Dernier ajout : 21 juin.
Voilà vingt ans que l’aventure Puissance-Nintendo.com a débuté ! Voici les dessins qui ont été diffusés lors du Live diffusé à l’occasion de cet anniversaire !
Le Live était bien sûr l’occasion de revenir sur l’histoire de PN. En dehors des tests que je rédige depuis plusieurs années, PN a bien sûr été pour moi les aventures des Strips PN et du PN Cast !
Jeu de lancement de la Nintendo Gamecube, Star Wars : Rogue Leader est un des meilleurs titres de la machine.
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Et voilà, c’est fini ! Miiverse, le réseau social de la Wii U, 3DS et Web depuis 2012, a fermé ses portes aujourd’hui.
Hier nous avons fait une dernière balade sur le réseau via la Wii U, pour se remémorer les bons souvenirs de cette expérience sociale (en dessins me concernant) !
Vous pouvez également revoir mes premiers dessins sur Miiverse 1 et Miiverse 2 ou encore quelques dessins sur Zelda Gameboy, qui témoignent de la bonne humeur d’alors. Jusqu’alors confiné à la Wii U puis en décembre 2013 à la 3DS, Miiverse s’ouvre au web entier en juillet 2015. C’est un peu le début de la fin, comme en témoigne mon article sur "Miiverse fait sa pub". Je ne posterai alors quasiment plus de dessins sur le réseau, qui en parallèle se fait petit à petit oublier. Je posterai un dernier article avec les meilleurs dessins de 2014-2015 à l’occasion ! RIP et merci Miiverse !
Pour marquer la fin du service Miiverse ce mercredi 8 novembre, j’ai fait mon propre Mug Miiverse ! J’ai repris quelques uns des dessins qui figuraient sur ma page pour faire un petit patchwork !
Si vous aussi vous souhaitez comme moi créer votre propre Mug Miiverse, je vous indique la marche à suivre ! Avec un logiciel de retouche d’image, vous pouvez créer votre propre Mug Miiverse assez rapidement.
J’ai choisi d’en faire un sur le site de camaloon car on peut choisir une belle couleur vert clair à l’intérieur du mug - ça fait un rappel de la couleur de Miiverse !
1) La maquette
Voici la maquette que j’ai créée pour faire mon mug selon le format du site.
Cliquez sur cette image pour l’obtenir au bon format, puis enregistrez en faisant un clic droit.
Vous pouvez ouvrir cette maquette avec votre logiciel d’image et placer 9 de vos dessins miiverse sur les cases grises (il faudra agrandir un peu les dessins). Si vous le voulez, écrivez le nom de votre compte Miiverse en bas à gauche (j’ai choisi la typo Century Gothic car elle ressemble à celle de Miiverse, j’aime bien la typo Verdana aussi). J’ai aussi mis ma signature de dessin en bas à droite (dans le petit bloc gris).
Il faut ensuite enregistrer un .jpg de cette image (attention à supprimer la maquette avant si elle est toujours visible, pour ne plus la voir en-dessous !).
2) Sur le site
Voici les étapes pour uploader l’image et commander le mug sur le site camaloon.fr !
1- Choisir « Mug sélection » (attention, « mug économiques » ce n’est que pour les commandes à partir de 50 unités !
2- Choisir la couleur d’intérieur du mug
3- Cliquer sur « Ajoutez vos dessins »
4- Cliquer sur « télécharger des images », puis « ajouter image »
5- Choisir l’image créée avec vos dessins miiverse (format jpg)
6- Cliquez sur le petit bouton « 3D » sous le mug pour visualiser une simulation 3D du mug : vous pouvez ensuite cliquer sur le mug pour le faire tourner en 3D !
7- Si tout est OK, cliquer sur « Ajouter au panier » et lancez la commande. N’oubliez pas d’entrer un code de réduction si vous en avez un !
(Pour Noël jusqu’au 31 decembre 2017 il y a une remise de 20% sur les mugs avec un code promo. En savoir plus ici : https://camaloon.fr/offre-de-noel)
PS : Cet article n’est pas une pub pour ce site, c’est juste que c’est celui que j’ai choisi d’utiliser, notamment à cause de la couleur verte !
