Dernier ajout : 21 juin.
Test publié sur Puissance-Nintendo.com !
Après One Piece Unlimited Cruise (2009) et Pandora’s Tower (2012) sur Wii, Ganbarion revient sur consoles Nintendo avec un nouveau titre de la licence One Piece. Unlimited World Red est dans la directe lignée des Unlimited Cruise, avec tout de même quelques changements marquants. Nous allons voir lesquels.
Spoil ou pas ?
Que les fans de One Piece soient prévenus : si vous suivez le manga dans sa version française, le jeu sorti fin juin dévoile quelques environnements et personnages que l’on ne découvre que dans le tome 71, qui vient juste de sortir dans notre belle contrée ! Pour les lecteurs les moins assidus, le gros du spoil se trouve dans la partie "Colisée", un mode de jeu en sus du mode histoire.
Le mode histoire : Trans Town
One Piece Unlimited World Red est donc un jeu d’aventure intégralement en 3D qui nous met dans la peau de Luffy, le capitaine de l’équipage du Chapeau de paille, et de ses amis. Ils s’arrêtent au port de la ville de Trans Town. Les membres de l’équipage vont y être kidnappés par le terrible Red le Solitaire, un pirate de l’ancien temps. Le jeune raton-laveur Pato essaie d’aider Luffy à retrouver ses amis. Mais qui est-il réellement ?
Le jeu se décompose en chapitres, dans lesquels nous découvrons à chaque fois un nouvel environnement connu du manga (Punk Hazard, l’île des hommes-poissons, Marine Ford, Enies Lobby et quelques autres) et à la fin duquel nous affrontons le boss emblématique. L’équipage s’étonne d’abord de retrouver ses anciens ennemis. La suite expliquera comment cela s’avère possible.
Les joueurs les plus pressés finiront ce mode de jeu en quelques heures. Les autres prendront le temps d’explorer la ville de Trans Town et de rassembler en cours de missions les matériaux pour construire de nouveaux bâtiments : une auberge, un restaurant, une pharmacie, ou encore un atelier pour crafter et obtenir des objets et caractéristiques à assigner aux personnages.
Des mini-jeux se débloqueront au fur et à mesure des développements auxquels vous avez contribué. Une échoppe est par exemple consacrée aux missions supplémentaires. La plupart d’entre elles sont déblocables en progressant dans l’histoire ou dans le mode Colisée. En ville, Luffy - alors seul personnage jouable - peut utiliser ses bras caoutchouc pour se hisser et se propulser de toit en toit et ainsi progresser très rapidement. On se perd tout d’abord un peu dans les ruelles de la ville et ses toits hauts perchés. Heureusement, une carte est disponible dans les menus pour se repérer. Malheureusement, elle n’est pas directement affichée sur le Gamepad lorsque l’on joue sur la télévision et il faut faire des allers-retours dans les options.
Chapitre après chapitre
Avant chaque mission principale, vous devez choisir trois membres d’équipage. (Évidemment, ces derniers ayant été enlevés, il vous faut d’abord les délivrer. Ce sera l’objet des premières missions). Les neufs "Mugiwara" ont des styles de combat différents. Chacun d’entre eux possède surtout une compétence spéciale qu’il leur sera possible d’utiliser dans les zones d’exploration. Zoro peut trancher des portes en acier, Chopper déterrer des objets, Usopp trouver des insectes ou Robin lire les fameux ponéglyphes. Vous pouvez passer d’un personnage à l’autre à tout moment.
Des hordes de soldats ou d’animaux viennent à votre rencontre pour en découdre. Dans la mêlée, vous pouvez éviter des assauts en appuyant sur le bouton "A" au bon moment. Au bout d’une zone, il faut parfois revenir dans les niveaux labyrinthiques pour trouver des "mots spéciaux" à même de débloquer la suite de la zone. Les personnages gagnent des niveaux d’expérience avec les combats et débloquent des "phrases" (cultes, reprises de la série) à assigner en ville pour obtenir des statistiques plus efficaces. Un ou plusieurs boss vous attendent à la fin des niveaux, accompagnés de cinématiques parfaitement fidèles à l’anime. Le "To be Continued" venant même boucler le chapitre.
