Dernier ajout : 6 août.
J’ai terminé Torna - The Golden Country. Etait-ce une bonne idée d’avoir séparé le passé de quelques uns des personnages de Xenoblade Chronicles 2 pour en faire une aventure à part entière ? L’aventure est-elle suffisamment longue ou prenante pour nous donner envie de replonger ? Partons à la découverte d’un continent oublié nommé Torna...
Test publié sur Puissance-Nintendo
Sans trop vouloir me répéter avec la preview du jeu, rappelons que cet épisode Torna est à la base un DLC issu du Season Pass de Xenoblade Chronicles 2. Il est donc nécessaire de posséder le jeu d’origine pour pouvoir y avoir accès. Néanmoins, Nintendo a eu la bonne idée de sortir Torna à part en version boite, ce qui laisser la possibilité aux joueurs de faire l’aventure sans forcément passer par le jeu d’origine. Ce test tâche donc de s’adresser à la fois aux personnes qui ne connaissent pas du tout Xenoblade Chronicles 2 comme à ceux qui l’auraient déjà rodé.
Torna, le titan oublié
Torna - The Golden Country nous raconte des événements survenus dans la contrée d’Alrest cinq cents ans avant les aventures du jeune Rex. A cette époque, le monde est en guerre et Malhos, une entité dotée de pouvoirs quasiment divins, réduit les régions à feu et à sang.
Nous incarnons Lora, une jeune mercenaire intrépide, accompagnée de Jin, un épéiste. Ils sont pilote et lame, c’est-à-dire un humain lié à un esprit magique dont la vie dépend lui de l’autre. Lora a "hérité" de Jin dix-sept ans auparavant et depuis ils ont largement eu le temps de perfectionner leur art de combat. Ils rencontrent très vite d’autres personnages et décident de s’allier pour partir à la poursuite de Malhos et l’empêcher de nuire. Leur aventure commence sur le dos du titan/continent Torna pour aller et venir entre d’autres régions proches, dont certaines connues.
Un système de jeu qui a fait ses preuves
Torna est une préquelle à Xenoblade Chronicles 2 dont il reprend toutes les mécaniques du système de jeu.
Cela va du moteur graphique au système d’affichage des informations. Les menus sont les mêmes : on y trouve toujours les systèmes d’amélioration de compétences et de capacités, sous forme de points d’expérience à attribuer d’un côté, et de missions à effectuer pour débloquer les cases d’un sphérier. Que ce soit des objets à équiper ou bien des items consommables à mettre dans sa sacoche, tous ces aspects pas forcément faciles à appréhender faute d’explication sont néanmoins essentiels pour bien faire progresser ses personnages au fur et à mesure de l’aventure et s’assurer qu’ils soient à niveau.
Le jeu change néanmoins quelques petites choses qui en font sa singularité. Oubliez tout d’abord la collection fastidieuse de lames, vous conserverez les mêmes personnages tout le long de cette petite aventure. De temps en temps vous rencontrez certaines actions de terrain à effectuer via les capacités de vos personnages, comme couper un tronc d’arbre pour passer ou encore assécher un cour d’eau empoisonnée. Les capacités des sphériers de vos lames sont ici préparées pour correspondre aux actions rencontrées sur le terrain.
Plus besoin donc d’avoir à trouver les lames nécessaires via le fastidieux système d’éveil de Xenoblade Chronicles 2 ! Mais pour débloquer certaines actions de terrain, il vous faut néanmoins continuer de débloquer les capacités du sphérier en réalisant des missions, comme tuer un certain nombre de monstres de tel type ou ramasser un certains nombre d’objets sur le terrain par exemple.
Pilotes et lames, même combat
Une fois les différentes rencontres effectuées, le jeu nous met en mains jusqu’à trois groupes de personnages, qu’il est possible d’incarner et de changer à tout moment en pleine exploration. Chacun des leaders de groupe dispose de deux lames avec lesquelles on peut également switcher selon bon nous semble. Le pilote choisi engage alors le combat. Si vous n’avez pas envie d’incarner Lora, vous pouvez décider de marcher dans les pas de Jin ou toute autre des personnages qui les accompagne. On remarquera cependant qu’en début de partie, le personnage de Lora contrôlé par le jeu n’est pas aussi fort qu’on pourrait le croire. C’est donc une difficulté supplémentaire à surmonter si vous décidez de jouer avec d’autres personnages.
En combat, il est également possible de switcher entre son pilote et ses deux lames. Les enchainements peuvent s’avérer très efficaces si l’on arrive à alterner les personnages. Il s’agit d’attendre la disponibilité d’un personnage en observant le remplissage de sa jauge puis en le faisant intervenir en remplacement d’un autre. L’alternance pilote/lame fonctionne, mais également le changement lame/lame.
Composé par d’autres pilotes de renom, votre groupe va rapidement s’avérer très efficace en combat. Le système de combos a été simplifié puisqu’il permet la réalisation d’enchaînements de façon quasiment systématique, que ce soit les puissantes combinaisons "déstabilisation/chute/éjection/commotion", les attaques magiques lourdes propres à chaque personnage ou duo de personnages, ou encore les enchainements ultimes qui consistent à exploser des sphères de magies qui se sont créées autour des ennemis au fur et à mesure de vos coups.
Pour lancer l’enchaînement ultime, il faut que la barre d’entente bleue en haut à gauche de l’écran soit remplie au maximum et appuyer sur la touche "+" pour la lancer (une touche pas particulièrement intuitive). Un rappel bon à préciser tant l’attaque peut être décisive pour se débarrasser rapidement d’ennemis très forts. Une fois lancé, il s’agit de détruire les sphères magiques en envoyant une attaque d’un élément contraire. L’enchaînement peut continuer tant que vous détruisez au moins une sphère en un tour (composé des attaques des trois groupes), jusqu’à la possible extermination finale où tous les personnages s’y donnent à coeur joie.
Cette technique nous est apprise lors d’un des points un peu délicat du jeu, face à la première bestiole qui nous aura demandé de faire une petite heure de leveling... à moins que ce soit parce que nous n’avions plus Lora comme chef de troupe ?
Camping sauvage
C’est notamment au cours de cette phase de perfectionnement que nous avons pris le temps d’observer ce qui nous entoure. De cette caverne dont il faudra ouvrir les portes d’éther sombre en ramassant des plaques tout au long du jeu aux ennemis uniques redoutables, de la vie qui s’écoule devant nos yeux avec des habitants aux multiples objectifs, de ce geyser que l’on ne peut activer pour le moment, beaucoup de choses vont nous occuper.
Dans Xenoblade Chronicles 2, les personnages allaient se reposer dans des auberges. C’était le luxe. Dans le passé, les villes ne sont pas aussi développées, du moins dans les régions que nous allons visiter. Près des campements, des feux de camp sont installés et c’est là que vous allez pouvoir vous poser. Il y est toujours possible de faire gagner des niveaux à ses personnages, de façon optionnelle, pour ceux qui souhaiteraient avancer plus rapidement dans l’aventure.
