Dernier ajout : 6 août.
On commence gentiment par un petit medley Sonic.
Ensuite on dévore tout son répertoire musiques de films, anime et jeux vidéo (ça je vous laisse faire). Parmi lesquels, interprétés au violon, je vous invite à cliquer, Zelda Skyword Sword, Chrono Trigger, Metal Gear Solid 2, Metroïd ou encore l’épique Power Rangers !
Ensuite on se calme un peu et on apprécie...
Et on s’achève avec "Part of your world".
C’est lors de la journée consacrée à la présentation du jeu par Warren Spector que nous avons pu nous frotter à Epic Mickey 2. Un niveau avec Mickey et deux en co-op avec Oswald, un en 2D, un en 3D, voilà ce qui était au programme.
Premières impressions publiées sur Puissance-Nintendo
Retour du pinceau magique
Les joueurs du premier Epic Mickey ne seront pas désorientés : nous commençons le jeu de la même manière. C’est ainsi qu’après avoir passé un miroir dans sa chambre, Mickey se retrouve dans le bureau de Yensid, le magicien de Fantasia. Seulement cette fois-ci il n’est pas là et Mickey plonge directement dans le livre magique.
Ce premier niveau fut pour nous simplement l’occasion de reprendre en mains le gameplay déjà connu du premier épisode. Mickey arpente les escaliers avec la fougue de sa jeunesse ! Rapidement, il retrouve le pinceau magique. Ce dernier va lui permettre de recomposer ou dissoudre des éléments du décor pour progresser.
New Epic Mickey Bros Wii
Le deuxième niveau testé nous permet enfin de jouer à deux. Si vous jouez seul, Mickey est assisté par Oswald dans sa progression. Mais c’est bien le moment de passer la manette à votre ami ou votre petit frère car jouer à deux se révèle, bien que parfois confus, très amusant. Au sein d’un niveau de plate-formes en deux dimensions, Mickey et Oswald vont devoir alternativement utiliser leurs pouvoirs.
Oswald dispose d’une télécommande à même de générer de l’électricité, ce qui sera pratique pour actionner certains mécanismes. On fait donc évoluer les deux compères de poutre en balancelle, en râlant joyeusement lorsque l’un des deux est à la traîne (l’écran se splitte alors en deux), ou en rigolant lorsque vous avez vous-même -intentionnellement ou non - précipité la chute de votre coéquipier. Un moment qui ne paie pas de mine mais qui s’est révélé fort sympathique. Dire que de son propre aveu Warren Spector n’avait pas eu au départ l’intention d’intégrer dans le jeu le système de coopération, et que c’est son équipe qui l’a incité à le faire !
Sans doute quelques petites choses seront à régler d’ici la sortie finale, comme par exemple le fait que dès que l’écran splitte votre personnage ne soit pas centré dans votre partie de l’écran et qu’il lui arrive d’en sortir carrément. Cela rend l’action imprécise, déjà qu’elle se déroule dans un univers visuellement chargé.
Mickey mousse quand Mario brosse...
Le troisième niveau était de loin le plus attendu : un niveau en 3D jouable à deux. Mickey et Oswald doivent dans un premier temps trouver trois générateurs cachés autour de la place du village. Il n’est pas facile de les trouver au premier coup d’œil tant la définition de l’environnement est peu lisible. Sans compter la gestion automatique de la caméra, qui est à la rue. Un point noir étonnant alors que Warren Spector se défendait d’avoir pris en compte ce défaut majeur du premier épisode. Espérons que ce soit du simple fait de cette pré-version !
Quoi qu’il en soit, nous voilà à deux à la recherche des items convoités. Mickey utilise une poudre magique pour les faire léviter, le temps de passer de l’autre côté d’un cours d’eau. Il les traîne ensuite à leur réceptacle et là Oswald utilise son pouvoir pour les activer. Un principe que l’on retrouve un peu plus loin dans l’aventure, le pinceau de Mickey s’alliant souvent à la télécommande d’Oswald pour débloquer des mécanismes. Lorsque les deux joueurs sont séparés, l’écran splitté refait son apparition. A noter que le second joueur peut venir et sortir de la partie à loisir, un peu comme dans New Super Mario Bros Wii.
