Journal de bord

Accents Espagnols sur clavier Mac

20 mai 2013, par gasp, Buenos Aires

C’est la minute geek, celle où on apprend à taper des accents espagnols sur nos claviers franchouillards.

Il existe plein de claviers différents selon les fabricants et les langues ; les touches ne sont pas au même endroit. Par exemple, quand un américain tape la touche qui se trouve être pour nous le A, pour lui, c’est un Q.

En France, la disposition des touches la plus répandue est AZERTY et sur nos macs on peut taper très facilement des lettres comme é, è et ù, et même le §. D’ailleurs, qui s’est servi du § cette année ? En revanche, on ne peut pas taper de ñ ni de ú

ñ

Pour taper la ñ qu’on appelle egne et qui est tout le temps utilisé en Español, il faut d’abord taper le tilde (petite vague ˜ ) puis le n.

Sur mac, le tilde s’obtient en pressant la touche ⌥ (alt ou option) puis la touche n.

Une fois que vous avez obtenu le tilde, tapez un n qui viendra se glisser en-dessous, ça donnera ñ ou alors un N et vous obtiendrez Ñ.

á - í - ó - ú

Il faut utiliser la touche ⌥ (alt ou option), la touche ⇧ (majuscule) et la touche 1 (en haut du clavier, entre le @ et le 2).

Pressez ⌥, ⇧ et 1, puis lâchez tout.

Vous obtenez alors l’accent aigu seul ´ donc maintenant, tapez la lettre que vous voulez accentuer. Ainsi ´ et a donnent á et ´ et A donnent Á.

¡ point d’exclamation inversé

¡ Hola ! ici on met des points d’exclamations avant et après les phrases. Pour faire le point d’exclamation inversé, c’est simplement ⌥ (alt ou option) et ! qu’il faut presser simultanément.

¿ point d’interrogation inversé

Pour le point d’interrogation inversé, pressez ⌥ (alt ou option), la touche ⇧ (majuscule) et la touche ?. Lâchez tout, lààà, ça va aller.


Vieilles voitures de Colonia

17 mai 2013, par gasp, Colonia del Sacramento, Uruguay

On n’est pas très bagnole, mais à Colonia, on n’a pas pu s’empêcher de faire une série de photos des vieilles voitures vues dans les rues.

Photographies

  • Coccinelle jaune
  • Coccinelle bleue
  • Immatriculay en Uruguay, c'est stylay
  • Immatriculay en Uruguay, c'est stylay
  • Coccinelle rouge
  • Fiat blanche
  • Fiat rose
  • La verdure dans la voiture
  • Cactus dans le coffre
  • Vieille guimbarde
  • Vieilles américaines

La Parilla de Nestor

17 mai 2013, par gasp, Colonia del Sacramento, Uruguay

N’oublions pas que Colonia n’est qu’à quelques brasses de Buenos Aires, donc on y retrouve pas mal de choses communes, comme le Che dans toutes les phrases, le maté et bien entendu la parilla !

On avait prévu de passer la nuit dans une Auberge de Jeunesse, Nestor, le dueño nous propose une asada (grillade !) et il est toujours difficile de refuser ce genre de propositions.

Quand Nestor propose une parilla, oseriez-vous refuser ?

La parilla, c’est le système de barbecue argentin avec-laquelle il est commun de faire cuire beaucoup, beaucoup, BEAUCOUP [1] de viande bovine.

On fait un feu sur le côté puis on glisse les braises sous la grilles pour faire cuire la viande.

On y rencontre des anglais qui font le tour du monde et Lola, Morena et leur maman, des porteñas en vacances en Uruguay avec qui on échange les adresses [2].


[1ici on est dans la démesure, on parle en kilogrammes par chicos

[2comme on est au XIX° siècle, les adresses, ce sont les contacts facebook

Colonia

16 mai 2013, par gasp, domitille, Colonia del Sacramento, Uruguay

Colonia vous a plu ? Vous en voulez encore ?