Le système d’artisanat permet de créer des artéfacts de toute sorte, lesquels peuvent être ensuite assignés aux personnages, voir consommés lorsqu’il s’agit de nourriture. Chaque personnage cultive une spécialité qui va de la cuisine à la confection de parfums ou d’appareils mécaniques aux vertus toujours plus pratiques sur vos statistiques. Une liste d’objets toujours plus grandissante au fur et à mesure de vos rencontres et discussions qui ne demandent que des items à ramasser ça et là dans la contrée. Certains missions du sphérier demandent d’ailleurs d’utiliser ces items un certain nombre de fois. Il s’agit donc d’un aspect crafting totalement subsidiaire mais qui, avec toutes les connexions liées aux quêtes, pourront satisfaire les plus curieux d’entre vous.
Mais c’est là désormais que l’on pourra lancer des "papotages" entre nos campeurs. Ces dialogues supplémentaires n’ont pour seul but de nous faire assister à l’évolution des relations entre nos personnages, lesquels sont souvent très curieux de découvrir de quel bois sont faits les autres. Cela ne sert à rien, les discussions parlent de tout et de rien, mais cela crée progressivement un attachant plus fort que l’on aurait pu le croire. Et comme si cela ne suffisait pas, un système encore plus vicieux est instauré pour nous faire vivre encore plus d’événements anodins avec nos héros.
So-li-da-ri-té
Leur but commun a beau être de localiser leur ennemi Malhos, nos personnages - de sang royal pour la plupart - ne perdent pas de vue qu’il faut aider son prochain. Les voilà donc à accepter toutes les demandes d’aide des autochtones, qui sont autant de quêtes qui vont s’ajouter dans le menu correspondant.
Nouveauté, le système de solidarité vient remplacer celui des mercenaires de Xenoblade Chronicles 2. Chaque fois que vous rencontrez un personnage PNJ, son icône vient s’ajouter à un menu de solidarité qui ressemble beaucoup à celui que l’on avait dans Xenoblade Chronicles premier du nom sur Wii. Tous les personnages ont certes une histoire, mais pas forcément de quête à vous proposer. Il arrive parfois qu’une quête se débloque plus tard en fonction des événements et des péripéties que vous aurez accomplies.
Mais à quoi peut bien servir ce diagramme ? Plusieurs missions accomplies font élever le niveau de solidarité sans que cela n’ait finalement de répercussion directe sur le jeu. Il faut attendre quelques heures de jeu pour le couperet tombe : passé un certain stade du scénario, on nous invite à atteindre le niveau de solidarité supérieur, juste pour le plaisir de mieux connaître les habitants de la ville dans laquelle on vient d’arriver ! La suite de l’histoire ne se débloquera qu’après avoir aidé untel à avoir ramené ses bêtes au bercail ou encore retrouvé un pauvre quidam perdu dans les landes. Les missions n’ont que très peu d’intérêt et font même bouillir le joueur pressé d’en découdre. Heureusement il suffit d’une heure ou deux pour boucler cette phase d’aide envers son prochain.
Seulement voilà, à peine deux heures plus tard et quelques remous scénaristiques plus loin, le jeu nous invite une nouvelle fois à faire preuve de solidarité. Il faut désormais atteindre deux niveaux de solidarité supérieurs, ce qui correspond à de nombreuses quêtes à effectuer. La logique scénaristique éclate : le monde est sur le point d’être anéanti et on demande aux princes et rois d’Alrest d’aider des ados dans leurs amourettes, ou de remplir des concours de cuisine !
On y verra tout d’abord une volonté de gonfler artificiellement la durée de vie du jeu (et on aura raison). On se console en se disant que ce leveling d’à peine quelques heures sera toujours bienvenu, et que ce sera ça de quêtes à faire en moins par la suite... et puis finalement la magie opère. Se crée, à l’image d’un des personnages du jeu au coeur plutôt fermé à autrui, une connexion inattendue avec ce peuple que l’on doit sauver.
Une aventure qui prend au coeur
Tout comme Xenoblade Chronicles 2 et ses interminables cinématiques basées sur le quotidien des personnages, Torna sait nous prendre par les sentiments sur la longueur. Torna n’a certes pas la durée de vie du jeu dont il est issu, mais il réussit lui aussi à nous faire aimer ses personnages à force de nous les présenter dans toutes les situations possibles, qu’elles soient banales ou épiques. Lora, Jin, Adam et sa clique sont beaucoup plus adultes et intéressants à suivre qu’on pu l’être Rex, Pyra, Poppi ou l’insupportable noppon Tora !
Ceux qui attendent des révélations vis-à-vis de Xenoblade Chronicles 2 auront leur lot d’explications, même si plusieurs éléments importants sont définitivement laissés sous silence, au dessus d’une mer de nuage et à travers les âges...
Si vous avez aimé Xenoblade Chronicles 2, il n’y a aucune raison pour que Torna ne vous comble pas. De même, les réfractaires au premier n’aura aucune raison de s’y sentir mieux, sauf à prendre en compte le changement de ton, plus mature, et la durée de vie bien plus courte. Parce qu’il ne dure qu’une dizaine d’heures, Torna peut également s’avérer un bon choix pour ceux qui voudraient découvrir cet univers sans avoir à passer par la durée de vie beaucoup plus conséquente de l’épisode d’origine. Les scénaristes ont habilement joué leur partition pour que l’un et l’autre puissent être découverts dans un sens comme dans l’autre, et que Torna introduise Xenoblade Chronicles 2 sans le spoiler. Torna démarre sur les chapeaux de roue et nous faire vivre des moments précieux au sein d’une joyeuse troupe, puis ne fait finalement que rejoindre la boucle un peu trop rapidement. On en aurait bien demandé encore quelques heures de plus...
SEGA annonce la venue prochaine de Virtua Racing (version arcade) sur Nintendo Switch ! Je me rebranche la version Saturn pour le plaisir !
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La Switch vient d’accueillir le Nintendo Switch Online. Vous pouvez désormais souscrire à un abonnement pour pouvoir continuer à jouer en ligne et profiter de nouveaux services dédiés. Voyons tout ça ensemble !
Mise à jour de la console
Une mise à jour de votre console Nintendo Switch va se faire automatiquement. Vous pouvez également la faire manuellement si vous êtes trop impatient !
La mise à jour qui s’effectue alors concerne également les Joy-Con. On imagine que cela est lié aux jeux NES qui vont devenir compatible avec les manettes.
A noter que votre contrôleur pro peut également se mettre à jour si vous le reliez à la Switch via son câble de recharge.
Télécharger la chaîne Nintendo Switch Online
La chaîne Nintendo Switch Online peut également être téléchargée sur le Nintendo eshop. Il s’agit bien évidemment d’un téléchargement gratuit. La voilà désormais sur votre bureau.
Lançons-là ! Seulement voilà, vous n’avez pas d’abonnement au service. Il vous est proposé de vous rendre sur l’eshop une nouvelle fois. Un nouvel onglet "Nintendo Switch Online" vous propose les formules d’abonnement.
S’abonner au Nintendo Switch Online
Vous pouvez souscrire à une période d’essai de sept jours ou bien choisir une des formules d’abonnement (mensuelle, annuelle, compte familial) pour disposer d’un accès au Nintendo Switch Online. Vous pouvez régler - comme pour les jeux eshop - par carte bancaire ou PayPal, et également utiliser vos points Or si vous en possédez.
Je vous renvoie sur le site de Nintendo pour consulter les différentes formules d’abonnement et la FAQ du service.