PS2 : Ceci ne sera pas un mug officiel Miiverse ;-)
PS3 : Si vous en faites un, n’hésitez pas à partager vos photos avec le hashtag #MugMiiverse !
Après un lancement réussi, la Switch a continué à profiter d’une aura positive, grâce à ses jeux et un bon bouche à oreille.
Dès le mois de mai, Nintendo a fait tout son possible pour mettre ARMS sous le feu des projecteurs. Le jeu de combat coloré et chaleureux a eu le privilège d’avoir avant sa sortie plusieurs sessions de test en ligne appelées "Global Testpunch". Les joueurs ont pu se faire une idée avant d’éventuellement passer à la caisse lors de la sortie du titre le 16 juin.
Petit apéritif avant de passer au plat de résistance (Splatoon 2), ARMS n’aura pas chez moi (comme chez beaucoup d’autres) suscité de grande passion. La faute à un contenu un peu chiche que même plusieurs mises à jour au fil des mois n’arriveront pas à combler.
L’E3 est là et Nintendo montre ses blockbuster à venir (Super Mario Odyssey, Xenoblade Chronicles 2, Fire Emblem Warriors, Mario + Rabbids : Kingdom Battle) mais en dévoile de nouveaux (Metroid Prime 4, Pokémon RPG, Yoshi et Kirby Switch).
Le 22 juin sort sur l’eShop Switch Oceanhorn : Legend of Uncharted Seas, un Zelda-like en 3D isométrique de très bonne facture. Pas très long, le jeu m’occupe jusqu’à la sortie du premier DLC de The Legend of Zelda : Breath of the Wild le 30 juin.
Les épreuves de l’épée, succession de salles où l’on doit survivre, sont un sacré challenge. Chaque salle propose des combats et des environnements différents dont il faut apprendre les mécaniques sur le bout des doigts pour pouvoir s’en sortir. La quête des différents masques permet notamment de récupérer le masque Korogu, à même de nous aider à débusquer les petites bestioles (au nombre de 900, on le rappelle !). J’apprécie aussi particulièrement le mode "empreinte" qui permet de retracer 200 heures de notre parcours sur la carte du monde.
Le 7 juillet est dévoilée la prochaine session de test en ligne de Splatoon 2. Cette démo ne sera pas un "Global Testfire" comme celui qui s’était déroulé fin mars, mais carrément un Festival appelé "Splatfest World Premiere". Les nouvelles idoles, Perle et Coralie, apparaissent pour la première fois et annoncent le thème du premier Splatfest du jeu : ce sera les glaces contre les gâteaux !
Le festival a lieu une semaine après, et le jeu n’est même pas encore sorti ! Le plan marketing est parfaitement rodé puisque le jeu sort une autre semaine plus tard. Je me jette dessus et n’arrête pas pendant un mois ! Au premier août j’ai déjà 60 heures de jeu et j’avoue ne pas les avoir vues passer du tout !
En effet, Splatoon 2 est bourré de modes de jeu. Les modes de jeu classiques sont de retour et je me risque à certains que je n’avais jamais pratiqué dans Splatoon 1 comme expédition risquée, ou bazookarde. Je dévore le mode histoire que je trouve vraiment bien fait (je n’avais pas fait celui de Splatoon 1 non plus).
Le nouveau mode Salmon Run est pas mal du tout, et une communauté de joueurs motivés se forme, ce qui donne lieu à des matchs à dix (dont deux spectateurs) et des conversations via l’appli sur smartphone.
Histoire de battre le fer tant qu’il est chaud, un deuxième Splatfest est organisé début août : ce sera le ketchup contre la mayonnaise ! Originalité, la couleur de la peinture correspond à celle des sauces !
Au mois d’août je me crée un compte Nintendo japonais pour profiter de démos exclusives sur le store japonais comme Monster Hunter XX ou Dragon Quest Heroes I&II.
Le 15 août c’est la sortie tant attendue de Sonic Mania. Je dévore le jeu, véritable suite spirituelle des épisodes Megadrive, réalisée par des fans qui ont tout compris de l’essence de la saga.