La Wii m’a "tuer"
Comment ne pas parler enfin des versions HD qui étaient elles-aussi jouables lors de l’événement. Les problèmes de lisibilité de l’action sont ici résolus, affichage oblige, de même que les problèmes de caméra, la caméra étant ici gérée (de plus loin) sans qu’on ait à y retoucher. En contrepartie, on pouvait observer de très nombreux ralentissements de l’action, qui seront probablement corrigés d’ici la sortie finale.
Ces trois niveaux nous ont montré les différentes manières de jouer à ce prochain Mickey 2. Les petits problèmes liés au test de cette pré-version corrigés, il y aura de quoi vraiment s’amuser pour deux joueurs dans l’univers original de Epic Mickey !
C’est en effet le 11 avril 1992 que la Super Nintendo est sortie chez nous en France ! J’étais alors sur Megadrive et ce n’est que quelques mois plus tard que je rattrapais mon retard sur la machine.
La Super Nintendo, c’est tout d’abord pour moi cette VHS de présentation de la console qui était livrée avec le Console + du mois de septembre 1992 !
Dès l’année de sa sortie, la Super Nintendo impose du lourd. En plus des jeux du lancement comme Super Mario World ou F-Zéro, et de très bons titres parmi lesquels Castlevania 4 ou Turtles in time, ce sont les mastodontes Zelda 3 et Street Fighter 2 qui vont faire décoller la console.
C’est le début d’une lutte impitoyable avec la Megadrive. Mais voilà qu’un autre météore pointe le bout de son nez en ce tout début d’année 1993 : Super Mariokart, une étoile est née ! S’en suit une excellente année niveau titres parmi lesquels Super Tiny Toons, Super Star Wars, le bluffant Starwing et son mythique processeur Super FX ! Sim City bénéficie d’une version exclusive et Super Bomberman vient asseoir le jeu multi sur la console.
Super Mario All Stars, Street Fighter 2 Turbo, Dragon Ball Z et Aladdin font rêver les joueurs pour la fin d’année.
1994 est une année très sympa pour la Super Nintendo avec beaucoup de jeux dans tous les genres possibles. NBA Jam, Rock’n Roll Racing, Mortal Kombat 2 proposent des jeux plus ados. C’est aussi le retour gagnant des anciennes licences avec les sublimes Megaman X et Super Metroïd. Dragon Ball Z 2 revient au top de sa forme.
Mais ce sont surtout trois perles qui retiennent toute l’attention en fin d’année : Earthworm Jim, Secret of Mana et Donkey Kong Country. De la bombe. La Megadrive est complètement larguée.
1995 marque l’arrivée de consoles 32 bits concurrentes. Du coup chez Nintendo ça se calme un peu, avec Dragon Ball Z 3, Illusion of time ou Earthworm Jim 2. Yoshi’s island tient la dragée haute aux hits de Noël sur 32 bits !
Et rebelote avec Donkey Kong Country 2 qui met d’accord tout le monde en ce début 1996 ! Les superbes Secret of Evermore et Demon’s Crest sortent en mars et mai. Puis plus rien. Les autres grosses sorties de 1996 n’arrivent pas jusque chez nous, à l’image de Final Fantasy VI, Earthbound, Chrono Trigger ou Mario RPG.
Pour ma part j’importe le très sympathique Ranma 1/2 : Chougi Ranbu Hen (de là viendra le pseudonyme Ryoga !). Donkey Kong Country 3 et Dragon Ball Z Hyper Dimension, les deux derniers gros titres de la machine chez nous, sortent tout début 1997.
La Super Nintendo est une machine qu’il a été difficile d’abandonner en son temps. Nombreux sont les titres qui font encore référence aujourd’hui et qui se rejouent avec plaisir, comme Mario World, Zelda 3, Super Metroïd ou encore Secret of Mana !
Edit : Et on termine avec la vidéo que j’ai faite de la SNES Mini en 2017, mini-console qui reprend 21 hits de Nintendo !
J’ai eu le plaisir d’être envoyé par Puissance-Nintendo à la conférence de Warren Spector qui nous a parlé d’Epic Mickey 2 ! La conférence en quelques dessins.
Mes impressions sur Epic Mickey 2 !
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, Poképark 2 n’est pas une simple compilation de mini-jeux dans l’univers des créatures de Game Freaks. Si quelques mini-jeux sont bien présents, ils sont au nombre de quatre et sont totalement noyés au sein d’un jeu où l’aventure a la part belle ! Dans la peau de Pikachu et des trois starters de Pokémon Noir & Blanc, vous allez devoir explorer plusieurs environnements tous en 3D et remplis de Pokémon !
