Dernier ajout : 28 décembre 2024.
Après The Last of Us, Journey et Beyond Two Souls, voilà un nouveau coup de coeur sur PlayStation 3. Certes, je découvre Uncharted : Drake’s Fortune plus de dix ans après sa sortie, mais c’est un jeu d’aventure/action palpitant et rondement mené qui tient toujours la route !
Drake part à la recherche d’un trésor, l’Eldorado, qui est forcément convoité par beaucoup de monde une fois que sa trace est mise au goût du jour. Sorte de Tomb Raider au masculin, Uncharted propose un parcours intéressant, plein de rebondissements, servi par des cinématiques aux dialogues drôles et parfaitement bien joués (en tous cas en français). On alterne entre phases d’exploration et séquences de tirs (avec beaucoup de morts sur la conscience)...
Après des années de jeu Nintendo, je redécouvre à retardement les block-busters de la génération PlayStation. Il est intéressant de voir la direction totalement différente de ces jeux axés sur l’exploration en fil continu, sans intérêt de retour en arrière. Pas ou peu de mécanismes faisant marcher les neurones, il s’agit ici plutôt de profiter du voyage et du fun... quand les séquences s’enchaînent bien, en dépits de morts un peu brutales ou frustrantes. Pour l’avoir terminé, j’aurais juste un bémol sur une séquence vers la fin, qui dénote un peu de l’esprit "aventure". Enfin bon, content de l’avoir fait, et à bientôt pour le second épisode, considéré comme plus réussi et le meilleur de la série !
La saga fête ses 30 ans ! Le premier jeu Metroïd sur NES est sorti en effet le 6 août 1986 !
Le dernier épisode marquant en date est l’excellent Metroïd Other M sur Wii en 2010. J’en avais d’ailleurs profité pour faire un résumé de la saga.
Metroïd c’est une saga de jeux dans lesquels on incarne Samus Aran, une chasseuse de prime galactique à la poursuite des Metroïdes, entre autres. Le jeu se compose d’environnements couloirs dans lesquels on abat des monstres et récupère des items plus ou moins cachés. L’arsenal de Samus s’améliore au fil du temps et lui confère des pouvoirs de plus plus pratique à même d’arpenter des zones des niveaux inaccessibles jusqu’alors. Ce que j’aime le plus, en plus des ambiances, c’est l’aspect puzzle des niveaux qui mettent nos neurones à l’épreuve.
dessin de 2004 lors de la sortie de Metroïd Prime 2 : Echoes
Même si rétroactivement Metroïd sur NES et Metroïd 2 : Return of Samus sur Gameboy ont su me captiver, c’est bien avec Super Metroïd sur Super Nintendo que j’ai découvert la saga. Un excellent titre que je refais avec plaisir, en témoigne mon article passionné de 2013 à l’occasion de sa ressortie sur Virtual Console Wii U.
Si Super Metroïd est mon épisode préféré, il faut avouer que Metroïd Prime, sorti sur Gamecube en 2003, a fait très fort en transposant l’univers du jeu en 3D. Les deux suites, Prime 2 : Echoes et Prime 3 : Corruption m’ont profondément ennuyé, contrairement aux deux jeux GBA, Metroïd Fusion et Zero Mission, superbes. Passé un épisode DS ambitieux mais déconcertant, c’est bien Other M en 2010 qui ravivait ma flamme. Malgré ses qualités, le jeu a vu ses ventes décevantes et la saga mise en berne depuis.
En septembre sort Metroïd Prime Federation Force sur 3DS, mais le jeu, expérience multijoueur dans un univers SD et générique, n’a plus grand chose à voir avec ce que l’on aimait de la série.
Pour ses 30 ans, je me suis refait un petit run de ce premier Metroïd sur NES, à l’ambiance si singulière ! Bon anniversaire Samus !
Peu de temps après avoir terminé Phantasy Star II sur Megadrive il y a presque deux ans, j’avais enchaîné avec sa suite, Phantasy Star III : Generations of Doom.
De ce jeu, j’en avais un bon souvenir à partir du test que Console + avait rédigé dans l’un de ses premiers numéros.
Déjà, il faisait la couverture. Ensuite le test agrémenté de superbes images vantait les mérites d’un jeu gigantesque à la réalisation ambitieuse. Quelques défauts chagrins comme la musique, une animation lente, les combats trop fréquents ou un système de compétence un peu obscur ne viennent pas entacher l’enthousiasme des deux testeurs, Loulou et Doguy.
Mais bon, à l’époque je n’avais pas la Megadrive. ce genre de jeux était encore un peu trop obscur pour moi, préférant l’accessibilité des jeux de plateformes.