Vous voilà possesseur d’un accès au Nintendo Switch Online ? Vous pouvez désormais continuer à utiliser les services de jeu en ligne de la console, avoir accès aux jeux NES, sauver vos données de jeu sur le Cloud et utiliser l’appli smartphone pour d’autres jeux que Splatoon 2.
Envoyer ses données de sauvegarde de ses jeux sur le Cloud
C’est l’une des fonctionnalités de ce service online : vous pouvez envoyer vos sauvegardes de jeu en copie sur le Cloud. Les données restent sur votre console, mais une copie sur les serveurs de Nintendo ne fait pas de mal, au cas où vous perdriez votre console. Vous pourriez alors tout recopier sur une nouvelle machine reliée de nouveau avec votre compte Nintendo. Comme annoncé précédemment, tous les jeux ne pourront pas forcément voir leurs sauvegarde copiées, notamment les jeux avec classements et/ou objets collectibles en ligne, pour éviter les abus.
Rendez-vous dans les réglages de votre console, dans la section "Gestion des données". Là vous aurez accès à un menu "Copie vers le Cloud". La liste de vos jeux/sauvegardes de vos jeux s’affiche.
Il faudra envoyer manuellement une première fois les données de chaque logiciel pour qu’elles aillent sur le Cloud. Une copie automatique peut ensuite être activée pour ne plus avoir à s’en occuper. Vous pouvez supprimer à tout moment les données envoyées, ou choisir de les télécharger si vous veniez à les effacer de votre console par erreur.
Cela fait un petit quelque chose d’envoyer ses sauvegardes sur un serveur externe non ?
Les jeux NES
Lorsque vous lancez la chaîne Nintendo Switch Online, voici désormais ce qui apparait : une sélection de jeux NES jouables sur votre Switch !
Ces grands classiques sont jouables avec n’importe quelle manette compatible Switch : un Joy-Con, deux Joy-Con un dans chaque main ou une manette pro. Personnellement, on a trouvé le meilleur feeling avec un Joy-Con dans chaque main. Des manettes NES spéciales seront disponibles à la vente pour les possesseurs d’un compte d’un an à partir d’aujourd’hui sur le site de Nintendo.
L’interface est simple et les jeux se lancent instantanément. Sur la barre de menu à gauche, on nous propose les jeux pour "1 joueur", "2 joueurs", "en ligne" (on peut rejoindre un ami sur son jeu, ou tout simplement créer une session en lançant soi-même un titre) et les paramètres, qui portent essentiellement sur la définition de l’écran ( 4:3, Pixel Perfect ou filtre cathodique).
Allez, on lance son premier jeu. Au hasard... Super Mario Bros ! Le jeu n’est plus à présenter et c’est un véritable plaisir d’y jouer en mode portable. Les jeux sont parfaitement recréés.
En appuyant sur Let R on lance le menu du jeu qui permet de sauvegarder une partie, en charger une, de réinitialiser le jeu ou encore de revenir au menu des jeux NES.
Sur le menu des jeux NES, on se rend compte que l’on peut en appuyant sur X depuis l’in ou l’autre jeu avoir une petite note de présentation du titre. C’est là également que l’on voit son temps de jeu pour chacun.
Avec le bouton Y, on pet déplacer les jeux pour les ranger à notre guise. Il y a actuellement deux lignes de 7 jeux et une ligne de 6. Celle de 6 peut présenter les jeux avec des jaquettes un peu plus grandes, pour mettre ses jeux préférés par exemple.
Voilà pour un premier tour des nouvelles fonctionnalités de ce nouveau service payant qu’est le Nintendo Switch Online. Nous reviendrons vers vous avec d’autres informations sur le service dès qu’elles se présenteront. De votre côté, allez-vous y souscrire ?
Après la vidéo de Final Fantasy Crystal Chronicles, je me suis dit que ce serait pas mal de se replonger dans l’autre jeu multi à 4 GBA de la Gamecube : Zelda Four Swords Adventures !
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Il manquait à la Switch un bon Party Game (Non 1, 2 Switch n’existe pas), voilà qui est résolu ! En tous cas c’est ce qui nous semble être le cas après avoir longuement joué à plusieurs à Super Mario Party ! Découvrons un peu de quel bois est fait ce nouvel épisode !
Preview publiée sur Puissance-Nintendo
Cette preview a été réalisée chez Nintendo avec trois autres joueurs Joy-Con en mains. J’ai pu découvrir le plateau intitulé "Atoll fruité de Méga Bloups", le mode "Excursion en rafting" et deux jeux de la "Salle de jeux de Toad".
Votre serviteur est un grand fan des Mario Party de l’ère Gamecube. Depuis il a vaguement joué à la série, principalement à l’épisode sur DS (mais tout seul, c’est un peu tristoune) et un peu à l’épisode Wii U (avec des amis).
Le retour des soirées cosy
Mario Party 10 sur Wii U avait la particularité de rassembler les quatre joueurs sur un chariot qui se déplaçait sur le damier. Mais si chacun lançait son dé les uns après les autres et obtenait des conséquences personnelles, tout le monde était dans le même bateau et c’était un peu bizarre. Le joueur qui avait le Gamepad était à part et contrôlait Bowser, à la poursuite des autres.
Bref, retour à la formule de base : dans Super Mario Party, chacun se déplace à tour de rôle et séparément, sur des damiers avec différents embranchements et quelques raccourcis et pièges un peu partout.
Dans le plateau "Atoll fruité de Méga Bloups", on trouve ainsi quatre petites îles reliées entre elles par deux chemins et des tuyaux. Le chemin du bas est un pot de sable qui s’effrite après plusieurs passages. Celui du haut en bois comporte des cases qui déclenchent la colère du Méga Bloups caché dans l’eau. Dans les deux cas, la conséquence est d’être renvoyé au tout début du plateau. Cela peut d’ailleurs être une tactique pour se rapprocher d’une étoile apparue dans cette zone.
Le but du mode plateau de Super Mario Party est toujours de collecter le plus d’étoiles pour arriver premier à la fin de la partie. C’est Toadette qui est la gardienne de ces étoiles qu’il faudra acheter dix pièces d’or, pièces que l’on gagne (ou perd !) en tombant sur les cases bleues du parcours ou en les remportant dans les mini-jeux.
Les mini-jeux interviennent systématiquement après que les quatre joueurs aient lancé leur dé et progressé sur le plateau. C’est la couleur des cases sur lesquelles les joueurs sont tombées qui vont déterminer les équipes : si tout le monde a la même couleur se sera un jeu chacun pour soit. Deux rouges contre deux bleues opposeront deux équipes. Un joueur seul affrontera les autres.
Au nombre de 80, les mini-jeux sont sélectionnés de façon totalement aléatoire. Tous ceux que nous avons faits se sont avérés réussis, ce qui est un gage de qualité pour un Mario Party. Beaucoup utilisent le gyroscope ou les vibrations HD de façon drôle et intelligente. De ce point de vue là c’est donc particulièrement engageant.
De même, le rythme des parties fonctionne bien. Une partie fait minimum dix tours et dure à quatre joueurs environ une heure, heure que l’on ne voit pas passer si l’on est en bonne compagnie. Les personnages ont des petites animations assez drôles qu’on ne leur connaissait pas. Tous les éléments pour créer des situations retorses sont présents. Vous pourrez ainsi piquer des pièces ou des étoiles à un autre joueur grâce à la présence d’un Lakitu de ce niveau... mais aussi en perdre si vous tombez au même endroit sur un Koopa à carapace rouge moins généreux !