C’est la rentrée et Mario & les Lapins Crétins : Kingdom Battle sont déjà là. Le jeu de RTS est excellent et m’occupera tout le mois de septembre. On peut féliciter Ubisoft Milan pour le très bon mėlange des deux univers au sein de type de jeu complexe et néanmoins accessible.
Le 14 septembre, Nintendo diffuse un nouveau Direct pour passer en revue les prochaines sorties. Plusieurs jeux sont dévoilés comme entre autres Doom, Wolfenstein II, L.A. Noire ou encore Snipperclips Plus. C’est finalement la disponibilité de la démo d’un titre à venir en 2018, Project Octopath Traveler, qui m’occupe quelques heures délicieuses. Le nouveau RPG des créateurs de Bravely Default s’annonce réussi.
L’été est bien fini, on est dans l’été indien avec la sortie le 27 octobre de Super Mario Odyssey, un grand jeu que j’ai dévoré en quelques jours !
A venir : RIME, Xenoblade Chronicles 2, Club Gear Unlimited... en attendant de savoir ce que 2018 nous proposera !
Mes tests disponibles :
OceanHorn : Monster of Uncharted Seas (Test)
Shantae Half-Genie Hero (Test)
Gear Club Unlimited (Preview)
Super Mario Odyssey (Preview)
Yoshi Switch (Impressions)
Xenoblade Chronicles 2 (Impressions)
Mes vidéos disponibles :
Super Mario Odyssey (Vidéos)
Monster Hunter XX (Vidéo)
Mes articles disponibles :
J’ai joué aux jeux Nintendo de l’E3 ! #NintendoParis2017
L’E3 2017 à chaud et à froid (16 juin 2017)
Continuer la chronologie avec Mes jeux de l’année 2017
Happy Halloween ! Pour l’occasion je me replonge dans le tout premier Résident Evil, version Rebirth pour la Gamecube ! Et je me fais bien surprendre !
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Nintendo m’a convié dans ses locaux à une présentation de Gear.Club Unlimited, le jeu de course développé par les studios Eden Games. L’occasion d’en apprendre plus sur le 1er jeu de course automobile "sérieux" de la Switch, un genre qui connait beaucoup d’amateurs, malheureusement peu servis sur consoles Nintendo. S’en est suivie une longue prise en main et beaucoup de questions pour s’assurer de la qualité de ce jeu attendu au tournant !
Preview publiée sur Puissance-Nintendo
L’amour des belles voitures
Gear.Club Unlimited est développé par Eden Games, un studio de développement lyonnais qui s’est déjà brillamment illustré dans des jeux de courses comme V-Rally sur la première PlayStation (2000), Need for Speed : Porsche avec Electronic Arts également sur PS1 également (2000) ou encore Test Drive Unlimited sur PS2/Xbox 360 (2006).
Pour Gear.Club Unlimited sur Switch, la volonté était de reprendre les bases de Test Drive Unlimited pour proposer un jeu de course réaliste sur la machine.
Le mode "Campagne" est la base du jeu. Il nous met dans la peau d’un pilote en devenir qui grâce à un mécène va pouvoir démarrer sa carrière. Après avoir choisi notre nom, notre personnage (représenté par notre avatar Switch) est coatché par un chef d’écurie et aidé par une mécanicienne qui nous refile des infos.
Le garage, ma maison !
Comme dans Test Drive Unlimited, vous disposez d’un garage où entreposer, admirer et améliorer vos véhicules. Avec la caméra, vous survolez l’ensemble de votre entrepôt. Au début, tous les stands sont bâchés. Ils se débloqueront au fur et à mesure de votre progression dans le mode Campagne. Plusieurs apparences sont également disponibles pour le garage, pour que vous vous sentiez comme à la maison !
Le jeu propose de base une trentaine de véhicules parmi seize marques officielles, parmi lesquelles BMW, Alfa Romeo, Mc Laren, Mercedes. Dans le garage, vous pouvez visionner toutes les voitures et les tester sur le terrain pour vous faire une idée, avant de les acheter.
