Dernier ajout : 27 avril.
Une découverte, donc je ne fais que reprendre l’article de Wikipedia !
Little Computer People est un jeu vidéo de simulation de vie sorti en 1985 et édité par Activision, developpé par David Crane, Rich Gold, James Wickstead Design Associates, aux États-Unis. Le jeu est sorti sur Commodore 64, Amstrad CPC, Atari ST, ZX Spectrum et Apple II. Une version Amiga est sortie en 1987. Une version Famicom Disk System publiée au Japon par Square existe aussi.
Il n’y a pas de condition de victoire et l’on n’a presque aucune influence sur la vie de l’unique personnage masculin. Une vue de coté permet de contempler les 3 étages de la maison. Le personnage mène une vie normale, c’est-à-dire regarde la télévision, mange, nourrit le chien... Il est possible d’interagir avec lui en remplissant le réfrigérateur, en entrant de simples commandes, et même en jouant au poker ou en lui offrant des cadeaux. Lors de certaines occasions, il peut entrer en contact de lui-même, invitant le joueur à une partie de poker, ou bien en s’installant à sa machine à écrire pour envoyer ses doléances (sentiments et besoins).
Sur chaque copie du jeu (des disquettes) était généré un personnage au caractère unique, ainsi chacun avait son propre "ami", si attachant qu’il a fallu développer un outil de transfert de cerveau pour les disquettes endommagées, les gens reclamant leur ’Brian’.
Bien que peu populaire à son époque, il est clair que ce fut un grand précurseur du jeu le plus vendu les Sims de l’histoire vidéo-ludique.
Ce qui m’amuse aussi dans la description, c’est de constater l’attachement des joueurs à leur personnages, avec cette volonté de pouvoir conserver les données de leur avatar... et d’imaginer qu’aujourd’hui plus aucune de ces sauvegardes ne doit être viable puisque sur des disquettes souples qui ont du être usées par le temps ou alors qui n’ont même plus la machine pour les faire fonctionner...
Quel dommage, nous n’aurons plus les statistiques de jeu de "Mike" et de son chien "Fido"... Je dis ça, mais le jour où je perds mes 500 pokémons des versions GBA actuellement en sursis sur ma cartouche DS, croyez-moi, je tirerai la gueule !!
Résumons la Wii. Qu’est-ce qui fait qu’elle marche à fond les ballons ? Pourquoi le grand public s’est-il rué en masse sur ce produit pour en faire le plus populaire de son époque ?
Chaque produit multimédia lutte d’ingéniosité pour se placer sur le marché. La Wii arrive sur un marché saturé par la complexité des jeux, qui sont encore associés à une catégorie de joueurs passionnés. Bien qu’au cours des années, la NES puis la Playstation aient démocratisé le jeu-vidéo, ou plutôt sa "cible marketing", la volonté de rouvrir le jeu à toute la famille a été le fer de lance de la Wii. En montrant la famille jouer tous ensemble, le message des publicités (que l’on a qualifiées de niaises) est plutôt bien passé et le public, à force d’acharnement médiatique, a pu s’y retrouver.
C’est aussi grâce à la simplicité réelle du gameplay : "vous voulez jouer à un jeu de tennis, agitez la manette comme telle." Il n’a pas fallut longtemps pour le buzz créé par Wii Sport, le jeu "offert" avec la machine, ne fonctionne. La manette Wii, assimilable à une télécommande - objet que tout utilisateur de télévision connait - a permit de naviguer facilement dans les menus design et plutôt bien fait de la machine.
Faire croire aux non-joueurs qu’ils pouvaient eux aussi s’y mettre, rallier les gamers avec les licences phares dès le départ (Zelda, Metroid, Mario), rappeler de bons souvenirs aux anciens (via la virtual console) étaient l’idée de départ de Nintendo pour rassembler tout le monde. Et cela a marché.
Avec le temps le fossé s’est creusé entre les non-joueurs malgré tout frileux (la wii est au placard), les nouveaux venus temporaires (avec ou sans Wii Fit), et les gamers assoiffés.
Derniers à la course des consoles 128 bits, Nintendo a joué son coup de poker et par une habile compréhension du marché a su livrer l’objet qui pouvait faire leur fortune.