Il faudra donc attendre plus de vingt ans avant que je ne me plonge dans la saga. Après avoir fait les Shining Force, j’attaque les Phantasy Star. C’est la découverte du premier épisode dans une boutique d’oldies qui me lance dans l’aventure. Puis le deux. Et enfin le trois, que je possédais déjà depuis quelques temps sur Megadrive. Mais c’est cette fois sur Game Boy Advance que je débute l’aventure via la compilation regroupant les trois premiers épisodes disponibles sur la machine. L’aspect portable de la Game Boy Micro me permet d’en faire de petites parties un peu partout et n’importe quand.
Vingt ans après, ce Phantasy Star III ne laisse pas chez la grande majorité des joueurs les mêmes sentiments d’extase que celui ressenti par les testeurs de Console Plus d’alors. Le jeu est même plutôt considéré comme le vilain petit canard de la série (qui en compte quatre). Il est vrai que les graphismes ne sont pas si fous que ça. Que l’ambiance médiévale sobre tranche un peu avec le côté futuriste coloré auquel on était habitué. Et puis comparé aux deux autres épisodes, il n’y a rien de vraiment nouveau dans le système de jeu. Une seule grosse nouveauté vient susciter notre curiosité : la généalogie.
En effet, il est possible dès la fin d’un premier scénario de choisir son épouse parmi deux personnages féminin que l’on a côtoyé. Ce choix détermine l’identité de l’enfant qui va naître de cette union, et que l’on va incarner dix-huit ans après, pour continuer l’aventure. Le monde reste le même, mais d’autres histoires s’y déroulent. Deux cyborgs, Mei et Wren, nous accompagnent toujours au fil des trois aventures que l’on va vivre à travers le temps. Trois arcs scénaristiques mais en tout sept possibilités, selon vos choix.
Sur le papier c’est excitant, mais dans la pratique, hormis les contextes rien ne change vraiment dans le déroulé des aventures. Nos personnages n’ont pas de capacités spéciales marquantes. On peut donc choisir son épouse et constater le résultat de cette union mais c’est bien tout. Les plus curieux pourront refaire les scénarios pour notamment découvrir les quatre fins possibles. Celle que j’ai obtenue était particulièrement ridicule.
Au final, entre les errances dans les plaines et les donjons de Phantasy Star II et III (sans plans ni cartes), c’était peu ou prou la même chose. Ici on doit récupérer des pierres pour pouvoir passer des cavernes ou encore utiliser des temples de téléportation. On retrouve également les véhicules propres à la série. Ici c’est Wren qui joue le transformers en mutant en véhicules permettant d’aller sur mer, sous l’eau ou dans les airs. Si je n’y avais pas passé des heures et des heures par petites foulées sur cette année et demie, me perdant régulièrement, je dirais que le jeu semble proposer une bonne marge de progression en ouvrant ses accès les uns après les autres.
Voilà, je quitte l’univers de PSO III comme on sort d’un long rêve pénétrant, bercé par la musique de son écran titre. Et nous nous retrouvons dans un an ou deux une fois que j’aurais commencé et terminé le dernier épisode de la série, Phantasy Star 4 !
La suite : Phantasy Star IV : The End of the Millennium
Voilà j’ai terminé Adventures of Pip !
(on se demande d’ailleurs pourquoi ce sont "les aventures" plutôt que "l’aventure" !) Un excellent petit jeu de cinq mondes et une vingtaine de niveaux au level-design bien sentis.
Nous incarnons Pip, un simple pixel rouge, qui part délivrer la princesse Adeline kidnappée par la maléfique Queen Derezzia. L’histoire est basique mais les dialogues, truffés de jeux de mots basés sur la "résolution" des personnages, sont excellents.
On baigne en plein hommage de la génération pixel. On évolue sur une carte du monde très rétro. Pip pixel se dandine pour avancer, peut sauter sur les ennemis et planer. De part sa taille, il passe dans les étroits couloirs.
Rapidement, Pip peut évoluer en forme de petit garçon pixelisé. Il ressemble alors beaucoup à Alex Kidd. Il peut sauter, rebondir de mur en mur, donner des coups de poing. Pour se transformer, il doit sauter sur des créatures bleues que l’on trouve judicieusement placés aux endroits nécessaires. Il peut aussi se "dématérialiser" et repasser au stade pixel rouge. On alterne ainsi les transformations en fonction des besoins. Chaque niveau pousse le concept un peu plus loin. Le personnage est délicieux à contrôler. On fait vite des enchaînements assez fous en passant d’une transformation à l’autre.
Une deuxième et dernière transformation vient s’ajouter au tableau : Pip version 16 bits. Il dispose d’une épée qui lui permet de détruire certains murs, mais il est plus lourd. Avantage dans certaines situations (il plonge dans l’eau, résiste au vent...), désavantage dans d’autres (il est lent), le gameplay s’en trouve considérablement enrichi.
Pip ramasse des pixels qui servent de monnaie d’échange contre des items au village. Objets consommables ou upgrades, ces pouvoirs apportent une deuxième lecture au jeu, en lui permettant de renforcer la condition de Pip (prendre moitié moins de dommages, gagner le double de pixels, les aspirer, ect...). Dans chaque niveau, trois villageois perdus sont à trouver dans des dédales cachés. L’équivalent des pièces d’un New Super Mario Bros. Adventures of Pip est d’ailleurs bien plus profond que les dernières aventures 2D décevantes de notre plombier préféré.