Le plateau réserve également de nombreuses surprises. Parmi elles, Wiggler qui dispose d’une boutique où se trouve également une glace accompagnée d’un thermomètre. La température grimpe à chaque passage, et lorsqu’elle atteint son paroxysme, Wiggler devient fou ! Il fait un carnage sur la route, repoussant les joueurs présents au loin, délestés au passage de leurs pièces. Le système d’alliés qui vous donnent un petit dé supplémentaire fait son apparition, vous permettant d’enrôler à vos côtés un autre personnage Nintendo. On vous laisse la surprise pour les autres événements, notamment lorsqu’on arrive à trois tours de la fin de la partie, où certaines règles sont remises en question.
Chaque personnage Nintendo dispose d’un second dé qui lui est propre, avec des faces comportant des avantages et des inconvénients. Le plateau et les règles offrent donc réellement de quoi monter une stratégie. Même si il faut bien l’avouer, la chance joue un grand rôle dans toute cette affaire. Pour obtenir des étoiles supplémentaires en fin de partie, il faudra également avoir été bon dans certains domaines comme le nombre de cases parcourues ou le nombre d’alliés enrôlés. Un peu d’astuce et pas mal de chance pourront donc vous conduire à la victoire.
Même si - formule oblige - il faut évidemment attendre son tour que les autres joueurs aient fini leur manche, nos parties se sont avérées fun et dynamiques. La formule du plateau classique et de ses mini-jeux semble parfaitement maîtrisée, du moins pour ce que nous en avons vu.
Le grand rafting
Si le jeu de plateau nous laisse inactif une partie du temps (temps que l’on passera à vanner ses camarades ou tenter de les influencer dans leurs choix !), le mode de jeu "Excursion en rafting" nous demande lui une coopération de tous les instants.
Le long d’un rivière déchainée, le groupe doit coordonner ses mouvements de Joy-Con pour pagayer de façon réfléchie. Deux joueurs à gauche, deux à droite, et à chacun de faire au mieux pour avancer le long du parcours, et ce dans le temps imparti.
Des ballons roses se trouvent le long du parcours. Il faut passer dessus si l’on veut déclencher un mini-jeu à même de nous faire gagner du temps. Comme vous pouvez le voir en haut à droite de l’image ci-dessus, le parcours a plusieurs embranchements et il est long !
Chaque tronçon propose une façon différente d’évoluer sur l’eau. Dans certains il y a des accélérateurs, dans d’autres des flots déchaînés ou des reliefs rocheux. A chaque étape, on vous invite à lever les Joy-Con en l’air de manière synchronisée pour gagner un peu de temps... et en criant si possible "Hip Hip Hip, Hourra !" C’est bête mais ça marche à tous les coups !!
Un mode de jeux autrement plus dynamique qui s’avère donc particulièrement amusant, vous l’aurez compris.
Captain Toad Game Treaker
Puis vint le moment de passer sur la table, pour jouer aux fameux petits jeux qui utilisent deux consoles Switch pour créer des mini-jeux inédits. J’ai pu essayer deux mini-jeux de la "Salle de jeux de Toad".
Les "Demi-bananes en série" consiste à placer les écrans de sorte à recomposer l’image d’une ou plusieurs bananes de façon logique, puis à tracer un trait du doigt sur l’écran pour valider. Le jeu n’est pas difficile en soit quand on est seul, mais le fait d’être plusieurs vient forcément corser le jeu. Tout le monde veut y aller de son placement de console, persuadé qu’il a la solution, mais se trompe, et perturbe la réflexion des autres. Un mini-jeu plutôt idiot mais rigolo tout de même.
Le second mini-jeu, "Carapace Castagne Deluxe", est un jeu où deux contre deux vous devez exploser les mini-tank des autres. Avant de lancer la partie, vous pouvez choisir la disposition des consoles pour décider de la forme du terrain. Aura t-il des murs d’entrée de jeu entre les adversaires ? Est-ce un couloir ou un terrain en forme de L ? Une fois la composition établie, la partie peut commencer, et les joueurs de se tirer dessus jusqu’à plus soif.
Parmi les modes présentés, ces deux jeux de la "Salle de jeux de Toad" se sont avérés les moins drôles de tout ce que nous avions fait jusque là. Peut-être les autres mini-jeux de ce style sont-il meilleurs ? A noter qu’il faut donc deux consoles, mais également deux jeux Super Mario Party pour pouvoir y jouer.
Je n’ai pu découvrir que ces trois mode de jeu. Il y en a d’autres, que nous verrons plus tard. La sortie de Super Mario Party est programmée pour le 5 octobre prochain.
Voici une vidéo maison avec des séquences de gameplay que j’ai pu enregistrer :
Avec un mode plateau solide et un mode "rafting" réussi, Super Mario Party m’a convaincu. On attendra de voir les autres modes de jeu et l’intérêt des mini-jeux utilisant deux consoles avant de porter un avis définitif. Mais en l’état, c’est bien parti !
Ce vendredi 14 septembre 2018, Nintendo nous a gratifié d’un bien beau Nintendo Direct. Il faut dire que les précédentes éditions avaient soufflé le chaud et le froid, sans parler d’un E3 assez peu folichon.
Alors on a certes encore eu droit à du remaster Wii U, avec le futur New Super Mario Bros U. Deluxe, prévu pour le 11 janvier 2019 sur Switch. Et la 3DS se dote d’un nouveau portage avec cette fois-ci le délicieux Kirby Epic Yarn de la Wii avec Kirby : Au fil de la grande aventure lui aussi pour 2019. C’est triplement officiel, Diablo III : Eternal Collection sortira sur Switch le 2 novembre. Cities : Skylines, un simulateur de construction urbaine, est disponible dès aujourd’hui. Civilization VI fera également un tour par la Switch dès le 16 novembre. Katamari Damacy REROLL déboulera lui aussi à l’hiver 2019. Différents jeux de plateau (Carcassone, Lord of the Rings, Pandemic, Catane) arrivent en version jeu sur Switch !
Yoshi’s Crafted World est bien plus joli qu’auparavant et sortira au printemps 2019. Game Freak (Pokémon) présente un bien mignon RPG en 3D appelé provisoirement Town. Je vous passe les autres annonces, les mises à jour de jeux existant, concentrons-nous sur le gros de ce Nintendo Direct !
4) Le Nintendo Switch Online
Lui, c’est un peu la pilule à avaler de ce Direct. On sent que Nintendo a mis des gants pour nous nous faire accepter que d’ici quelques jours, il faudra payer pour continuer à jouer online sur Switch.
Cela passe par une bande-annonce soporifique où même la voix-off française n’est pas convaincue par ce qu’elle dit. Jeu en ligne donc, sauvegarde des données de jeu par cloud, ouverture du catalogue de jeux NES, application mobile dédiée, surprises à venir... Difficile d’être enthousiaste vers ce changement de paradigme.
Découvrir le Nintendo Switch Online
3) Les Final Fantasy de la PlayStation enfin chez Nintendo !
C’est selon moi l’annonce historique de ce Direct : les épisodes en 3D de Final Fantasy qui étaient passés chez la concurrence après FF6 vont revenir dans le giron de Nintendo ! En témoignent les bonnes relations avec Square-Enix (Octopath Traveler), l’eau qui a coulé sous les ponts, le succès de la Switch, et le fait que la plupart de ces jeux aient fait l’objet de remake qui facilitent leur portage sur d’autres supports.