D’un point de vue ludique le constat est moins glorieux. Dans l’attente de réelles exploitations de leur hardware (Wii Motion Plus ?...) et surtout de la qualité de leurs software, Nintendo, avec la Wii, a finalement encore tout à prouver.
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Update deux heures plus tard :
Voilà à quoi va, sur le long terme, servir la Wii...
Finalement, je n’étais vraiment pas si loin de la réalité !
Les créateurs de Ico et Shadow of the colossus préparent leur troisième jeu, à venir sur Playstation 3. Ça tabasse.
En bon nouveau fan total de One Piece, je me jetterai bien sûr sur le premier épisode à sortir sur Wii dans nos contrées, et ce dès le mois prochain. Ce sera un jeu d’aventure en deux parties (la seconde en septembre) pas fut-fut pour un sous, mais j’assume complètement mon fanboyisme. Les filles parlent de chaussures ou de robes, bah je parlerai de la jaquette toute pourrie avec ses couleurs fluos moche, qui ne fait pas vraiment honneur à la série... Et encore là c’est tout petit, ça sauve un peu les meubles. Quoique...
edit : sortie le 19 juin chez nous.
Bertrand les alouettes, c’est le petit nom que je donne à The Legend of Zelda : the Wind Waker ! Ce Zelda change en effet tant le fond et l’esprit les origines de la saga Zelda qu’il aurait tout autant pu prendre un autre nom. J’exagère quelque peu, tant la partie centrale, avec la découverte d’Hyrule, fait parti de ces moment magiques, et recentre l’épisode en un clin d’œil au sein de la saga.
Mais faisons-nous plaisir, restons sur mon idée ! Avec la licence Bertrand les alouettes, nous nous serions peut-être retrouvé avec une nouvelle série phare, qui sait ?... Bertrand les alouettes 2, accompagné de son ami le tanuki facétieux, partent à la recherche d’un trésor enfouis sous les eaux ! (ça c’est parce que j’aurais rêvé d’un Wind Waker sous-matin !) Allez, sans rancune, et rendez-vous sans doute avec The legend of Zelda : the Spirit Tracks sur DS à la fin de l’année pour savoir ce qu’il advient un peu de la saga... auquel cas vous ne vous seriez déjà pas fait votre avis sur la question...
Edit 2015 amiibo : Bertrand est de retour !
Je pourrais difficilement parler de Punch Out !! En effet, je n’ai jamais joué à aucun des épisodes de la célèbre série, que ce soit sur NES (1989) ou Super Nintendo (1994) avec Super Punch Out !! Néanmoins, quand on voit qu’il aura fallut 15 ans à Nintendo pour ressusciter la légende, on ne peut qu’être amusé de voir ressurgir du passé des personnages emblématiques et de voir comment il ont évolué.
Jusqu’à présent, seules les belles images du jeu wii à venir séduisaient nos mirettes. Un jeu quelque peu "old-school" dont on ne sait à peu près encore rien du mode de fonctionnement des tournois, ni de la façon dont le jeu va - ou pas - être mis en scène via des cinématiques, se mettant ainsi à la norme des jeux d’aujourd’hui, qui se doivent de faire passer des émotions à travers leur narration à défaut de nous laisser seul ressentir ce que l’on voulait bien créer.
Parmi les trailers qui sortent actuellement à quelques jours de la sortie du jeu, un m’a particulièrement amusé. Les films qui se prennent au sérieux dans la parodie appartiennent à un style qu’on ne croyait réservé qu’aux années 80. Et ça tombe bien, Punch Out renvoie ici directement au Rocky des années 80, voire du dernier Balboa en date. On s’amusera des clins d’oeil scénaristiques, tout comme des codes créé par la série Punch Outt !! elle-même. Le peignoir rose de Little Mac, c’est quand même quelque chose
Nous retrouvons ici le champion complètement déboussolé à l’idée de faire son come-back : tiendra t-il la distance ? Je ne saurais répondre à cette question, mais au niveau des émotions dégagées, c’est déjà gagné !
Comme chaque épisode de Mario, ce Mario Galaxy était attendu au tournant. En effet, après le fédérateur Super Mario 64 (1996) et le controversé Super Mario Sunshine (2002), la nouvelle aventure de Mario en 3D ne pouvait pas laisser indifférente. L’univers, la galaxie, tranchant quelque peu avec l’univers bucolique peuplé de champignons du plombier à la salopette bleue, intriguait, de par ses petites planètes rondes, et ce, jusqu’à ce qu’on ait la manette en main.