Remplis d’hommages, plus cérébral que fun, Adventures of Pip est une excellente pioche disponible sur l’eShop de la Wii U (et sur PC si j’ai bien compris). Nous avons fait un "Excuuuuse-me, Princess !" sur le début du jeu !
La sortie récente de Dragon Ball Z : Extreme Butoden sur 3DS m’a donné envie de me replonger dans les jeux DBZ et d’en faire un petit récap. Il ne sera pas exhaustif car je n’ai par exemple pas joué aux épisodes Budokai sur PlayStation 2 ni même aux titres qui suivirent sur PS360. En fait pour tout vous dire, deux titres me viennent immédiatement en mémoire quand il s’agit d’évoquer les meilleurs jeux Dragon Ball.
J’avais déjà parlé du jeu Dragon Ball sur NES ou encore de la formidable série Butoden sur Super Nintendo ! Je vous invite à lire l’article que j’avais écrit à leur sujet.
Il y a eu pléthore de jeux DBZ sortis sur GBA, et si je ne les ai pas tous essayés, l’un d’entre eux aura retenu toute mon attention : Dragon Ball Advance Adventure !
Ce jeu GBA sorti en 2005 reprend alors la saga Dragon Ball, ce qui est encore assez rare. Il s’agit principalement d’un jeu de plateformes/action aux graphismes très colorés, au gameplay énergique et totalement jouissif, qui parcourt librement mais des manière très réussie la saga, de ses débuts au combat contre Piccolo Diamao.
Il y a aussi un mode versus et un mode championnat vraiment réussis. Il est possible d’incarner de très nombreux personnages comme Krilin, Yamcha, Tenshinhan, Jackie Chun, Piccolo ou encore Tao Paï Paï !
Dragon Ball Z Budokai sur Gamecube peut se targuer d’avoir offert le mode histoire le plus fidèle et le mieux réalisé. La DS et la Wii ont accueilli elles aussi de très nombreux titres DBZ. J’en retiens principalement les deux Tenkaichi (2 et 3) sur Wii, qui proposaient des environnements 3D réussis et un gameplay à la wiimote amusant (toi aussi mets ta wiimote sur le front façon Makanko Sappo de Piccolo !). Je suis passé à côté de Dragon Ball : Revenge of King Piccolo sur Wii, grosso modo un Dragon Ball Advance Adventure en moins bien.
Et le voilà enfin, le meilleur jeu DBZ à ce jour (avec celui sur GBA) : Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans !
Jeu de rôle au tour par tour créé en 2009 par Monolith Soft (rien que le studio qui a créé Baiten Kainos ou Xenoblade Chronicles !), le titre couvre uniquement la période des Sayiens. Cela l’oblige certes à extrapoler sur toute cette partie de l’aventure, mais il le fait plutôt bien ! Entre phases d’exploration, de dialogues et de combats aléatoires, nous incarnons différents personnages selon les besoins de l’histoire, personnages qui grimpent en niveaux d’expérience et peuvent déclencher des attaques spéciales en fonction de leur niveau ou de leurs coéquipiers. Le jeu est magnifiquement beau, les musiques superbes, le système de combat passionnant et les différentes options géniales ne manquent pas.
Son seul défaut : sa suite qui aurait couvert la période Namek n’est jamais sortie ! Voilà pour mon petit tour d’horizon des meilleurs DBZ (dont Extreme Butoden ne fait définitivement pas partie) !
Voilà un article que j’avais envie d’écrire depuis un sacré bout de temps ! Revenir sur la saga Pokémon n’est pas une mince affaire, ce ne sera pas forcément exhaustif, néanmoins j’avais envie de raconter cette quête incessante que je refais depuis plus de quinze ans : devenir le meilleur dresseur et les capturer tous !
Un jeu dans lequel personne ne croyait au départ. Selon la légende, le concept du créateur Satoshi Tajiri aurait d’abord été refusé par Sony, avant d’être finalement validé par Nintendo. Enfant, Satoshi s’amuse à observer son élevage de criquets. De là lui viendra l’idée d’un jeu basé sur l’échange de monstres élevés par des dresseurs. Ces créatures aideront les dresseurs à parcourir la contrée et vaincre leurs adversaires. Un jeu d’aventure-RPG dont le but ultime est d’atteindre la Ligue Pokémon et capturer les 150 créatures ! Le câble link permet de connecter deux Game Boy entre elles pour que les joueurs puissent s’échanger les créatures capturées. C’est le studio Game Freak qui se charge du développement.