Passons sur le remaster de Final Fantasy Crystal Chronicles, ébruité cette semaine, du retour du Donjon RPG Chocobo de la Wii, ce sont bien Final Fantasy 7, 9, 10, 10-2 et 12 qui vont débarquer prochainement sur la console ! Un rêve éveillé ! J’espère que cela me motivera à finir l’excellent FF7, enfin commencer le 9, et essayer d’aller plus en avant dans le 10 et le 12, qui n’avaient pas forcément réussi à m’accrocher dans le passé.
2) Luigi’s Mansion 3 !
Si le Nintendo Direct a très bien commencé, c’est parce qu’il a révélé une des annonces que de nombreux joueurs attendaient depuis longtemps : la suite des aventures de Luigi’s Mansion, et sur Switch !
Prévu pour 2019, le jeu s’est montré en quelques séquences qui, si elles ont encore le temps d’être visuellement améliorées, nous plongent déjà dans l’ambiance. Luigi devra une nouvelle fois sauver Mario kidnappé dans un grand hôtel au clair de lune. Grosse hype !
1) Animal Crossing Switch !!
Le voilà enfin annoncé officiellement : la Switch aura en 2019 son épisode de la série principale !
Nintendo s’est tout d’abord joué des spectateurs en mettant en scène la douce Marie dans la mairie des villages d’Animal Crossing. On pense alors immédiatement à AC !... Mais il ne s’agit en fait que l’invitation de son personnage dans Smash Bros Ultimate !... On est content mais évidemment déçu qu’il ne s’agisse pas d’un jeu Animal Crossing...
Et puis la lumière se rallume. Tom Nook s’entretient avec nous et avoue qu’il est difficile de tenir un village en l’absence de l’adjointe au maire Marie. Sans parler des activités à gérer au camping (Pocket Camp). Et qu’il aurait bien besoin d’aide à la ville. Sur une petite musique désuète propre à la série, la séquence se termine avec un panneau avec le logo Animal Crossing et la date de 2019. Suffisamment pour comprendre que Animal Crossing débarquera sur Switch l’année prochaine !
Vous savez à quel point j’attendais cet épisode Switch de Animal Crossing !
Avec ces quelques annonces fortes et un catalogue riche et varié, Nintendo a reconquis l’espace perdu de ces derniers mois. Il ne reste finalement plus que Pikmin 4 comme arlésienne de la Switch. Metroïd 4 et Pokémon RPG 2019 n’ont plus qu’à se montrer prochainement pour parfaire notre bonheur de fan.
A suivre : En attendant le Direct... (6 février 2019)
Si vous avez déjà fait et même fini Xenoblade Chronicles 2, il est possible que d’un point de vue scénaristique vous soyez resté sur votre faim. Non pas que l’histoire de Rex et Pyra n’ait pas été bouclée... Non je parle bien de toute cette galerie de personnages aux objectifs assez flous, quand ils ne sont carrément pas évoqués au moyen de flashback particulièrement obscurs. Tout pourrait trouver une réponse aujourd’hui avec le segment Torna - The Golden Country.
Preview publiée sur Puissance-Nintendo
Aujourd’hui 14 septembre, les possesseurs du jeu Xenoblade Chronicles 2 peuvent télécharger cette nouvelle histoire qui fait partie du pack de DLC pour le jeu. Il est malheureusement impossible de télécharger seul Torna - The Golden Country en ligne.
Ceux qui voudraient se lancer dans cette aventure sans forcément avoir à se procurer ou même faire Xenoblade Chronicles 2 (car oui, c’est à priori tout à fait possible d’un point de vue scénaristique) devront attendre encore une semaine. Une version boite du jeu est en effet prévue pour le 21 septembre dans le commerce. Les fans de jeux en boite seront également ravis. A noter que cette version boite contient également un code pour obtenir tous les DLC supplémentaires de Xenoblade Chronicles 2 (dont il faudra là posséder une copie pour en profiter) : objets, quêtes, lames rames et le mode "défis de l’arène".
Les jeux Xenoblade Chronicles 2 et Xenoblade Chronicles 2 : Torna - The Golden Country ne partagent aucunes données entre eux. Ne comptez donc pas reprendre vos sauvegardes et retrouver personnages, lames ou objets : avec Torna, vous repartez de zéro dans une toute nouvelle aventure !
Torna, the Golden Country
Ceux qui ont parcouru Xenoblade Chronicles 2 ont entendu parler de cette guerre qui s’est déroulée il y a 500 ans. Dans Torna - The Golden Country, cette guerre est une réalité. Les différents pays se combattent pour la conquête du royaume d’Alrest. L’Aegis Malhos qui dit agir au nom du créateur, l’Architecte, est en train de tout détruire. Jin et Lora, deux guerriers, se sont promis de l’empêcher de nuire.
Lora est une jeune femme débrouillarde et combative qui a obtenu dans la passé l’assistance et les pouvoirs magiques de Jin, un épéiste. Pilotes et lames, à savoir humains et entités magiques, sont liés par un profond pouvoir. Au début de Torna, nous les retrouvons perdus dans une forêt à la recherche d’un village attaqué par une milice. Le duo fait très vite la rencontre d’un autre pilote accompagné de sa lame... et déjà les joueurs de Xenoblade Chronicles 2 trouvent certaines réponses à des questions laissées en suspend. Qui est Adam, ce mystérieux personnage souvent évoqué dans le jeu ?
Avoir fait le jeu précédent est évidemment appréciable pour savourer ce pan de l’histoire. Mais cela peut également s’avérer un bon commencement de la saga pour enchaîner ensuite avec les événements se déroulant 500 ans plus tard (et comprendre pleinement les flashback). La suite de l’aventure m’excite déjà à l’évocation de certains noms, lieux, l’apparition de figures connues ou de nouveaux personnages étroitement liés à des situations déjà rencontrées.
En terrain connu, avec quelques surprises
Les joueurs de Xenoblade Chronicles 2 ne seront pas surpris par la forme que prend le jeu puisqu’elle reprend exactement la même configuration dans Torna. Les contrôles sont les mêmes, à quelques petites nuances près que nous allons évoquer. Les graphismes sont sensiblement du même acabit, même si il faut avouer que la toute première cinématique du jeu est un cran au dessus de ce que l’on a pu croiser dans le précédent.
Il s’agit toujours d’explorer les environnements d’un point à un autre tout en suivant l’histoire qui se développe au cours de nombreuses cinématiques. Nous incarnons tout d’abord Lora accompagnée de Jin, lesquels sont rapidement confrontés à des ennemis qui vont nous permettre de nous familiariser avec le système de combat. En temps réel, il s’agit de déplacer le personnage autour des créatures et d’appuyer sur les différents boutons d’attaque jusqu’à les charger et les lancer. Tout un système de combo peut être utilisé, notamment en collaboration avec sa lame. De nombreux tutoriaux s’affichent à l’écran pour nous rappeler les grandes lignes de ce gameplay pas forcément facile à comprendre de prime abord.