Inévitable comparaison avec les Cruise (pas Tom)
Le gameplay a été simplifié par rapport aux Unlimited Cruise. Là où les personnages gagnaient des coups au fur et à mesure de leur montée de niveaux, créant ainsi une certaine satisfaction à obtenir des attaques de plus en plus puissantes, ils disposent tous ici dès le départ de l’ensemble de leurs aptitudes. Est-ce parce que Luffy et sa bande débarquent dans le Nouveau Monde après un long entraînement ? Quoi qu’il en soit, la marge de progression est quasiment nulle et un personnage n’a finalement pas particulièrement besoin de gagner des niveaux pour tenir tête à ses adversaires en mode normal. On compose donc son équipe selon ses affinités, sans craindre qu’un des membres soit plus faible que les autres.
Même chose pour les attaques spéciales, toutes disponibles dès le départ. En maintenant le bouton "R", un quatuor d’attaques est disponible (pour peu qu’on ait suffisamment d’énergie psychique, toujours sous forme de sphères jaunes à ramasser sur les cadavres des ennemis ou en utilisant un sort spécial). L’une d’entre elle nécessite une coopération avec un ou deux autres membres d’équipage. Ici, cet assaut ultime est le même pour tous les personnages, quels qu’ils soient. On se souvient des attaques combinées spéciales pour chaque duos ou groupes dans Unlimited Cruise.
Pour finir avec les comparaisons, le nombre de quêtes annexes a été revu à la baisse et ont surtout été désolidarisées de la trame principale. Elles se trouvent désormais dans un des comptoirs de la ville. Il ne faut ainsi plus passer des dizaines et dizaines d’heures à chercher les objets nécessaires pour accéder à la suite de l’histoire. L’ensemble se boucle donc assez rapidement (et de bien belle manière) et on a pas le temps de se lasser du nombre d’attaques plus restreintes. Heureusement, il y a le Colisée.
Doflamingo enflamme le Colisée
Ceux qui suivent le manga savent que le temps pour les Chapeau de paille d’affronter le capitaine corsaire Don Quichotte Doflamingo est enfin arrivé. L’histoire de ce segment détourne quelque peu la trame du manga et offre quelques sacrés moments de réjouissance.
Doflamingo invite Luffy, Law et l’équipage à participer à un tournois qui a lieu dans le Colisée. Il s’agit d’y affronter des adversaires successifs, au sein d’un championnat qui se déroule en trois parties. Des points sont attribués après chaque manche et sont plus élevés en fonction de vos succès et de certains critères propres au tournois. Joliment scénarisé, ce tournois propose de jouer selon différentes règles à débloquer progressivement : duels, batailles royales, mêlées, ou encore survies.
Plus on progresse, plus des personnages et des missions pour le mode histoire seront délivrés. Ce sera aussi l’occasion de débloquer des personnages jouables d’anthologie comme Ace, Shanks, Baggy, Hancock, Crocodile, et quelques autres encore plus impressionnants ! Un très bon mode de jeu qui lui aussi se boucle rapidement. Quelques missions supplémentaires occuperont encore quelques heures les adeptes du 100%.
Le mode deux joueurs
La petite déception vient du mode deux joueurs qui, s’il a le mérite d’exister, utilise un écran partagé, qui plus est avec des petites fenêtres superposées. Quand on pense que le Gamepad aurait pu être utilisé pour séparer les écrans, il y a de quoi être déçu. Comme pour la carte ou toutes autres infos absentes sur le Gamepad, aucun effort n’a été fait dans ce sens pour cette version.
Il est possible de partager sa sauvegarde avec la version 3DS du jeu mais pas de jouer entre machines. Monster Hunter 3 Ultimate l’a pourtant fait mais visiblement Ganbarion n’a pas souhaité aller dans cette voie. On jouera donc à deux en coopération en écran splitté sur Wii U et jusqu’à quatre sur 3DS, en mode local. Aucun mode en ligne n’a été intégré, ce qui l’éloigne encore un peu plus de l’esprit de MH3U, dont le jeu semblait pourtant se rapprocher.
Une fois le jeu terminé, il nous est proposé de le reprendre en mode difficile. Les quêtes supplémentaires étoilées, même en mode normal, demanderont cette fois d’augmenter les niveaux de ses personnages, leur barre de vie et leurs stats, pour prétendre pouvoir les réussir. Et comme s’il n’y en avait pas déjà suffisamment, des quêtes supplémentaires et des costumes peuvent être téléchargés en ligne.