Le carton du premier jeu
Sorti en 1996 au Japon, Pocket Monsters sort en deux versions (Vert et Rouge) comportant d’infimes différences. Le jeu devient un carton colossal et se voit rebaptisé Pokémon. Un jeu de cartes et une série animée sont produits. En Europe, il faut attendre la sortie du jeu en novembre 1999 en deux versions aussi : Pokémon Bleu et Pokémon Rouge. Le dessin-animé est diffusé en janvier 2000 et fait grand bruit.
Je découvre tout d’abord la série au travers d’un article dans Player One courant été 1999. On y parle du phénomène Pokémon au Japon, mais les visuels ne sont pas particulièrement attrayants. Il faut attendre la vague de publicités papier dans les magazines avec les visuels des Pokémon pour que ma curiosité soit attisée. Je prends le jeu (version Rouge) et n’en décroche plus. J’y joue toute la journée, même en cours. Le concept est super addictif. La publicité fait rage. Et on est même pas encore à l’ouragan qui va déferler avec l’arrivée de la série télévisée. Pokémon devient un phénomène de mode, avec ses adorateurs et ses détracteurs. Impossible d’y réchapper.
Ma vidéo de Pokémon Rouge :
Le dessin-animé a tellement de succès qu’une nouvelle version du jeu va sortir, Pokémon Jaune (en 1998 au Japon et 2000 en Europe). Pikachu est devenu le Pokémon emblématique : il suivra donc le héros derrière lui à tout moment. Les méchants du jeu, la Team Rocket, sont précisés dans la nouvelle version : ce seront Jessie et James, de l’animé. Le premier film cinéma, Mewtwo Contre-Attaque, fait un carton dans le monde.
La deuxième génération
C’est toujours sur Game Boy, mais en version Game Boy Color que sortent les jeux suivants. Pokémon Or et Pokémon Argent. Le titre étant sorti fin 1999 au Japon et en avril 2001 en Europe, on peut dire qu’on l’a longtemps attendu. D’ailleurs, je confesse que j’ai (un peu) joué à la Rom qui était disponible sur le net courant 2000. C’était en japonais, je ne comprenais rien, et surtout je ne voulais pas perdre du temps à élever des Pokémon pour rien, donc je n’ai pas creusé.
100 nouvelles créatures viennent rejoindre les 151 premières. Le jeu propose un cycle jour-nuit en temps réel pendant lequel les Pokémon disponibles dans les herbes sauvages changent en fonction de l’heure. Des événements ont aussi lieu en fonction des jours de la semaine. Les baies, les œufs et la pension font leur apparition. Les trois légendaires vous fuient sur la carte. La grosse surprise de cet épisode c’est qu’après avoir parcouru Johto et battu la Ligue, toute la carte de Kanto se dévoile ! On peut ainsi refaire entièrement le premier jeu dans la foulée ! Incroyable. La version supplémentaire, Pokémon Cristal, sort quelques mois après et rajoute quelques options dispensables.
Ma vidéo de Pokémon Argent :
Parmi les premiers spin-off, Pokémon Stadium (2000) et Pokémon Stadium 2 (2001) sortent sur Nintendo 64. Les titres proposent une compilation de mini-jeux et des combats en arène en 3D assez impressionnants pour l’époque (avec une voix-off mordante en français !). Un adaptateur qui vient se loger dans la manette de la Nintendo 64 permet d’y insérer une cartouche Game Boy, en l’occurrence un jeu Pokémon, et d’y jouer sur la télévision. Il est même possible de jouer en accéléré, pratique pour faire du leveling ! Nos Pokémon Game Boy peuvent servir dans les combats 3D du jeu et être stockés dans Pokémon Stadium. Par contre attention à ne pas supprimer sa sauvegarde du jeu portable, sous peine de voir les créatures perdues à jamais dans le stade.
Ma vidéo de Pokémon Stadium :
Pokémon Stadium 2 :
Troisième génération
Le phénomène Pokémon, qui était au plus haut, commence à se tasser un peu, pour ce qui est du grand public qui ne s’intéresse qu’à la série ou aux films. Le nouveau jeu est prévu pour la Game Boy Advance et est lui fortement attendu. Tous les produits dérivés se tournent vers la nouvelle création. Pokémon Rubis et Saphir sort en 2003 sur la première GBA, son écran illisible si ce n’est au soleil ou sous une lampe !
Première tragédie : les Pokémon des deux premiers volets ne sont pas transférables dans Rubis/Saphir. Adieu donc les 251 créatures patiemment récupérées et entraînées au fil des ans. Si la GBA dispose d’un port cartouche pour lire les jeux Game Boy, aucun moyen de récupérer ses Pokémon. Les développeurs ont vraisemblablement voulu repartir de zéro pour éviter les Pokémon clonés précédemment. La nature même des Pokémon de cette génération qui disposent de statistiques et pouvoirs beaucoup plus élaborés les rendent incompatibles.