Test publié sur Puissance-Nintendo
La grande aventure de Pikachu 2, le retour
Alerte au Poképark ! Des Pokémon ont été enlevés et entraînés dans une dimension parallèle : le monde des vœux. Il revient à Pikachu et ses amis d’enquêter sur ces mystérieuses disparitions. Si l’histoire est assez simple, on appréciera la qualité de la mise en scène des différents moments forts de l’aventure. Certains sont convenus, d’autres plus inattendus. Une chose est sûre : si vous n’êtes pas allergique à ces satanées bestioles, vous risquez de tomber sous leur charme !
Quel plaisir en effet de pouvoir évoluer dans ces univers chatoyants ! Les environnements sont simples, justes, colorés. Les Pokémon, 200 au total, sont issus majoritairement de Pokémon Noir & Blanc et jouissent d’un design et d’une animation soignés. Ils vaquent tous à leurs occupations, discutent entre eux, jouent ou se battent ensemble, ce qui donne une impression de vie foisonnante parfois très drôle. Il ne tient alors qu’à vous d’aller à leur rencontre pour échanger quelques informations ou participer à un défi. La plupart du temps un combat, les défis peuvent être aussi une course, une quête d’objets ou un challenge unique. Tous s’engagent en temps réels et s’ils ne sont jamais très durs, certains peuvent se montrer retors.
Les combats restent les défis les plus intéressants car ils reprennent les rapports de force connus de la saga : un Pokémon eau aura plus de facilité à battre un Pokémon sol, un feu un herbe, etc. La récompense à l’issue du combat est l’obtention de l’amitié de ce Pokémon. Un Pokémon ami pourra même intervenir au beau milieu d’un combat pour vous aider si vous êtes en difficulté. Votre principal challenge, en dehors de la trame principale, sera donc de faire ami-ami avec tout le monde, ce qui ne sera pas de tout repos.
Le pouvoir de l’amitié (virile)
Obtenir l’amitié des Pokémon se révèle vite essentiel. Afin de pouvoir ouvrir les différentes portes vers le monde des vœux, Pikachu et son équipe auront besoin du "pouvoir de l’amitié" des différents Pokémon rencontrés. Plus vous avez pris le temps de vous faire des amis, plus l’ouverture de la porte sera facile.
Une petite cinématique avec le moteur du jeu montrera tous vos amis se réunissant devant la porte pour beugler leur bonheur. Car oui, un Pokémon, ça beugle, et comme vous le savez peut-être, ça beugle son propre nom. Huit doubleurs français se sont relayés pour incarner toute une palette d’émotions sur la base de chaque nom des Pokémon. C’est très amusant à entendre !
Les quatre moustiquaires
Dans sa première aventure Pikachu était seul. Ici, il est rejoint par trois nouveaux personnages qui ne sont autres que les trois starters de Pokémon Noir & Blanc : Moustillon, Vipélierre et Gruiki. Chacun y va de son petit caractère, mais surtout dispose de capacités totalement différentes. Le roublard Moustillon est le seul à pouvoir évoluer dans l’eau. La snobinarde Vipélierre court vite et peut faire un double saut. Enfin le lent et timoré Gruiki peut défoncer des blocs de pierre et dégager de nouvelles voies. Si certains passages paraissent inaccessibles à un moment donné, c’est sûrement l’affaire d’un de vos futurs alliés.
Ce Poképark est en quelque sorte un "Zelda-light" !! "Zelda" car il en reprend beaucoup de mécanismes : différentes zones variées (portuaire, forestière, rocheuse, etc), mais aussi la fameuse progression qui nous plait tant. En effet, tous les chemins ne sont pas ouverts et il faudra revenir plus tard dans l’aventure avec le bon allié pour aller de l’avant. Et puis "light" car, tout aussi plaisant soit-il, Poképark n’a évidemment pas l’envergure d’une aventure de Link. Même s’il dispose de donjons, ils sont réduits à quelques couloirs. Au bout, l’un des quatre mini-jeux pré-cités et un boss au combat un peu plus élaboré. Cet aspect simplifié est loin d’être un défaut en soi. Parfaitement ajusté, le challenge conviendra aux jeunes joueurs pour qui les derniers Zelda sont trop complexes.
