo Switch. A l’heure où nous vous parlons, un bug empêche la reconnaissance des dits Pokémon par le Pokédex. The Pokémon Company a annoncé travailler dessus. Il suffit d’être patient, ou de s’armer de courage en présentant puis retirant ces Pokémon à l’éleveuse de la pension de Galar, les uns après les autres. C’est le seul moyen de réveiller le Pokédex "endormi" pour le moment.
Bienvenue à Isolarmure !
Après être devenu Maître de la Ligue, notre héros se voit donc proposé d’explorer l’île d’Isolarmure, où l’attendent de nouvelles aventures. Très peu d’informations nous seront données sur les nouveaux personnages qui l’habitent. Ce n’est qu’en gagnant les cartes de dresseurs de ces personnages que l’on pourra avoir de précieuses informations au dos de leurs cartes.
Sur place, nous faisons l’objet d’un quiproquo qui va nous amener à participer à la vie d’un sympathique Dojo, mené tambour battant par le vénérable Mustar. Ce dernier propose à ses élèves une série de missions avec à la clé le trophée de l’île à gagner : l’armure secrète du Dojo ! Mais c’est sans compter sur Sophora, une jeune fille bien déterminée à enfin obtenir les faveurs du maître ! Notez que Sophora est un personnage propre à la version Épée du DLC.
Partons à l’aventure !
Entre toutes ces missions, vous avez toujours la possibilité de vous échapper pour arpenter l’île à votre guise. Des plages, des coins de verdure, une forêt, des cavernes, une montagne, entourés évidemment de beaucoup de mer, que vous pouvez parcourir avec votre vélo tout terrain. C’est toujours un plaisir de partir explorer de nouveaux environnements, ceux-ci étant particulièrement variés et île oblige, plus compacts que dans le jeu d’origine.
Sur place nous retrouvons ces nouveaux (anciens) Pokémon, des tas d’objets inédits à Pokémon Épée et Bouclier (souvent liés aux évolutions des Pokémon). Les fonctionnalités en ligne et les puits de combat sont toujours là, ce qui donne la possibilité d’affronter des adversaires géants en mode Dynamax.
Plein de petites choses sont à découvrir par-ci par-là. Apia l’épouse du maitre vous demande de lui offrir vos watts précieusement collectés dans les puits pour agrémenter le dojo. Hortensio son fils vous présente sa machine à recycler des objets. Bref, Pokémon est toujours cette petite boite à malice qui a fait le succès de la série.
Des missions quelque peu prétexte
Les missions proposées par Mustar sont très peu passionnantes et ne sont prétexte qu’à découvrir l’île plus en avant... auquel cas vous ne l’auriez pas fait par vous-même ! C’est ainsi que l’on se retrouve à courir derrière des Ramoloss, faire la cueillette aux champignons et faire quelques combats vite emballés.
Vous avez enfin récupéré le Pokémon que l’on ne cesse de nous montrer dans les trailers : Wushours ! Et il faut bien avouer qu’il est trognon, ce petit ours grognon !
Vous avez désormais un choix : faire évoluer Shiffours au sein d’une des deux tours de l’île. Une fois cet exploit accompli, l’aventure n’est pas terminée ! Quelques épreuves nous attendent dans un dernier tiers du jeu mais sont malheureusement encore moins intéressantes que les précédentes.
En ligne droite l’histoire du jeu se termine très rapidement, en deux heures à peu près. Est-ce que l’on a passé un mauvais moment ? Non ! Est-ce que l’on reste sur sa fin ! Oui ! Même si son histoire se termine sur place, le DLC est clairement un appel du pied vers la deuxième partie des aventures extra-Galar... DLC que vous aurez de toute manière déjà acheté si vous vous êtes procuré le pass d’extension.
Presque pour rire, le jeu nous propose enfin de partir à la quête de 150 Taupiqueur cachés sur l’île. Enfin, "cachés" est un grand mot puisqu’on les trouve à portée de main dans tous les coins !