Alors soit, on repart de zéro et on découvre une troisième génération composée de Pokémon un peu ternes, loin de la bonhommie communicative des créatures précédentes. Peu de réelles nouveautés, en dehors des combats à deux contre deux. Le câble link de la GBA permet d’échanger les Pokémon entre versions GBA. Le constat final est mitigé : la saga commence à s’endormir sur ses lauriers. La version Pokémon Émeraude sort quelques mois après et n’apporte que quelques améliorations d’ordre pratique et scénaristique.
Ma vidéo de Pokémon Rubis :
À noter qu’il est possible de transférer ses Pokémon via le câble de connexion GBA / Gamecube vers le jeu Pokémon Box sur Gamecube (en l’occurrence votre carte mémoire). Très bien fait et pratique, on peut transférer toute une boite d’un coup et même effacer la sauvegarde du jeu d’origine sans que les Pokémon transférés ne disparaissent : on peut donc refaire le jeu GBA pour obtenir de nouveaux Pokémon et les transférer à loisir sur sa sauvegarde.
Si le jeu Game Boy Advance s’avère décevant, c’est sur Gamecube qu’il faut chercher le grand frisson. Durant l’été 2004 Pokémon Colosseum est le premier RPG-aventure en 3D. Le concept d’exploration est limité à des villes desquelles on navigue en moto via des cinématiques. Points de Pokémon sauvages dans les herbes mais des Pokémon envoutés à reprendre des mains de leurs vilains dresseurs. L’aventure est assez longue, remplie de surprises et de championnats. On y capture même un Lugia, légendaire de Pokémon Or qu’il n’est pas possible d’avoir autrement alors. (à noter qu’une suite faiblarde, Pokémon XD, sort fin 2005).
Mes vidéos de Pokémon Colosseum et Pokémon XD :
Fin 2004 marque l’arrivée du premier remake de la série. Pokémon Vert-Feuille et Rouge-Feu adapte le tout premier épisode aux normes de Rubis / Saphir. Les jeux, très réussis au demeurant, sont accompagnés d’un adaptateur sans fil pour faire des combats avec des adversaires en face de soi sans câble link, en infrarouge. Le procédé marche mais arrive un peu tard. Il est enfin possible d’avoir les trois générations (presque complètes) sur une seule cartouche. C’est aussi l’époque à partir de laquelle les spin-off vont éclore un peu partout (Pinball, Dash, Channel, Ranger, etc).
Ma vidéo de Pokémon Vert-Feuille :
Quatrième génération
En 2007 la Nintendo DS est sortie depuis deux ans et les fans peuvent enfin découvrir la nouvelle génération de Pokémon.
Pokémon Diamant et Perle disposent d’une réalisation datée. Les graphismes, même s’ils ajoutent quelques effets de 3D sur les bâtiments, sont quasiment semblables aux derniers épisodes sortis trois-quatre ans plus tôt sur la précédente génération de console. Les risques, si l’on peut parler de risques, ont été pris avec le passage à une interface tactile pour les actions des combats et la gestion du menu (où l’on affiche tous les gadgets inutiles possibles : calculette, podomètre, etc), mais surtout par l’instauration d’un système de combats et gestions de Pokémon en ligne. Le Wi-fi Connexion de la Nintendo DS ouvre le monde des Pokémon à l’Internet avec ses avantages (possibilité de trouver des adversaires n’importe quand depuis chez soi) et ses inconvénients (on tue tranquillement l’aspect convivial du titre). Quelques mois plus tard une version alternative "Platine" vient ajouter les habituelles nouveautés dont une tranche de scénario supplémentaire et une nouvelle zone.
Pour ce qui est des spin-off, sortent alors Pokémon Donjon Mystère à la fois sur Game Boy Advance et Nintendo DS. Des Donjons-RPG honnêtes.
Pendant ce temps sur Wii, la série Pokémon récolte des miettes. Pokémon Battle Revolution n’a de révolution que le nom : il ne s’agit que d’un mode de jeu de combats en ligne (lui aussi fraîchement débarqué sur la console de salon), absolument inutile. Une tristesse quand on repense aux Pokémon Stadium qui proposaient tout un tas de contenus (mini-jeux, jeu Gameboy) ou pire, Pokémon Colosseum.
Nintendo n’en est qu’aux balbutiements d’Internet sur Wii et lance la plateforme de téléchargement en ligne, le WiiWare. On y trouvera Pokémon Ranch, une sorte d’application de stockage de Pokémon. Elle s’apparente à Pokémon Box, en moins pratique, mais évoluée techniquement : vos Mii et Pokémon se baladent dans le ranch, prêts à vous épater avec leurs formations. Cela permet au moins de stocker toutes les créatures et de libérer un peu les cartouches (et obtenir un Mew quand on remplit le ranch) !
C’est en 2010 que l’on retrouve un nouveau Pokémon sur Nintendo DS. Il s’agit des remake de Or et Argent avec Pokémon HeartGold et SoulSilver. Nintendo sort les deux jeux en boite collector avec un podomètre qui permet d’élever un de ses Pokémon avec nos propres pas. Les graphismes sont toujours en 2D, les bâtiments conservent leur effet 3D et tous les ajouts de Diamant/Perle, ce qui en fait un des plus jolis et complets épisodes en 2D. Comme dans Pokémon Jaune, notre premier Pokémon nous suit en mode exploration, ce qui implique que tous les sprites des Pokémon aient été modélisés à cette occasion.