Moins long, moins fastidieux mais surtout plus accessible et beaucoup plus fun, World Red est une version plus mainstream de la saga Unlimited. Le jeu est plus simple à entreprendre et les différents modes de jeu sont tout à fait satisfaisants. On passe un bon moment dans l’univers coloré et plein d’humour de One Piece. Les fans de la série n’ont aucune raison d’hésiter. Les autres peuvent se laisser tenter !
L’avis de RYoGA
Unlimited World Red n’est pas le jeu le plus ambitieux de la Wii U mais il fait bien son boulot. Le fan-service est là. C’est aussi un excellent moyen de découvrir la série grâce à la qualité de sa narration.
Jouabilité :
Un gameplay collé sur Zelda Ocarina of Time/Wind Waker. Rien n’a changé depuis pour ce qui est de la gestion de la caméra avec la possibilité de la recentrer devant soi (c’est souvent nécessaire en ville ou en combat) ou de la gérer au stick droit. Le reste est assez simple, des coups, aux combos, aux pouvoirs spéciaux.
Durée de vie :
Les modes Histoire et Colisée se terminent en une petite dizaine d’heures. Heureusement les quêtes annexes et missions viennent renforcer un challenge qui, s’il n’est pas à rallonge comme celui des Unlimited Cruise, est amplement suffisant.
Graphismes :
La HD et le cel-shading font du bien à la licence : les personnages sont superbes et on ne se lasse pas de les admirer. Les décors et environnements sont beaucoup plus légers avec un level-design quelque peu désuet.
Son :
Les thèmes de la série sont là, plus quelques créations originales dans le ton. Bruitages et VO respectent totalement le support d’origine.
Intérêt :
Le mode Histoire donne envie de savoir ce qu’il va arriver. Le Mode Colisée est lui aussi prenant. On passe un bon moment. Les quêtes annexes donneront du boulot aux plus acharnés. Dommage qu’il n’y ait pas de multi en ligne, comme cela nous avait été suggéré dans les premiers trailers.
Ergonomie :
Quel dommage que le Gamepad n’ait pas été utilisé pour afficher la carte ou permettre à deux joueurs d’avoir chacun son écran ! En dehors de ces oublis, RAS.
Toujours avec un bon micro, nous découvrons les 30 premières minutes de One Piece Unlimited World : Red sur Wii U !
Lire le test écrit sur Puissance-Nintendo !
Ah enfin un bon micro ! Les RyogaWorld sont à présent bien plus audibles qu’auparavant ! On commence donc cette nouvelle série avec Wario Land 4 sur GBA (sur Wii U !)
Vous pouvez aussi lire le test écrit !
Ces premières impressions de Yoshi’s Woolly World ont été rédigées pour Puissance-Nintendo suite à mon essai du jeu sur le stand parisien des jeux de l’E3.
Développé conjointement par le studio Good-Feel ("Wario Land the Shake Dimension" et "Kirby au fil de l’aventure") et Nintendo (sous la direction de Takashi Tezuka, le producteur de la série "Yoshi’s Island"), le jeu est un parfait mélange du Kirby filaire et d’un Yoshi’s Island classique.
Tout l’univers est composé de laine. Contrairement à Kirby qui lui avait des décors façon patchwork 2D, ici tout est modélisé en 3D. La laine est ronde, la laine est fraîche. De même pour les personnages, qui sont eux aussi en laine, mais en 3D cette fois-ci.
On retrouve donc à peu près les mêmes idées de gameplay avec des fils de laine à tirer pour faire apparaître des passages, des projectiles à balancer pour activer des plateformes.
L’aspect visuel est donc particulièrement soigné, tout comme les animations qui sont vraiment charmantes. Il suffit de faire courir un Yoshi pour que ses pieds se transforment en roues ou de le faire planer pour que des hélices apparaissent.
Mais tout cela ne serait rien sans un gameplay solide et ici particulièrement vif. La recette Yoshi’s Island a été vraiment améliorée et les personnages sont plus énergiques. La recette n’a pas changé : il s’agit toujours de gober des ennemis pour en faire des projectiles (des pelotes de laine et non plus des œufs en l’occurrence) à balancer sur les monstres et les environnements.
On emmêle par exemple les plantes Piranha avec une pelote pour les immobiliser et leur sauter dessus. Une barre de vie composée de petits cœurs apparaît quand on presse le bouton (+). Il y en avait suffisamment pour ne pas être inquiété lors de ces niveaux de démonstration.