Un éclat de rire. De joie. D’admiration. Voilà ce que j’ai ressenti lors du premier saut de Mario sur sa petite planète ronde ! Le roi de la plateformes nous revient très en forme, et pour cause : il a conquit la gravité pour ajouter une nouvelle dimension à nos cabrioles adorées ! En effet, l’attraction terrestre est à présent un facteur déterminant pour jouer : un saut, selon sa hauteur, peut nous faire rejoindre la gravité de telle ou telle planète qui nous entoure. Un saut en longueur peut nous faire gagner en inertie et nous faire bondir plus loin encore, nous procurant un sentiment tout à fait renversant. Là ne sont pas les seules découvertes liées à la gravité... Il y en a beaucoup d’autres, d’autant que le level design des niveaux que l’on parcourt est d’une diversité et d’une qualité incroyable.
Du grand Nintendo !
Super Mario Galaxy, sorti le 16 novembre 2007, se targue donc d’être le meilleur jeu de l’année tous supports confondus, avec une insolence et une majesté qui nous épate encore aujourd’hui.
Parfois il faut savoir se taire.
Parfois il faut savoir savourer.
Mais il ne faut pas oublier.
Sinon t’es pendu par les pieds...
Sorti en 1996 sur les Super Nintendo japonaises et américaines, Chrono Trigger fait parti de ces jeux cultes qui n’ont pas atteint l’Europe. Développé par Square, Chrono Trigger est un jeu d’aventure parmi les meilleurs et se hisse sans problème au niveau des Zelda 3, Secret of Mana et autre Final Fantasy 6. L’erreur fut réparé en février dernier avec la sortie de sa conversion sur DS. Bénéficiant des cinématiques animées (à la Dragon Ball) et des bonus des versions remastérisées elles-aussi inédites chez nous, cette version DS devient instantanément un des meilleurs jeux de la machine et un petit bonheur à emporter partout.
On change totalement de style, avec Resident Evil 5, pour lequel je n’ai pas honte une seule seconde de vous dire que j’ai adoré. Certes beaucoup moins finaud que ses prédécesseurs, voire carrément bourrin, ce nouvel épisode en fout plein la vue et vous offre votre lot de zombies à latter. Du grand défouloir de luxe !
Et si le prochain jeu qui nous faisait vibrer c’était...
Suivant à l’écoute du Video Games Live 2008 in Paris, j’ai eu envie hier soir de rebrancher ma NES.
Elle était déjà fatiguée, avec le syndrome très connu du "clignotement" qui signifie que les broches de lecture sont usées.
Et là, j’arrive à lire Donkey Kong Classic quasiment du premier coup. Je joue deux minutes (oui, parce que passé le premier niveau, cette version NES me gonfle :-D), et je m’en vais pour essayer le Star Wars que j’avais choppé sur un brocante l’année dernière. Là je constate que le jeu est illisible... Damned, un jeu d’occaze bouzillé, je n’ai pas fait une affaire ! Je rentre alors un autre jeu, sachant très bien qu’il fonctionne, et là, torpeur, le jeu est tout aussi illisible : il fonctionne mais l’affichage est baveux à mourir ! J’essaie une autre cartouche, mais force est de constater que les broches de lecture ont rendu l’âme, usées jusqu’à l’os ou achevées par la guerre des étoiles d’occasion...
Les consoles ne sont pas éternelles - les câbles de ma megadrive commencent à s’oxyder - mais c’est chié quand même ! :-)
Aaaah Duke Nukem ! Voilà un nom qui me replonge plus de dix ans en arrière alors que je jouais à sa version 3D, sur mon premier PC il me semble !
Il s’agissait d’un Doom Like où l’on incarnait (en vue subjective, certes), un Rambo puissance mille dont le seul but était de défouirailler du cochon mutant, de l’alien basique, et de leur balancer moult répliques "bad ass" avant l’heure.
A l’heure où l’on apprend que sa suite, qui sera donc restée en développement pendant plus de dix ans, est finalement belle et bien annulée, laissant orphelins les fans privés de leur arlésienne, je prends un plaisir certain à redécouvrir les charmes de mon premier Doom Like...
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