Cinquième génération
Après avoir usé des remakes et des spin-off en tous genre, Game Freak veut renouveler l’aura de la série principale. C’est après un teasing intense que sortent en 2011, sur Nintendo DS toujours, Pokémon Noir & Blanc, et ses 150 toutes nouvelles créatures. Les précédentes sont compatibles et exportables mais ne figurent pas d’emblée dans ce nouvel épisode qui introduit des personnages charismatiques accompagnant le héros au cours d’un scénario un peu plus élaboré que d’habitude.
La 3D se fait beaucoup plus présente dans certaines villes avec les bâtiments très élevés. Une sorte d’effet à la Mode 7 (de la Super Nintendo) anime les certains décors. De même les combats, jusqu’alors en écrans fixes, sont dynamisés par des mouvements de caméra. En contrepartie, les sprites des Pokémon redevenus pixelisés en souffrent (alors que les derniers épisodes 2D les rendaient pourtant de plus en plus fins).
La Nintendo 3DS est sortie et l’on s’attend à un épisode "Gris". Mais voilà que sont annoncés non pas une mais deux suites, Pokémon Noir 2 et Blanc 2 ! Ils sortent l’année suivante et poursuivent le scénario plein de bonne humeur développé dans le précédent. Après quatre séries de jeux sortis sur Nintendo DS, il est plus que temps de passer sur Nintendo 3DS !
D’autres spin-off continuent de sortir, dont Pokémon Rumble, Conquest, ou encore Poképark 1 & 2, sur Wii. Ces derniers ont le mérite de nous permettre d’incarner des Pokémon dans des environnements en 3D dans un jeu d’aventure "à la Zelda", pour les tout-petits. J’ai beaucoup aimé PokéPark 2 : Le Monde des Vœux (2012) en fait !
Sixième génération
C’est fin 2013 que sortent Pokémon X & Y sur Nintendo 3DS. Attention, le passage tant attendu à la 3D intégrale est là ! C’est à moitié vrai car si tous les éléments du jeu sont modélisés en 3D, cela n’empêche pas un affichage en vue de haut latérale classique pendant les phases d’exploration. En ville en revanche, certains passages sont en full 3D, ce qui a tendance à nous perdre un peu quand les caméras s’affolent !
Le scénario intègre les très alambiquées "Méga-évolutions" et souffre d’un character design et de dialogues véritablement niais. Dans une région s’inspirant de Versailles, et du Paris des terrasses à café, votre bande de potes axée sur la mode est définitivement inutile et exaspérante.
Un an plus tard, le moteur du jeu est un peu mieux maîtrisé et la réalisation affinée pour Pokémon Rubis Oméga et Saphir Alpha, le remake en 3D de l’épisode GBA. L’exploration en pleine nature, sous fond de conflit entre les Team Magma et Aqua convient bien mieux à l’esprit Pokémon. Les animations sont soignées. La possibilité en fin de jeu de survoler la région à dos de Latios/Latias confirme la réussite de ce remake.
L’avenir de la saga ?
Le succès de la saga Pokémon n’a pas l’air de vouloir s’arrêter. En choisissant d’évoluer lentement, en ne sautant aucune étape qui puisse choquer les fans (à défaut de les frustrer), et en réunissant les générations de joueurs les unes après les autres, Game Freak s’est assuré notre sympathie. Aujourd’hui, les voilà repartis avec un nouveau moteur 3D pour les épisodes portables, et on peut imaginer que le studio saura l’exploiter de nouveau.
A l’heure où je vous parle les prochains épisodes de Pokémon sur console portable (à priori Nintendo 3DS) n’ont pas été annoncés. Il n’y a d’ailleurs pas de jeux prévus pour cette fin d’année. L’annonce se faisant habituellement en janvier de l’année de sortie, il semblerait qu’il n’y ait pas d’épisode en 2015. Peut-être est-ce parce que Game Freak se réserve pour la belle année 2016 qui verra les 20 ans de la série ? Aurons-nous droit à un deuxième remake de Pokémon Bleu/Vert/Rouge, cette fois en 3D ? Y aura t-il une compatibilité amiibo et de nouvelles créatures adaptées en figurines ?
Cette année sort Pokkén Tournament, prévu pour l’arcade, même si on peut imaginer une sortie sur Wii U.
Pour ma part j’attends toujours le beau Pokémon 3D de salon à la Colosseum qui permette aussi une exploration poussée. Game Freak a toujours affirmé que les Pokémon classiques se passeraient sur consoles portables. On les comprend, les consoles portables sont plus populaires que les consoles de salon. Il n’empêche qu’ils ont essayé dans le passé, avec Colosseum et XD. Faute de quoi, ce sont les fans qui essaient de créer des expériences (2D ou 3D) d’un Pokémon Online. En voici quelques exemples :
Quand à l’exploration de haute qualité, il semblerait que ce soit Level 5 et son Youkai Watch qui soit en train de s’en charger (toujours sur portable néanmoins).