La grande nouveauté de cet épisode (pour un Yoshi car Kirby au fil de l’aventure en proposait un) est le mode deux joueurs. A priori en co-opération, les deux Yoshi devront s’aider (ou se gêner, à la New Super Mario Bros Wii) pour progresser, comprenez "se gober l’un l’autre pour faire des grosses pelotes à balancer". C’est tout simplement irrésistible.
Dans un des trois niveaux parcourus, des petits piafs servaient d’œufs à balancer pour créer des plateformes de nuages temporaires. Beaucoup de diamants sont à collecter tout au long du niveau, ce qui occasionne un tableau des scores à la fin du niveau. N’oublions pas les habituelles cinq fleurs qui font parti du scoring et aussi des capsules souriantes qui font leur première apparition.
Rajouts du 3 avril : Nous apprenons aujourd’hui que deux modes de difficulté seront disponibles. Un normal et un, plus facile, où Yoshi aura des ailes pour voler où il veut. Les amiibo (en laine !) seront de la partie et créeront un clone de Yoshi qui le suivra juste derrière lui. Plus de vie, plus de matière à gober et projeter ! Le jeu sort le 26 juin en Europe, en éditions simple, bundle avec un Yoshi en laine vert et trois amiibo laine (vert, bleu, rose). Je l’attends avec impatience !
Another World, le jeu culte de Eric Chahi, vient de ressortir sur consoles Nintendo dans sa version 20th anniversary. J’avais fait un dessin du jeu dans mon livre Game & Draw dispo sur Blurb.
Dans Game & Draw, je raconte mon parcours vidéoludique, des tous premiers micro-ordinateurs aux plus récentes consoles de jeu. C’est aussi un livre avec des pages pour raconter/dessiner vos propres souvenirs. Vous pouvez voir d’autres aperçus ici.
Vous pouvez commander le livre Game & Draw sur Blurb.fr !
Tous mes livres sont disponibles à à cette adresse !
L’E3 a fermé ses portes, l’heure du bilan a sonné. Mais nous ne nous contenterons pas de revenir sur ce qui a été présenté, car nous avons aussi pu prendre en main les jeux mis en avant par Nintendo et nous vous donnons nos impressions !
Cliquez pour écouter le podcast !
C’est le dernier épisode de la saison deux ! Bonnes vacances !
Une semaine après l’E3, Nintendo a convié les journalistes à découvrir les titres présentés lors du salon du jeux vidéo de Los Angeles. Des bornes de jeux étaient disposées sur trois étages d’un établissement parisien pour découvrir et jouer aux titres qui ont su nous faire rêver. Seuls Zelda (présenté pour la première fois à l’E3 au travers d’une vidéo) et Xenoblade Chronicles X étaient absents. J’ai pu m’essayer à tous ces titres !
Round one : fight !
Le premier étage était entièrement consacré à Smash Bros. C’était l’occasion de mettre enfin les mains sur les versions Wii U et 3DS du titre de combat de Nintendo.
La version Wii U était jouable avec des manettes Gamecube, quatre par borne, ce qui permettait d’essayer le multijoueur local jusqu’à quatre joueurs. Ce n’est que trop tard qu’on nous a avoué que oui, on aurait pu utiliser le Gamepad.
Même chose pour la 3DS dont les consoles étaient reliées en réseau local jusqu’à quatre machines. Il était possible d’essayer le mode Smash Run qui nous fait affronter des monstres des univers Nintendo pour récupérer des items de compétences.
En tous cas, j’ai mon personnage préféré lors de cette démo !
Enfin quelques figurines Nintendo Amiibo étaient présentés sous une vitrine. Et autant dire qu’ils sont beaux !
Round two : Wii U !
J’avais déjà passé un bon moment avec Smash Bros, mais le plus gros était à venir ! Tous les jeux Wii U (ou presque) de l’E3 étaient présents en mode jouable !
Les deux projets de Miyamoto
Bon esprit, je me dirige tout d’abord vers les deux projets de Miyamoto, Project Giant Robot et Project Guard. Dans Project Giant Robot, il est possible de customiser chaque partie de son robot comme bon nous semble et de les étirer ou compacter pour donner naissance à sa création.
Puis c’est parti pour un affrontement contre l’un des monstres. Le robot est pataud, on avance les bras avec les sticks, on avance avec R, on tourne le buste avec le gyroscope et on tire avec A en regardant l’écran de visée du Gamepad. Encore peu développé, le concept a eu le mérite de me plaire.