Gameplay en kit et kat
"Prends la wiimote à l’horizontale" : Dès l’écran titre, Nintendo tutoie le joueur. Il sait qu’il aura moins de dix ans. Adieu donc le nunchuk… Notre personnage se dirigera à la croix, ce qui dans un environnement en 3D, il faut l’avouer, fait un peu tâche. Imaginez-vous devoir jouer à Mario 64 à la croix et vous comprendrez le désarroi. Au début donc, le personnage semble se traîner. Le déplacer est parfois un peu hasardeux, limite désagréable quand, à l’arrêt, on veut juste se décaler d’un cran.
Ce calvaire va rapidement s’atténuer avec la possibilité d’entraîner vos personnages auprès de mentors. Vos attaques, au nombre de trois, seront renforcées. Il en est de même pour la barre de vie et la vitesse : tout cela coûte des baies, l’unité de monnaie du jeu, que l’on obtient avec les duels, en les ramassant dans des coffres ou en les faisant tomber des arbres. Très vite, le "tank" Pikachu devient un peu plus véloce et du coup plus agréable à manier. Cela ne résoudra pas certains problèmes de placements dus à la croix directionnelle, mais globalement le gameplay y gagne beaucoup.
"Attrapez-les tous qu’ils disaient !"
Si l’on voit le bout de l’aventure en une douzaine d’heures, sachez que vous pourrez en rajouter quelques-unes si vous souhaitez rencontrer et vous lier d’amitié avec toutes les créatures. Certains événements font apparaître de nouveaux Pokémon et se débloquent progressivement. De nouvelles quêtes sont aussi disponibles après le générique de fin. Un grand tournoi en arène est même organisé et de nouveaux adversaires entrent en scène. Les légendaires Reshiram et Zekrom sont aussi de la partie !
A noter qu’une fois débloqués dans l’aventure, les quatre mini-jeux sont jouables à quatre depuis le menu principal. On ne vous mentira pas en disant qu’ils ne sont pas particulièrement intéressants. Il est possible aussi au cours de l’aventure de prendre des captures d’images de l’écran, et même d’empoigner votre appareil photo dans une vue à la première personne. Certaines quêtes requièrent de montrer à un Pokémon la photo de l’un de ses congénères. Mais rien ne vous empêche de collectionner des photos de vos personnages préférés et de les exporter sur carte SD !
Ce n’est certes toujours pas le grand RPG attendu par les fans, mais ce Poképark 2 est l’aventure la plus soignée de l’univers Pokémon sur consoles de salon à destination des jeunes joueurs. Prendre le temps d’explorer les environnements et de découvrir les représentations 3D des Pokémon des opus Noir & Blanc, tout en faisant avancer l’histoire, est un véritable plaisir, tant l’ambiance est à la bonne humeur. Un jeu d’aventure parfait pour les (jeunes) joueurs qui raffolent de Pokémon bien sûr !
Après une grande immersion dans Poképark 2 : le monde des vœux sur Wii, j’en ai écrit le test pour Puissance Nintendo !
Suite au test de The Last Story réalisé pour Puissance-Nintendo, j’ai été invité à tester une préversion de Kid Icarus Uprising 3DS dans les locaux de Nintendo.
Cela donne une preview toute chaude !
Et je n’ai toujours pas de 3DS. J’attends la version XL ! ;-)
"Sorry to keep you waiting !" C’est sur ces quelques mots que Pit nous accueille ! Que nous réserve le grand retour de notre héros ? Sur NES, on avait droit à un scrolling ascendant. Ici on chamboule tout, heureusement !
Preview publiée sur Puissance-Nintendo
Un retour en fanfare
Chaque niveau se déroule en deux parties. La première est une phase de tir en vol, typique des shoot’em-up, où des hordes d’ennemis viennent face à vous pour vous attaquer, au corps à corps ou en vous envoyant des projectiles. Les décors défilent à toute allure pour une sensation de vitesse vraiment grisante.
La seconde phase du niveau se déroule sur la terre ferme, façon beat’em all. Pit a toujours la possibilité de tirer sur ses ennemis au loin, mais peut aussi se déplacer au sol. Il a alors la possibilité de piquer des sprints et d’utiliser des glissades. Si vous ne pouvez pas gérer la caméra lors des phases de vol, cela devient tout à fait possible lors des phases au sol. Vous pouvez alors regarder tout autour de vous, à 360°, et décider de vous diriger dans un recoin du niveau - où sera caché un coffre - d’aller ouvrir une porte sur un côté ou tout simplement de revenir en arrière. Classique en somme, mais il est bon de le préciser tant le dynamisme de l’action vous incite à plutôt aller de l’avant !