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Tout ce que je demande c’est quelque chose d’aussi badass que Pokémon Colosseum, avec la chasse aux Pokémon ouverte :-)
En conclusion
Qu’il est loin le temps des premières cartouches où l’on récupérait les centaines de Pokémon avec force et patience, où l’on connaissait tous leurs noms par cœur à la file.
Aujourd’hui le challenge est moins grand, on peut récupérer des Pokémon rares simplement en les échangeant en ligne contre un Pokémon banal. Je continue d’adorer à ranger mes boites pendant des heures sur mes cartouches (oubliez la Poké Bank !), et les transférer de génération en génération.
Une passion qui ne faiblit pas malgré l’âge, en témoignent les strips BD et un livre sur Pokémon que j’ai réalisés.
Shantae est une trilogie de jeux de plateforme/aventure qui vous met dans la peau de la demi-génie Shantae. Les jeux s’apparentent aux Metroïd et Castlevania 2D avec des extérieurs et des donjons à explorer. Une danse ou une arme se trouve dans chaque donjon et offre des habilités supplémentaire à l’héroïne pour progresser.
Test de Shantae sur GameBoy Color (2002) !
Test de Shantae : Risky’s Revenge sur DSiWare (2010) !
Test de Shantae and the Pirate’s Curse sur Wii U et 3DS (2015) !
Shantae (2002, GBC)
Sorti sur GameBoy Color alors que la Game Boy Advance est déjà sortie, Shantae premier du nom ne sort qu’aux Etats-Unis et passe innaperçu. Le jeu est déjà excellent avec son open-world 2D, son cycle jour/nuit, ses graphismes réussis et des mécaniques de jeu à la Zelda dans les donjons. Les danses de Shantae la transforme en singe, éléphant, araignée et harpie.
Test de Shantae sur GameBoy Color (2002) !
J’ai découvert le jeu récemment lors de sa sortie sur l’eShop de la 3DS il y a deux ans !
Shantae : Risky’s Revenge (2010, DSi)
Sorti uniquement sur le DSiWare de la Nintendo DSi (puis sur Steam en 2014 dans une version director’s cut), Risky’s Revenge corrige toutes les petites maladresses du premier opus. Une carte de tout Sequin Land s’affiche sur l’écran tactile. L’ergonomie générale est revue et des zones multiplans apparaissent. Des artworks s’affichent pendant les dialogues. Les danses de Shantae la transforme en singe, éléphant et sirène.
Test de Shantae : Risky’s Revenge sur DSiWare (2010) !
Suite à la sortie de Pirate’s Curse, j’exhume le jeu de la section DsiWare perdue dans l’eShop de la 3DS !
Shantae and the Pirate’s Curse (Wii U & 3DS)
Développé à l’origine pour l’eShop de la 3DS, Pirate’s Curse sort finalement sur Wii U également. L’envergure du jeu est élargie. Le titre se veut beaucoup plus accessible et pas mal de choses sont simplifiés. Beaucoup de fun et de fan service avec les artworks très généreux des personnages et notamment des héroïnes ! Plus de danses de transformations mais des armes qui nous permettent d’avoir plus de possibilités d’attaque et de déplacement.
Test de Shantae and the Pirate’s Curse sur Wii U et 3DS (2015) !
Depuis la rédaction de cet article, de nouveaux épisodes sont sortis :
Shantae Half-Genie Hero (2016)
Sorti sur toutes les consoles de salon, Half-Genie Hero a trouvé son financement via Kickstarter. Le jeu laisse tomber les pixels pour un design HD, et renoue avec les transformations en animaux via les danses de Shantae. Le jeu est sorti le 20 décembre 2016 sur Wii U et le 8 juin 2017 sur Switch. De trilogie, la saga passe à une tétralogie !
Test de Shantae : Half-Genie Hero
Shantae and the Seven Sirens (2019)
On n’arrête plus Wayforward, Shantae and the Seven Sirens est la cinquième aventure de Shantae ! N’ayant pas particulièrement apprécié Half-Genie Hero, j’ai passé mon tour cette fois-ci !
Parce que je n’y jouais que de temps en temps, j’ai mis trèèèès longtemps à finir Shenmue. Je n’avais pas ma Dreamcast sous le coude, ce qui rendait la chose plus difficile. Mais il est vrai que le jeu m’a accompagné pendant ces quelques trois années, comme une nouvelle petite bulle de plaisir que je savourais lentement. La joie et la tristesse de finir ce jeu exceptionnel.