Les amoureux de belles carrosseries et les grands enfants seront donc ravis de pouvoir tourner autour des véhicules, d’ouvrir le capot ou le coffre. C’est également le moment de consulter toutes les statistiques des voitures, de l’accélération au freinage à la maniabilité. Les fans de simulation automobile s’arrêteront avec minutie sur des données comme l’understeering/oversteering, soit la capacité du véhicule à virer ou sous-virer lorsque l’on tourne d’un coup.
Le jeu se veut une simulation réaliste, avec de nombreuses informations pointues, mais également accessible. Réaliste mais fun, avec la possibilité d’afficher de nombreux conseils pour ceux qui auraient besoin d’éclaircissements.
Sept stands sont là pour customiser vos véhicules. L’atelier mécanique vous permet de modifier le moteur, la boite de vitesse. La pneumatique pour gérer les pneus et donc la distance de freinage et l’adhérence. L’atelier rallye permet de changer les suspensions (pratique quand il faut faire face à des terrains accidentés). L’atelier soufflerie pour l’aérodynamique, soit la vitesse maximum du véhicule. L’atelier carrosserie est l’occasion de gérer le poids de votre véhicule. L’atelier peinture et stickers pour l’apparence (attention, vos créations sont surveillées en ligne !) Enfin, l’atelier cosmétique customise l’apparence comme les ailerons ou les pare-chocs, dans la limite des autorisations des constructeurs partenaires !
Prenez soin de votre garage : d’autres joueurs pourraient très bien venir le visiter en ligne. Vous-même aurez la possibilité de voir les lieux d’autres joueurs pour leur piquer des idées !
Une map à la Zelda ?!
Une carte affiche l’ère de jeu. Elle est limitée au début, et les alentours sont masqués par des nuages. Il faut parcourir les premières courses pour débloquer les suivantes. Un petit détail que l’on retrouve d’habitude dans les jeux d’aventure, et une idée bienvenue pour motiver les joueurs à progresser.
Les objectifs sont variés : courses contre huit concurrents, championnats d’au moins quatre courses, contre la montre, affrontements de fantômes. Au total, plus de quatre cents courses et deux cents circuits sont proposées, pour environ soixante-dix heures de jeu.
Chaque course est disponible en mode "novice", "normal" et "expert". De quoi proposer une bonne durée de vie pour les aficionados de complétion ultime !
C’est bien évidemment au cours de ces courses que vous remportez de l’argent, à dépenser ensuite dans votre garage.
Que ce soit pour le solo ou le multi, vous pouvez amener votre voiture tunée avec amour. Quant aux fantômes à affronter, ce sont d’abord des performances enregistrées par les développeurs dans le jeu, qui vont ensuite laisser leur place à des ghosts de joueurs en ligne.
Progresser dans le mode Campagne débloque des espaces où acheter de nouvelles voitures (les "Car dealers"), de nouveaux championnats, mais également d’autres modes de jeu comme le Rally.
Auto Moto (sans motos)
Gear.Drive Unlimited propose deux vues possibles : la vue arrière et la vue capot. Le jeu, fluide au demeurant, l’est un peu moins en mode capot, ce qui n’est pas gênant pour autant.
Jeu réaliste oblige, tout se passe sur la route. Impossible de faire du hors piste, et on ne peut pas se crasher de façon irréaliste. Il n’y a pas de dégâts occasionnés sur notre voiture ou celles des concurrents.
Un mode "magnétoscope" est possible : en pressant la touche "X", vous pouvez revenir en arrière de quelques dizaines de secondes afin par exemple de mieux gérer un virage. Si l’utilisation est illimitée, on gagne en revanche moins d’argent pour cette course.
Nous avons réalisé ce banc d’essai avec un contrôler pro dans les mains. "L" sert à freiner, "R" à accélérer, "ZL" à changer de vue. Un gameplay gyroscopique avec les JoycCon est possible, mais nous n’avons pas pu l’essayer lors de cette session.
Le débat sur l’absence de gâchettes analogiques sur Switch a déjà eu lieu dans nos colonnes. Ici il faudra appuyer plus ou moins longtemps pour simuler la pression mécanique. Le tactile n’est pas utilisé dans le jeu.