La première nouveauté de Torna est que l’on peut désormais lancer sa propre lame au combat en remplacement de son personnage. Lorsque l’icône représentant Jin est encerclée de rouge, il est en effet possible d’interchanger son personnage avec Lora. Cela sert notamment à placer un bon combo dévastateur : Lora déstabilise tout d’abord l’ennemi puis Jin intervient pour le faire chuter. C’est une variante plus directe de ce que l’on trouvait déjà dans le jeu d’origine. Une fois le combat terminé, Lora redevient notre personnage principal et repart à l’exploration.
On découvre un peu plus loin dans les menus que Jin peut très bien devenir notre personnage principal. C’est alors lui que l’on dirige dans les phases d’exploration. Une fois que Lora a acquis une deuxième lame, il est également possible de switcher de lame comme personnage secondaire (comme dans "Xeno 2") mais cette fois aussi comme personnage principal. Le changement de personnage en combat est une aubaine pour ceux qui veulent faire un maximum de dégâts en faisant des enchaînements.
Ambiance feu de camp
Lora et Jin arrivent à leur objectif mais le village est dévasté. Après avoir vaincu un robot géant, ils font la rencontre de nouveaux compagnons avec lesquels ils vont faire alliance.
C’est le moment d’explorer un peu plus les menus pour découvrir les statuts de ces personnages et de voir que, comme dans le précédent jeu, il est possible d’améliorer leurs attaques et d’observer quelles missions réaliser pour compléter les étapes de leur sphérier de compétences. Ici, tel personnage ou lame doit tuer un certain nombre de lapins mutants du coin pour progresser. On part donc faire un peu de leveling, d’autant que ce robot nous avait donné un peu de mal et qu’il est toujours bon de s’améliorer. Ce petit temps mort entre deux missions de la quête principale permet de fouiller les coins de la zone à la recherche de matériaux de toute sorte.
Ces matériaux sont notamment utilisés pour la confection d’artéfacts, à réaliser auprès d’un feu de bois. Chaque personnage de l’équipe a une spécialité, qu’elle soit culinaire ou manuelle, comme la confection de différents objets dont des amulettes de sorts.
Arrivés à un village, nos amis discutent avec tous les autochtones, lesquels ne pourront s’empêcher de nous raconter leur vie et nous confier une mission pour les aider. Qu’à cela ne tienne vous pouvez relever le défi immédiatement, comme choisir de vous en occuper plus tard.
Reprenant quelque peu l’organigramme des relations de Xenoblade Chronicles premier du nom, un sous-menu de Torna enregistre au fur et à mesure les données des personnages que vous croisez. Chacun est représenté par une petite icône et indique s’il est le sujet d’une quête en cours. Les personnages sont rangés par régions. Ce menu s’ouvre automatiquement après chaque rencontre avec un PNJ, par un long fondu noir, ce qui a tendance à fortement couper l’action quand on enchaîne plusieurs rencontres les unes après les autres !
Nous verrons si cet organigramme est toujours aussi clair après avoir été bien rempli ! Un système de solidarité augmente au fur et à mesure des missions réussies. A quoi peut-il bien servir ?
Nous pouvons en tous cas voir ici deux régions découvertes : Torna et Gormott (qui fait son retour, sous une forme forcément différente car 500 ans avant ; le village de Torigoth est très loin de celui que l’on connait). La disposition du diagramme veut-il dire qu’il reste deux autres régions à découvrir ? Nous le découvrirons par la suite...
Je me suis essayé à comparer le jeu en mode télévision et mode portable. Le problème de résolution fortement à la baisse en mode portable est malheureusement toujours d’actualité. Ceux qui ont pu tester Xenoblade Chronicles 2 savent de quoi il retourne ! Jouer en mode portable reste largement possible, mais légèrement moins agréable quand même.
Je n’ai pour l’heure aucune idée de ce que l’aventure réserve, ni même combien de temps elle durera. Je vous retrouverai plus tard pour un test complet du jeu une fois que j’aurai terminé l’histoire principale.
Pour terminer, voici une vidéo maison de la première heure de l’aventure. Un bon moyen de vous introduire à cet univers et de voir ensemble quels sont les liens avec Xenoblade Chronicles 2, les aventures de Rex et Pyra !
Mes premiers pas dans Torna - The Golden Country me remémorent immédiatement le sentiment d’immensité qui m’avait submergé avec Xenoblade Chronicles 2. Torna étant du même moule, on y reprend rapidement ses marques, et l’on se prépare à prolonger le plaisir d’une épopée de longue haleine. De petits ajouts de gameplay viennent dynamiser la formule. Les curieux qui ne connaissent pas la série peuvent tout à fait commencer avec cet épisode.
Rendez-vous prochainement pour le test complet du jeu, une fois l’aventure terminée. Cela sera certainement l’occasion de reparler de l’histoire et de la narration du jeu.
Un remastered du jeu Final Fantasy Crystal Chronicles sorti sur Gamecube en 2004 vient d’être annoncé par Square-Enix sur PS4 et Switch pour 2019. Coïncidence, je venais de tourner une vidéo du jeu sur ma bonne vieille Gamecube. Vidéo que je vous livre aujourd’hui.
Les Chroniques d’un cristal maudit
Sorti en 2004, Final Fantasy Crystal Chronicles est le premier épisode de la saga Final Fantasy a sortir sur console de salon Nintendo, après plusieurs années de disette. En effet, vous êtes maintenant nombreux à connaître le différent qui opposa Nintendo à Square lorsque, sorti du succès de la saga après plusieurs épisodes sur Nes et Super Nintendo, le développeur choisit de transférer l’avenir de la saga chez la concurrence. Pour des raisons techniques, Final Fantasy VII ne fut pas développé sur Nintendo 64 mais bien sur la PlayStation, avec le succès qu’on lui connait.
Six ans plus tard, les relations reprennent et le succès de la GameBoy Advance amène Square-Enix à développer Final Fantasy Tactics Advance sur la portable de Nintendo. Nintendo, via son président Yamauchi, va même jusqu’à entièrement financer un studio de développement pour assurer la mise en chantier d’un jeu à destination de la Gamecube. Game Designers Studio est en charge du projet. Fondé en 2002, le studio réalisera par la suite deux autres jeux autour de cette même licence : Ring of Fates sur Nintendo DS et The Crystal Bearers sur Wii.
Faire vendre des GBA
L’objectif de ce projet est de mettre en avant la connectivité Gamecube/GameBoy Advance. que Nintendo cherche à étendre pour créer une émulsion entre ses deux machines. Si de son côté Nintendo développe The Legend of Zelda : Four Swords, Game Designer Studio imagine un jeu où jusqu’à quatre joueurs peuvent rejoindre la partie pour s’entraider. Mais là où l’on aurait pu croire que quatre pad Gamecube auraient suffit, les développeurs vont pousser le vice jusqu’à utiliser quatre GameBoy Advance comme manettes, chacune dotée d’un écran où l’on peut lire et sélectionner des informations. C’est un peu le Wii U Gamepad avant l’heure !
Si l’idée est louable, et qu’une fois en jeu avec autant de consoles portables que de joueurs les possibilités d’interactions et d’amusement sont bien là, force est de constater que les moyens demandés pour profiter de l’expérience sont un peu exagérés. Peu de joueurs ont pu réellement pratiquer Final Fantasy Crystal Chronicles dans les conditions optimales. Dans le pack du jeu Nintendo fournit un câble de connexion GameBoy Advance : c’est déjà un début !...