Monument de la Dreamcast, la dernière console de SEGA, Shenmue est un jeu d’exploration/aventure qui se déroule dans le Japon contemporain en 1986. On y incarne Ryo Hazuki, un jeune disciple en arts-martiaux dont le père est tué au début de l’aventure par un mystérieux ennemi qu’il n’aura cesse de poursuivre. Pour retrouver sa trace, Ryo va questionner tout son voisinage et remonter la piste petit à petit.
Le jeu est entièrement en 3D, ce qui, vu le degré réaliste des environnements est, encore aujourd’hui, exceptionnel. Le jeu n’est composé que de quelques localités mais on prend un plaisir fou à visiter les centres résidentiels, la rue principale, les entrepôts et les quelques surprises, d’autant plus que tout est en temps réel et que les habitants, nombreux, vaquent chacun à leurs occupations. Les personnages sont tous animés et doublés avec un soin particulier. La mise en scène est excellente : le choix des angles de caméra est certes scolaire mais judicieux et d’une qualité assez rare pour le souligner !
Beaucoup de choses sont interactives, on peut rentrer dans beaucoup de maisons, sonner aux portes, ouvrir des placards, prendre des boissons dans les distributeurs. L’intrigue et les dialogues des personnages évoluent au fur et à mesure que l’on découvre les bons indices. Avec Majora’s Mask, Shenmue est le seul jeu que je connaisse à créer une ambiance de jeu supérieure qui soit autant immersive. D’ailleurs question immersion, Shenmue se classe en haut du podium avec des dialogues réalistes variés et abondants, et sa galerie de personnages hauts en couleur. Pour nous occidentaux, ce n’est pas notre quotidien, c’est celui d’un jeune idéaliste japonais des années 80 dans un village typique : cela ne peut qu’être dépaysant.
Shenmue abonde de cinématiques, de cinématiques interactives (à dose de QTE, quick time event), de choses à faire en fonction du calendrier. Le seul défaut du jeu est la lourdeur de Ryo qui est un peu raide et délicat à manœuvrer (les chariots que l’on conduit un peu plus tard dans le jeu le seraient presque plus !). Comme on passe son temps à courir dans les ruelles avec la gâchette gauche de la manette Dreamcast, on en sort avec quelques crampes ! L’histoire est joliment écrite, les séquences variées et la contemplation jamais bien loin.
Un remake HD est attendu depuis belle lurette... en vain. J’ai donc eu le temps de le finir dans sa version d’origine. Et je pense enchaîner avec la suite qui réserve visiblement beaucoup de surprises !
(le dessin issu de mon livre Game & Draw !)
Edit 2018 : J’ai réalisé une vidéo du début du jeu (version HD) !
20 ans déjà ! Secret of Mana, tu me prends un peu de cours, mais je t’aime tant !
Allez, on se prévu un petit RYoGA World d’ici la semaine prochaine !
Un an et demi après, j’en ai fait une vidéo dans "Excuuuuse-me, Princess !"
Après les sentiments esthétiques liés aux beaux jeux, revenons sur ces jeux Nintendo qui ont su me mettre une baffe dans la gueule et me faire décrocher la mâchoire ! Un sentiment né de l’alliance d’une technique et d’un gameplay innovant !
Donkey Kong Country, 1994
Il y a 20 ans, je découvre chez un ami DKC, qui vient de sortir. Il me montre le niveau sous la pluie avec des éclairs, et là, je me revois ouvrir la bouche et sortir un rire d’incrédulité ! C’est possible de faire quelque chose d’aussi vivant et bien animé ?
Super Mario 64, 1997
Mes premiers pas dans l’environnement 3D du jeu sont jubilatoires. On peut vraiment aller partout ? Oui !
Resident Evil 4, 2005
Beaucoup de jeux sur Gamecube impressionnent. Et pourtant, il faut attendre la fin de vie de la machine pour que la grosse baffe technique et ludique arrive avec l’exclu temporaire de RE4. L’exploration et les possibilités d’interaction sont nombreuses et fait tout le sel de ce titre où il faut fuir pour éviter des hordes d’ennemis terrifiants.
Super Mario Galaxy, 2007
Après un Super Mario Sunshine décevant, je n’attendais pas plus que ça le nouveau Mario sur la Wii. Et pourtant, manettes en mains c’est la claque ! Le gameplay des Mario 3D s’adapte parfaitement aux niveaux sphériques et la sensation d’apesanteur avec laquelle on peut jouer est impressionnante !
Donkey Kong Country : Tropical Freeze, 2014
20 ans après le premier DKC, Tropical Freeze s’avère être un émerveillement de bout en bout. Graphiquement, musicalement, et surtout ludiquement puisque les situations se renouvellent en permanence tout au long du jeu.
Quel sera ma prochaine claque sur consoles Nintendo ? Et vous, quelles ont été les vôtres ?
Pour rester avec DKC, le premier jeu est sorti le 24 novembre 1994. Ce ser adonc mais bientôt les 20 ans du jeu ! Rappelez-vous (ou découvrez) la VHS qui assura la promotion du jeu à l’époque !