Cette île solitaire de l’Armure est un petit bonus plutôt doux et agréable pour prolonger l’aventure Pokémon Épée / Bouclier. Sorte de symbiose entre le jeu vidéo et un épisode de dessin-animé que l’on regarde le samedi matin, il ne risque pas vraiment de décevoir les fans, trop heureux d’explorer des terres nouvelles et de rigoler des blagues potaches de ses joyeux habitants entre deux missions fedex.
Pour terminer, je vous propose une vidéo de découverte du DLC ! Embarquez dans cet épisode rempli de bonne humeur !
La conférence de présentation de la PlayStation 5 était pas trop mal !
Rien qui me rende particulièrement fou car on va vu très peu de gameplay. Le Zelda/BGE-like Kena Bridge of Spirit m’intrigue.
Bugsmax m’a fait un peu rire. Resident Evil 8 et Horizon 2 ne sont à priori pas trop pour moi. Bref, c’est pas tout de suite que je vais sauter le pas. D’autant qu’à l’heure actuelle, on ne connait ni la date de sortie ni le prix de la machine.
Machine qui se décline d’ailleurs en deux modèles : un avec lecteur de disque et un sans.
Rappelons-nous nos débats houleux sur la montée du dématérialisé ! Et ne nous leurrons pas : les arguments contre le démat sont toujours valables ! Seulement l’habitude a fait son chemin (on a pour beaucoup acheté Animal Crossing New Horizons en démat pendant le confinement), et les mœurs ont finalement changé. Le pratique et le gain de place sont de nouvelles valeurs qui comptent plus que la possession et le partage.
Bref, c’est gentil à Sony d’avoir pensé (une dernière fois ?) à nous, pauvres dinosaures de l’ancienne ère des objets polluant !
Toujours dans cette idée de couvrir les perles de la Wii, revenons sur les grosses licences Nintendo ! Mario, Zelda, Donkey Kong et quelques autres sont à l’affiche sur ma chaîne aujourd’hui !
Commençons tout d’abord par Super Mario Galaxy, que je n’avais pas rebranché depuis sa sortie, et franchement, je ne comprends pas pourquoi. Cela aura eu au moins le mérite de me rappeler l’effet bœuf que j’avais eu du jeu à sa sortie en 2007 !
J’enchaîne ensuite avec Super Mario Galaxy 2, excellente suite. Pour certains elle est meilleure, pour d’autres l’effet de surprise est passé. Mais la qualité est là ! En tous cas, en ce 11 juin 2020, on fête les 10 ans du jeu !
Ensuite j’ai commencé un petit let’s play du début de l’aventure de The Legend of Zelda : Skyward Sword, qui m’a rappelé les bons côté su jeu, mais surtout les mauvais ! Un épisode que l’on peut s’attendre à voir un jour porté sur une prochaine console Nintendo (la Switch et ses Joycon gyroscopiques ?), puisqu’il est le seul épisode de salon sur la liste !
Je vous renvoie d’ailleurs sur la critique que j’avais faite sur The Legend of Zelda : Skyward Sword après sa sortie.
J’ai aussi fait des vidéos de Donkey Kong Country Returns, Wario Land : the Shake Dimension. Pour New Super Mario Bros Wii et Link’s Crossbow Training, je vous invite pour l’instant à aller voir sur la chaîne directement !
Révélé ce 10 juin, Alex Kidd in Miracle World DX sortira en 2021 sur tous les supports !
Alex Kidd in Miracle World sur SEGA Master System est l’un de mes tous premiers jeux sur console (si on ne compte pas l’Atari 2600 ou la Game Boy), et même si le jeu est ressorti tel quel en 2019 sur Switch dans la série SEGA Ages, cela fait toujours plaisir d’avoir de ses nouvelles.
Il s’agit ici d’un remake, à priori fidèle dans son gameplay et level-design. Le jeu est développé par un fan, qui a eu l’autorisation de SEGA de continuer son travail de manière officielle. C’est amusant de voir qu’après Wonder Boy, Sonic Mania ou encore Streets of Rage 4, SEGA n’hésite plus à confier ses licences fétiches à des fans développeurs, qui visiblement ont l’air de plus savoir ce qu’ils font que SEGA eux-même !
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