Project Guard lui est un Tower Defense où l’on regarde l’arrivée des ennemis avec les douze caméras présentes. On switche de l’une à l’autre avec la gamepad et on tire sur les robots qui arrivent vers nous.
Les jeux "éditeurs de niveaux"
Une démo de Mario Maker était jouable sur le salon.
Mario VS. Donkey Kong permettra de diffuser ses créations sur Miiverse où il sera possible de récupérer et noter celles des autres.
Les jeux "Kawaï"
J’ai pu jouer à deux à Yoshi’s Woolly World et autant dire que le titre de Feel Good était très agréable à jouer en coopération.
Captain Toad était l’une des bonnes petites surprises avec quatre niveaux très différents les uns des autres dans leurs approches. Le mini-jeux de Super Mario 3D World prend son indépendance et se développe de belle manière.
Après quelques casse-têtes et un niveau entier d’affrontement contre un boss, nous voilà à bord d’un chariot pour tirer en vue subjective (sur le gamepad) sur les ennemis et bonus qui nous entourent.
Une très bonne surprise que ce nouveau Kirby sur Wii U, qui utilise le gamepad au stylet pour faire évoluer la petite boule rose.
Mario Party 10 était là lui-aussi et, à défaut de plateaux, permettait d’essayer quelques mini-jeux mais surtout des mini-jeux où l’on incarne Bowser qui se pratiquent avec le Gamepad.
Honneur au multijoueur : Splatoon !
Splatoon était bien mis en avant par Nintendo au moyen de huit bornes reliées entre elles pour essayer le multijoueur 4 contre 4.
Deux équipes prêtent à s’affronter !
Les conditions étaient donc idéales pour découvrir cette nouvelle licence de Nintendo. À l’instar de Mario Kart 8, c’est un jeu sur lequel on revient avec grand plaisir, le temps de quelques parties frénétiques. Le but : colorer et recolorer le terrain face aux adversaires !
Le hall des hardcore gamers
Sonic Boom sur Wii U était coincé entre Mario VS. Donkey Kong et Mario Party 10 et pourtant il fait parti de cette catégorie car la pratique de la démo nécessitait bien 40 minutes avec des phases d’exploration en 3D, de luttes contre des boss et enfin de courses.
Un peu plus loin ce sont les très bons Hyrule Warriors, Bayonetta 1 et Bayonetta 2 qui tenaient la part du lion.
Hyrule Warriors permettait d’incarner Link (épée ou bâton de magie) et la Princesse Zelda.
Bayonetta premier du nom était jouable dans sa version remasterisée.
Enfin, Bayonetta 2 se montrait dans toute sa splendeur au cours de trois niveaux complets.
Round three : la 3DS
Le dernier étage était presque réservé à la 3DS qui proposait Monster Hunter 4, Sonic Boom mais aussi Tomodachi Life et Pokémon Art Academy. Une borne montrait quatre jeux indépendants de la Wii U et une autre faisait tourner Mario Kart 8, pour ceux qui n’auraient pas encore eu l’occasion de découvrir le dernier million-seller de Nintendo.
Monster Hunter 4 sort en 2015 sur 3DS.
Quant à Sonic Boom ce sera pour novembre sur Wii U et 3DS.
Retrouvez mes avis, nos coups de cœurs sur tous ces jeux d’ici quelques jours sur PN et très bientôt lors du PN Cast n°48 qui revient sur l’E3 et ses jeux !
Basse Def Deluxe de Jibé aux Editions Omaké Books !
L’édition agrémentée de bonus du sympathique "Basse Def". La BD s’amuse des conventions et univers des jeux 8-16 bits. Les bonus sont chouettes avec des parodies des pubs et des tests des magazines de l’époque (Console + en tête).
Titre : Basse Def Deluxe
Auteur/dessinateur : Jibé
Pagination : 96 pages
Format : nouvelle édition plus grande (A4)
Qualité : couverture cartonnée, 100% couleur.
I.S.B.N : 978-2-919603-09-1
Disponibilité : 01 juillet 2013
Synopsis : Simon et Ludo, deux nerds amis de longue date, se retrouvent un jour aspirés dans "Basse Def", un mystérieux jeu vidéo. Ils vont devoir faire preuve d’astuce pour contrer les plans d’invasion alien et les démons qui rôdent...
Heureusement, ils pourront compter sur leur culture vidéoludique et sur Pasta, leur guide, pour éviter les pièges. Le retour à la réalité est semé d’embûches !