En effet, Kid Icarus Uprising est un jeu fête foraine, un feu d’artifice constant. Lors de la première mise en main, on en prend plein la vue sans forcément avoir eu le temps de comprendre tout ce qui nous arrive. On explose tous les monstres, progresse à vitesse d’enfer et défait le premier boss en deux temps trois mouvements. Le jeu est tellement dense que l’on a à peine le temps de respirer. Niveau amusement et excitation, c’est comme se retrouver face à une bonne vieille borne d’arcade !
Plein les yeux
Les trois niveaux s’enchaînent donc rapidement, apportant leur lot de surprises, de clins d’œil à la série et d’affrontements démesurés. En plus de l’action, ces premiers niveaux, qui font clairement office de tutoriels, introduisent les personnages de l’histoire. Médusa sera votre pire ennemie et la déesse Paluténa votre plus proche alliée. En effet, si la reine ne combat pas à vos côtés, elle communique avec vous par télépathie. Concrètement son image apparait sur l’écran du bas de la 3DS et vous pouvez entendre sa douce voix vous délivrer un bon flot d’informations.
Tous les personnages, dont Pit, seront amenés à apparaître sur cet écran pour commenter l’action, et ce en permanence. Un véritable dialogue de cinéma qui ne nous lâche presque jamais. Autant dire que ce jeu d’action est très bavard ! L’unique langue disponible chez nous étant l’anglais, ceux qui ne comprennent pas la langue de Shakespeare devront suivre les sous-titres français. Apparaissant selon les cas soit sur l’écran du bas, soit sur l’écran du haut, ils sont une information supplémentaire à suivre à l’image. Vous comprenez à présent pourquoi les premières parties sont déroutantes !
Jouer avec ou sans la 3D permet de se rendre compte à quel point elle est bien travaillée sur ce jeu. Elle apporte la profondeur de champ essentielle pour bien évaluer les distances avec les ennemis. Au niveau de sa réalisation, le soft s’en sort très bien, tout au plus pourrait-on regretter que le personnage de Pit ne soit pas plus soigné. En effet, s’il est bien animé, il n’est pas particulièrement joli à regarder, la faute à une absence de lissage des arrêtes composant les polygones du personnage.
Le style Masahiro Sakurai sur 3DS
Si tous les menus du jeu n’ont pas pu être dévoilés lors ce test, sachez néanmoins qu’on y retrouve bien l’esprit du créateur de Smash Bros. Avant chaque niveau il vous est possible de customiser des armes aux effets et portées différentes, comme des lames, des griffes, des arcs, des massues, etc… Il est aussi possible de partir au combat avec un certain nombre de pouvoirs, comme un surplus de vie, de vitesse, et attaques en tout genre, que vous débloquerez via le menu des "dons". Il se présente sous la forme d’un carré dans lequel vous allez pouvoir faire des rentrer des formes : où quand Tetris rencontre le système de vignettes de Smash Bros Brawl ! Si on en prend pas forcément conscience tout de suite, ces dons peuvent se révéler capitaux.
Il est temps à présent de parler du fameux système de gestion de la difficulté. Accessible avant chaque début de niveau, il est représenté sous forme d’une échelle graduée de 1 à 9. De base on commence à l’échelle 2, ce qui correspond à un niveau de difficulté facile. Pour pouvoir l’augmenter, il va vous falloir dépenser en nombre l’unité de valeur du jeu, le cœur. Vous en récupérez constamment lors des parties en abattant des ennemis. Pour l’avoir testé, nous pouvons vous dire que challenge du premier niveau au level 5 devient tout à fait intéressant, et qu’au level 9 Pit n’a pas tenu dix secondes !!
Il aurait fallu pour cela maîtriser le jeu en gérant les stats et armes du personnage. Plus le level est élevé, plus les armes que l’on va obtenir en cadeau à la fin du stage seront rares et performantes. C’est aussi un pari avec vous-même : si vous perdez le challenge, vous perdrez aussi tous les cœurs engagés. Autant ne pas se lancer trop tôt dans une bataille impossible à gagner ! A noter enfin qu’en fonction du level choisi, de nouveaux endroits seront débloqués dans le jeu. Il vous faudra découvrir sur place les portes avec les numéros de level correspondant.