Côté technique, il y a un peu d’aliasing sur la voiture, et très peu de clipping sur les décors. Les sensations de vitesse sont bonnes. Du Motion Blur a été ajouté afin d’accentuer l’impression de rapidité. Sur la télé le rendu est propre. Sur l’écran de Switch en mode portable, c’est juste parfait. La résolution en mode "dock" est de 1080p, et de 720p en mode portable. Le tout tourne à 30 i/s, que ce soit en solo ou en multi.
Des succès ont été ajouté dans le jeu. Il y en a même un quand on quitte une course de rage après avoir raté sa performance (ce qui ne nous est pas arrivé on tient à le dire) !
Parmi les courses testées, un terrain large pour nous faire la main sur de nombreux virages ou encore une piste où tout est étudié pour aller le plus vite possible et avoir à réagir au quart de tour. Les environnements diffèrent, avec des pistes dans des villes ou des zones plus naturelles comme les abords d’un volcan. Des conditions climatiques variées sont proposées, de même que des moments différents de la journée, mais tout est pré-défini pour chaque course. Ne vous attendez pas à des changements climatiques ou la nuit qui tombe en cours de partie.
Vé, v’là le Mode Rally !
Le mode Rally se débloque au bout d’environ dix heures de jeu. Les courses ne sont toujours pas hors-piste mais le sol est beaucoup plus glissant, si bien qu’il faut anticiper ses dérapages.
Une variante dans les courses à même de passionner certains, qui chercheront à customiser au maximum leurs bolides.
Les championnats en ligne
En ligne, vous pouvez choisir d’entrée toutes les voitures disponibles dans le jeu. Elles ne seront en revanche pas customisées.
Les championnats fonctionnent par un sytème de calendrier : quelques jours sont consacrés à un événement au cour duquel les adversaires vont chercher à faire les meilleurs temps. Tous les deux jours, le meilleur tiers sera qualifié pour la ligue suivante et ainsi de suite. Si les performances sont moins bonnes ou moins suivies, il y a risque de rétrogradation. Un classement mondial sera établi par saisons.
Ce sont les serveurs du studio Eden Games qui hébergent les parties. Ils seront disponibles indépendamment du service online de Nintendo, ce qui veut dire que vous pourrez y avoir accès même si vous ne souscrivez pas au service de Nintendo en 2018.
Les premiers DLC seront gratuits. Des DLC payants arriveront par la suite pour proposer plus de contenu au jeu, notamment de nouveaux véhicules. Aucune micro-transaction n’est demandée en jeu, ni maintenant ni plus tard.
Le mode multi jusqu’à quatre, un classique
Enfin, le mode multijoueurs est disponible jusqu’à quatre en écran splitté, sur la même console en même portable ou sur la télé. Il est dommage que l’on ne puisse pas jouer à plusieurs chacun sur sa machine pour profiter du plein écran. En mode table il faut vraiment de bons yeux pour profiter de la course (Comme nous avons de bons yeux, nous avons fini premier !).
Inutile de rappeler que ce mode de jeu est très amusant, et ce même si l’on n’est pas dans un Mario Kart ! Les véhicules adverses peuvent être traversés, ce qui accentue l’envie de maîtrise et de vitesse pure.
Gear.Club Unlimited sort le 1er décembre en boite et sur l’eShop sur Switch !
A la fois pointue et accessible, Gear.Club Unlimited est une simulation de course plus que complète. Agréable à prendre en mains, que ce soit avec un Contrôler Pro ou sur l’écran portable de la Switch, elle satisfait aussi bien les pros de jeux de courses que les novices en la matière. Beaucoup plus chaleureux que d’autres jeux du même genre, Gear.Club Unlimited s’avère être un très bon jeu de course. Les joueurs Switch peuvent être soulagés que le premier titre qui leur soit proposé soit de cette qualité.
Vous pouvez également lire mon test du jeu !
Partons à l’aventure dans les cieux avec Skies of Arcadia Legends sur Gamecube ! Un des tous meilleurs JRPG de la console !
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