Mais alors qu’ils se croyaient tirés d’affaire, ils se font cette fois happer par leur Game Boy ! Le monde en 4 coloris de gris est plus dangereux qu’il n’y parait...
Détail du contenu :
+ Nouveau format plus grand !
+ Un nouvel épisode entier (Pocket Adventures, dans lequel nos héros sont enfermés dans une Game Boy) !
+ 32 nouvelles pages !
+ Des bonus inédits !
+ Un DVD exclusif et collector !
- 15 épisodes de Basse Def Version dessin animée Pixel art !
- Des tonnes de bonus (fausses pub, plusieurs making-of, etc.)
BONUS EXCLUSIFS ! ACHETEZ SUR OMAKE BOOKS ET...
+ Recevez votre livre 15 jours avant tout le monde !
+ Un lot de cartes postales collector exclusives !
+ Une trading Card Omaké Books !
+ Participation aux tirages au sort pour gagner des lots exclusifs (cartouche Game Boy). Participation jusqu’au 15 juin) !
Le DVD contient les 15 épisodes de la série animée (sympa !) et le making-of de cette création originale (très chouette) !
La RetroN5, c’est un peu le rêve de tous les gamers oldies : une console qui est capable de lire toutes les cartouches des consoles 8 et 16 bits, consoles de salon comme portables.
Développée par l’américain Hyperlink (qui n’en est pas à sa première machine, avec beaucoup de ratés pur l’instant), la RetroN 5 lit les jeux NES, Master System, Megadrive, Gameboy, Super Nintendo et GameBoy Advance. A priori toutes les cartouches sont lues, sans zonage, mais il y a toujours des exceptions.
La machine se sert des cartouches pour reconnaître les jeux mais ne les lira pas elles-mêmes : elle lira une rom intégrée à l’interface Androïd. Un port HDMI permet de lire le signal sur une télé HD et de le capturer avec un boitier adapté.
Une preview VA :
Quand Nintendo fait une diffusion avec des personnages en stop-motion et des combats live entre dirigeants, et que c’est bien fait, c’est déjà énorme !
Comme l’année dernière (où on peut observer que j’ai eu le temps de changer d’avis !), je donne mes impressions à chaud !
J’ai adoré !
Le nouveau Zelda ! Monde ouvert à perte de vue, Cell Shading, énergique, ce n’est certes qu’une cinématique mise en scène mais elle promet déjà beaucoup !
Les Amiibo sont les figurines à la Disney Infinity/Skylanders de Nintendo. Elles seront utilisées dans un premier temps pour Smash Bros, Mario Kart 8, Mario Party 10, Yoshi et Captain Toad.
Xenoblade Chronicles X. J’attends toujours avec impatience la suite de mon jeu préféré sur Wii !
Et puis je me dois de citer l’annonce de Starfox sur Wii U, même si on n’en a encore pas vu grand chose !
J’ai beaucoup aimé !
Yoshi’s Woolly World est vraiment très mignon ! Gageons que le jeu soit à la hauteur de Kirby au fil de l’aventure !
Hyrule Warriors est le jeu le plus proche à sortir chez nous (19 septembre). Ce beat’em all dans l’univers de Zelda promet d’être un bon défouloir !
Bayonetta 2, le jeu sera cool en co-op à deux joueurs (un sur la télé et l’autre sur le Gamepad !). Bayonetta 1 sera offert pour les acheteurs du jeu en boite !
Mouais...
Smash Bros for Wii U, sans la lignée de Smash Bros Brawl, sera sympa mais je ne pense pas que je m’éterniserai dessus. La nouveauté c’est qu’on pourra utiliser les Mii et utiliser les figurines Amiibo.
Captain Toad : Treasure Tracker reprend le concept des mini-jeux de Super Mario 3D World. C’était sympa mais je ne sais pas si ça me botte de me replonger dans des niveaux de ce genre.
Et sinon...
Mario Maker, Splatoon, Kirby and the Rainbow Curse (univers Kirby en patamod pourtant), Mario Party 10, Devil’s Third, Project Giant Robot et Project Guard ne m’inspirent guère pour l’instant.
Hyrule Warriors sort le 19 septembre. Bayonetta 2 en octobre. Smash Bros fort Wii U à l’hiver (décembre 2014-mars 2015). Et tous les autres sont prévus pour 2015. Va falloir être patient !
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