Le gameplay en question
On touche ici au point le plus délicat de Kid Icarus Uprising. Avec la main droite vous soutenez la console, utilisez le pouce pour déplacer le personnage avec le stick analogique et le majeur pour tirer avec la gâchette L (en pression continue, ou par à-coups). Avec la main gauche vous utilisez le stylet sur l’écran du bas pour balayer les ennemis et déplacer la caméra. La configuration n’est pas mauvaise, seulement elle reste rapidement inconfortable.
Jouer sur une longue durée parait bien difficile et Nintendo semble en avoir pris conscience puisqu’il livre le jeu quoi qu’il arrive avec un support en plastique à poser sur une table qui va soutenir la console, qui pour le coup n’a plus grand-chose d’une portable. A noter que le circle pad pro est compatible avec le jeu, mais qu’il n’apporte qu’une configuration destinée aux gauchers. Mais là encore, de l’aveu même de Nintendo, les gauchers semblent préférer la configuration classique. De là, il ne reste plus qu’une solution : se muscler la main gauche…
Voilà pour l’instant ce que l’on peut dire de l’expérience de jeu sur ses trois premiers niveaux. Ils placent l’action, le gameplay, mais aussi l’histoire qui s’annonce pleine de rebondissements. Vous en apprendrez aussi très prochainement sur les différents menus et modes de jeu, assurément très riches. On n’a même pas parlé du mode multijoueurs et des combats de cartes en réalité augmentée !
Kid Icarus Uprising apparait comme un excellent jeu d’action. On s’y amuse énormément. En plus de l’histoire en mode solo qui promet, on sent que tout a été pensé pour la rejouabilité du titre. On reviendra donc avec plaisir dans les différents niveaux pour la collectionnite aigüe et le challenge, élevé. On en attendait pas moins du créateur de Smash Bros !
Les Strips PN sont une série de strips BD réalisés entre 2003 et 2005 pour le site d’actualités Puissance-Nintendo.com. Ils racontent les réflexions et aventures de Ryoga et Toad qui découlent de l’actualité Nintendo (période Gamecube-GBA/DS).
Ils étaient hébergés sur le site, mais depuis fin 2011 la page a disparu.
Le 12 août 2012, Puissance Nintendo rediffuse les Strips PN à l’occasion d’une rétrospective sur son site !
Dans la foulée, de nouveaux strips sont publiés !
Sites internet
Après avoir dévoré la presse vidéoludique mensuelle des années 90 (Player One, Console +, Joypad, etc), RYoGA découpe sans vergogne les images des magazines pour illustrer ses propres articles. D’abord écrits à la plume dans de grands cahiers d’écolier, ils sont écrits par la suite via logiciels de traitement de texte, imprimés et reliés.
Dès 1999, le réseau ryogasp permet la publication d’articles et d’images sur ses sites web. En 2002, RYoGA y aligne les tests de tous les jeux du line-up de la Gamecube.
En 2006 ouvre cet espace, RYoGAme Over, un blog spécialement consacré aux jeux-vidéo. D’abord un joli fourre-tout décomplexé, le site offre au fil du temps des articles de plus en plus pointus sur l’actualité Nintendo.
Dessin
Dessinateur, RYoGA diffuse strips, illustrations et BD sur la toile. Il ouvre notamment en 2004 son Blog BD, toujours actif aujourd’hui.
En 2003, les Strips PN sont publiés sur Puissance-Nintendo et racontent pendant un an et demi l’actualité Gamecube et Nintendo DS.
En 2011, une série de strips sur Pokémon Noir & Blanc est publiée dans ces colonnes.
En 2013, il publie trois livres sur les jeux vidéo : ses recueils de strips PN et Pokémon et un livre inédit, Game & Draw, qui raconte son parcours vidéoludique en textes et dessin ! Les livres peuvent être commandés sur Blurb !
Rédaction
Depuis 2012, RYoGA publie régulièrement des tests et previews de jeux sur Puissance-Nintendo (et Eurogamer.fr en 2013-2014).
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Podcast
Entre 2013 et 2015, il participe en tant que chroniqueur à l’émission radio du PN Cast, qui revient régulièrement sur l’actualité Nintendo. #PNCast
Vidéo
En 2013, il réalise des émissions vidéo au format court sur l’actualité de Nintendo. Depuis 2014, il réalise régulièrement des vidéos de gameplay commenté, les RYoGA World. À la rentrée 2015, il publie une vidéo par semaine en duo avec Mlle S : les "Excuuuuse-me, Princess !"
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