Un beau voyage au pays des caravanes
Crystal Chronicles nous entraîne dans un monde où le mal pollue la contrée. Les villages se protègent du miasme ambiant au moyen d’un cristal dont il faut régénérer les pouvoirs tous les ans. C’est pourquoi des caravanes d’aventuriers partent régulièrement faire le plein de myrrhe auprès d’arbres spécifiques aux quatre coins du monde.
Vous-même êtes envoyé par votre famille pour récolter la précieuse substance, que vous collectez dans un calice spécifique. Le jeu vous propose de choisir votre apparence ainsi que votre classe, ce qui sera fondamental pour votre façon de combattre, mais également le métier de vos parents, pour faire progresser votre équipement mais également l’histoire.
D’une partie à l’autre de la carte, des barrières de miasme vous bloquent le passage. Ces barrières magiques résonnent à des éléments que peut recueillir le fameux calice et, une fois sélectionnés, vous permettre de passer plus en avant. Les allers et retours sont fréquents car une fois la myrrhe récupérée il faut retourner au village. Une année passe puis il faut repartir, explorant toujours plus loin la région.
Ensemble c’est tout
Seul ou à plusieurs, Crystal Chronicles est un jeu atypique dans lequel il faut prendre le temps de s’immerger. Il s’agit tout d’abord d’un action RPG, comprenez que les combats que vous mènerez sont en temps réel. Il se rapproche également des Hack ’n Slash puisque vos personnages sont amenés à se battre contre des hordes d’ennemis qui vont laisser sur leur passage des orbes de magies, items et pièces d’or pour améliorer votre condition. Il n’y a pas ici de points d’expérience, mais des coeurs de vie supplémentaires et un équipement à améliorer avec le temps. Le jeu en mode solo dispose de règles différentes des autres jeux du genre, pour la simple et bonne raison que c’est le jeu en multi qui est normalement privilégié.
Jouer en multi c’est faire équipe jusqu’à quatre personnages, lesquels doivent avancer en groupe dans les niveaux, toujours autour du porteur d’un calice qui les protège du mal. Chacun peut décider de porter ce calice quand il le souhaite (généralement on ne le souhaite pas car cela ralenti le joueur, on confiera cette mission à celui qui veut bien se dévouer !). Chacun dispose de capacités en fonction de la classe que l’on a choisie au début, mais aussi de missions, lesquelles sont indiquées pour chaque niveau sur l’écran de la GBA. La coopération est également nécessaire en jeu lorsqu’il faut manipuler des éléments du décor ensemble ou à tour de rôle.
Même si au final le jeu est resté dans la catégorie des titres mineurs, ceux qui s’y sont essayé en gardent généralement un bon souvenir. C’est mon cas. Square-Enix décide de le ressortir du placard pour fêter dignement les quinze ans d’un jeu qui s’adapte aujourd’hui tout à fait au multijoueur tel qu’on peut le concevoir sur Nintendo Switch. Rendez-vous donc en 2019 pour y replonger en local et en ligne, dans les meilleures conditions !
Pour finir, je vous renvoie à mon test et mes vidéos de Final Fantasy Crystal Chronicles Remastered, ressorti sur Switch en 2020 !
Voir toutes les autres vidéos !
Nintendo Labo est une expérience de jeu originale créée par Nintendo cette année qui vous invite à construire avec du carton différents supports interactifs avec la Nintendo Switch. J’ai monté et joué tous les "Toy-Con" proposé par le premier pack. En voici un petit résumé.
Le logiciel se présente en trois parties : construire, jouer et découvrir.
La partie construction vous invite à suivre étape après étape la création de votre Toy-Con, représenté en 3D. La navigation est simple et efficace, les instructions claires et présentées de manière amusante.
On peut même voir le modèle sous tous les angles à tout moment. Le tout sur une musique bien cool. Le logiciel nous indique quand prendre les morceaux pré-découpés de carton de chacune des planches numérotées.
Premiers Toy-Con
On commence doucement avec un petit range Joy-Con, puis avec la voiture téléguidée. Une minute après, on glisse les Joy-Con dans les interstices sur les côtés.
Dans la partie "jouer", on découvre ce que l’on va pouvoir faire avec. Sur la console de la Switch on active les boutons gauche ou droite... et la "voiture" avance tout seule ! Ce sont bien sûr les vibrations qui font se déplacer l’engin.
La partie "découverte" nous aide à comprendre de quoi il retourne. Pour la voiture, outre le principe des vibrations, trois personnages rigolos nous expliquent les dessous de la fabrication et les secrets de l’ensemble.
Ici on apprend que la voiture peut, grâce à la caméra du Joy-Con droit, voir et retranscrire en vidéo ce qu’il y a devant elle (même dans le noir). J’ajoute des vidéos issue de Twitter dans mon article mais je ne sais pas pourquoi elles ne s’affichent que si vous consultez l’article depuis l’accueil du site.
It's alive ! IT'S ALiVE !! #NintendoLabo pic.twitter.com/z3kUMcABRW
— RYoGA (@RYoGA_Online) 27 mai 2018
La Maison
On passe aux choses sérieuses ! On construit une maison en carton, puis des boutons et moulinets.
On met l’écran sur le devant de la maison, pour avoir l’impression de voir à l’intérieur. Et en effet, il y a une drôle de bestiole qui n’attend qu’une chose, qu’on interagisse avec elle. Sur l’écran directement au tactile, mais surtout avec les boutons, à insérer sur les deux côtés ou en dessous de la maison.
Chaque insertion va changer le contenu de l’écran et proposer un mini-jeu. Comme il est possible d’insérer plusieurs boutons, il y a neuf jeux différents possibles. Ils sont tous simples mais relativement entraînant et amusant.
On pousse, fait tourner les leviers pour actionner des mécanismes comme un chariot, un four à micro ondes, etc... Il faut jouer à deux quand il y a plusieurs leviers à gérer ensemble. Les réactions de la bestioles sont amusantes. J’y ai passé pas mal de temps et j’avoue que c’est mon Toy-Con préféré !
Oh un trou sous la maison ! = plusieurs autres mini-jeux ! #NintendoLabo pic.twitter.com/M7XVQr7IIJ
— RYoGA (@RYoGA_Online) 30 mai 2018
Le Guidon
Très sympa à construire puisqu’en plusieurs parties (on commence à faire des choses un peu plus élaborées mécaniquement parlant), le guidon est peut-être le Toy-Con le moins stable car il faut le tenir contre son ventre pendant qu’on joue.
Après quelques tours de piste pour se familiariser avec le gameplay gyroscopique, on participe à des courses et championnats. Mais j’avoue ne pas avoir eu envie de pousser plus en avant, n’ayant jamais été fan de motion gaming et la sensation de ne pas réellement maîtriser les contrôles. Le Toy-Con est compatible avec Mariokart 8 Deluxe... mais il faudra de l’entraînement !
Et c'est parti ! #NintendoLabo pic.twitter.com/J1w6op7tQP
— RYoGA (@RYoGA_Online) 1 juillet 2018
La canne à pêche
On passe ensuite à la canne à pêche. Un véritable délice à monter avec ses différents embouts, le moulinet ou la boite de réception avec son tendeur à fil sur élastique pour simuler un retour de force. Il prend une bonne grosse heure et demie à monter. On pose l’écran de la Switch à la verticale et c’est parti !
Un pur jeu de pêche ! Avec le moulinet, on peut descendre plus ou moins profond pour tenter de taquiner des poissons plus ou moins gros. Une fois le poisson ferré, il faut donner un petit coup de canne vers le haut puis le remonter au moulinet, en gardant la ligne dans la direction opposée du poisson.
A noter qu’il est possible de créer ses propres poissons... avec le piano ! Mais je n’ai pas encore essayé.
L'art de la pêche en haute mer ! #NintendoLabo pic.twitter.com/B89yBc3vIk
— RYoGA (@RYoGA_Online) 4 septembre 2018
Le Piano
C’est évidemment le plus gros morceau à monter... et à vrai dire pas le plus marrant. Il faut en effet répéter les mêmes séquences pour toutes les touches du piano, noires comme blanches. Et coller des petits bouts de collant blanc sur de nombreuses pièces pour que la caméra les repère et crée ainsi les sons. La partie "comprendre" est comme pour les autres Toy-Con passionnante.
C’est génial de prendre conscience que l’on a monté des boutons qui vont permettre de grandes choses pour notre clavier. Les boutons changent les types de son. Le levier pour monter de gamme, le bouton pour enregistrer des morceaux ou rejouer des mélodies enregistrées. La languette sur le dessus permet d’introduire des cartes à trous pour ajouter des rythmes ou carrément des papiers découpés à notre guise pour créer des sonorités. Secouer le piano peut faire vibrer les notes. C’est assez incroyable. Avec son studio d’enregistrement, ce Toy-Con peut littéralement enflammer les musiciens ou les curieux.
En avant Maestro ! pic.twitter.com/KyXR75Z3bx
— RYoGA (@RYoGA_Online) 9 septembre 2018
Conclusion
Nintendo Labo est bel et bien une expérience hors des sentiers battus. Elle s’adresse à un public large, de familles qui ont envie de partager un moment calme, instructif et ludique aux curieux qui aiment construire des choses. La phase de construction est en effet un réel ravissement. La phase découverte franchement cool. Les jeux sont simples et on y revient pas forcément, mais là encore cela dépend le public. Les cartons prennent de la place mais sont de beaux objets à exposer quelque part pendant quelques temps. Il est possible de racheter ou de réimprimer les planches que l’on souhaite. Je ne peux donc que recommander Nintendo Labo, qui procure un dépaysement parfait entre deux RPG ou encore pour passer "des moments calmes", si rares de nos jours.
Il y a également un Kit #2 Robot (je le ferai plus tard) et un Kit #3 Véhicule qui sort bientôt et dont le jeu a l’air pas mal. A suivre donc !
Après un premier semestre relativement tiède, ce deuxième été de la Switch n’a pas particulièrement relevé le niveau. J’ai su néanmoins m’amuser avec ce qui était proposé, même si rien n’était particulièrement nouveau : deux free-to-play, un remaster, deux portages et deux jeux déjà sortis l’année dernière ! (et je ne compte pas ici Pokémon Go et Animal Crossing Pocket Camp qui continuent de bien m’occuper !)
Yonder : The Cloud Catcher Chronicles
En juin pour bien commencer l’été (et aussi parce qu’il faut bien avouer qu’il n’y avait pas grand chose sur Switch si on aime pas le tennis), je me suis laissé tenter par le joli Yonder à l’occasion de sa sortie boite. Une aventure sympathique et dépaysante.
Pokémon Quest
Sorti fin mai, Pokémon Quest a continué à occuper mon temps de jeu régulièrement au cours de l’été. Même terminé, j’ai continué à faire jouer mes équipes pour le simple plaisir de leveler et de remplir le Pokédex. Je crois qu’avec la rentrée, je vais enfin passer à autre chose !
Fortnite
Fortnite est assurément mon jeu de l’été, celui sur lequel j’ai passé le plus de temps. Je ne m’en suis encore pas lassé, vu que les modes de jeu changent régulièrement et que j’ai fait beaucoup de parties avec des amis. L’évolution progressive de son univers a aussi quelque chose de fascinant !
Crash Bandicoot
Crash, c’est le jeu où je me suis dis "je vais essayer sait-on jamais" ! J’avais à peine joué au titre d’origine et je pensais que la refonte graphique aurait été accompagnée de réajustements de gameplay. Mais non, le titre est toujours aussi rigide et punitif, ce qui a eu vite fait de me refroidir ! J’ai essayé de persévérer mais j’ai franchement abandonné !
Captain Toad
Déjà fait et aimé sur Wii U, j’ai rempilé sur Captain Toad ! A petites doses, car j’avoue que c’est plutôt indigeste à refaire, aussi vite. Là je viens de le finir à 100%, avant d’attaquer les tous nouveaux niveaux créés spécialement pour cette édition.
Splatoon 2
J’ai bien sûr continué à jouer à Splatoon 2, à l’occasion des deux Splatfest organisés cet été. Fin juillet ce fut "Calamars contre Poulpes" (j’ai choisi calamars). Mi août c’était "Des vacances Aventure ou Détente ?" et même si je suis plutôt farniente j’ai choisi Aventure pour jouer en équipe avec mes camarades.
Sonic Mania Plus
De sortie en édition physique, j’ai rempilé avec Sonic Mania dans une version "Plus". Deux nouveaux personnages et plein de petites modifications qui ont été l’occasion de faire une nouvelle run du jeu !
Okami HD
Et enfin Okami HD, sorti sur Switch début août, et que je viens juste de terminer après 35 heures de jeu. C’est une revanche sur un titre que j’ai de nombreuses fois commencé et abandonné, la faute à un début très mollasson et des cinématiques/dialogues beaucoup trop présents. Passé tout cela, j’ai profité de l’aventure, qui a des hauts et des bas, mais je suis bien content de l’avoir fait !
Octopath Traveler
Le grand absent de cette liste c’est finalement lui, puisqu’il s’agit même de la seule sortie nouvelle de Nintendo... mais je n’y ai pas joué ! J’ai attendu les premiers retours de joueurs et cela a confirmé mes craintes : le jeu ne serait pas aussi passionnant que ce que la démo nous laissait croire. Alors je ne dis pas qu’un jour je ne m’y essaierai pas, mais pour le moment j’avoue ne pas avoir envie.
Fire Emblem Echoes
Peut-être aussi parce que j’ai entrepris de terminer un autre RPG (plus tactical) que j’avais trop laissé traîner. J’ai en effet terminé Fire Emblem Echoes sur Nintendo 3DS, que j’ai apprécié mais que j’oublierai vite. Sur 3DS, j’ai également essayé de reprendre Metroid Samus Returns, mais là ce sera plus compliqué...
L’avenir ?
Je ne dis pas non à une petite pause avant d’attaquer de futurs jeux. Il faut également que j’avance dans les constructions de Nintendo Labo, dont un troisième pack sort le 14 septembre prochain. Je pense surtout me consacrer à Xenoblade Chronicles 2 : Torna - The Golden Country, la nouvelle histoire qui complète le passé des événements relatés dans XC2. Et puis en fait après on enchaine les sorties entre Dragon Ball FighterZ, Super Mario Party, Starlink, Pokémon Let’s Go... cela risque de faire beaucoup !
A suivre : Oh le beau Nintendo Direct ! (14 septembre 2018)
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