Installez vous bien confortablement dans votre siège d’ordinateur.

Cliquez sur play.

Fermez les yeux...

...

Ah, non. Ouvrez les.

Oui, voilà... Vous êtes à Colonia. Il fait beau, vous vous installez à la terrasse d’un café aux couleurs pastels et sirotez une limonade ou Patricia fraîche...

A l’ombre des palmiers et des platanes, dans une petite ruelle aux pavés moussus, la quiétude d’un bolero n’est perturbée que par le toussement d’une vieille coccinelle rouillée qui passe au loin.

Les bougainvilliers sont en fleurs, vous humez l’odeur des orangers et des lavandes, le soleil éclaire ce paysage sans pour autant vous étouffer. Une bise fraîche du rio vous ramène la clameur du port, un vieux phare désaffecté n’en finit pas de vieillir...

Photographies

  • Numéros des rues en faïence, héritage portugais
  • Trés trés choliii
  • La rue des fleurs trop mimi quoi
  • Les bougainvilliers en fleurs
  • Rue qui descend vers le Rio
  • Vue panoramix des remblais
  • Le gaucho des mers ("gaoutcho")
  • Rue de Colonia
  • Porche
  • Le phare de Colonia
  • Vue du phare. Au loin : el Rio de la Plata
  • Soleil au beau fixe
  • Massif de fleurs avec des petits cactus cachés dedans
  • Le chat de Colonia. Miaou
  • Ici on a bu de la limonade et mangé une part de gâteau à l'orange.
  • C'est mignon hein ? Tout est mignon à Colonia
  • Mignoooooon !
  • Des pesos uruguayens. Mignons.
  • Un oranger devant une maison orange. MIGNON
  • Café ensoleillé

L’Uruguay, c’est stylay

16 mai 2013, par gasp, domitille, Colonia del Sacramento, Uruguay

Ce week-end nous sommes partis en Uruguay comme certains iraient à Deauville.

Colonia de Sacramento est située juste de l’autre côté du fleuve Rio del Plata à une cinquantaine de kilomètres à vol de mouette de Buenos Aires. C’est une destination prisée des Pornteños (les habitants de Buenos Aires) pour passer le week-end, un peu comme le Deauville des Parisiens.

Buquebus

Samedi matin tôt, nous sommes partis au Buquebus, nous avons traversé tout Puerto Madero à pied pour arriver dans un port pour voyageur n’ayant rien à envier aux aéroports.

Par un jeu de couloirs, nous embarquons sans nous en rendre compte dans un barco lento, une espèce gros ferry avec un étage pour les voitures, plusieurs étages pour les passagers, une zone de duty-free, une piste de tango...

Nous prenons le large à 9h30, je monte sur le pont pour prendre des photos, pendant ce temps là Domitille garde les sacs.

Domitille garde les sacs

Ca fait presque un mois que nous sommes en Argentine, et nous quittons Buenos Aires pour la première fois.

Colonia, la ville aux influences portugaises

Arrivés à Colonia, c’était un peu des vacances dans des vacances (inception). Il fait beau, tout ce qu’on voit semble tiré d’une carte postale, la ville est toute petite et on s’y repère en un clin d’œil, et surtout, c’est calme, calme, calme.

Colonia a été fondée par des Portugais en 1680, elle s’appelait à l’époque Colônia do Santíssimo Sacramento, elle est placée entre Buenos Aires et Montevideo qui étaient toutes deux sous protectorat espagnol, c’était donc un port de contrebande particulièrement bien situé pour embêter les Espagnols qui avaient le quasi-monopole du commerce sur le Rio de la Plata.

En 1750, les Portugais cèdent Colonia à l’Espagne (et ça se complique vite), si bien qu’on distingue fortement le nouveau quartier espagnol de l’ancien quartier portugais classé par l’Unesco comme patrimoine historique ta mère.

C’est vraiment ravissant, on comprend pourquoi autant d’Argentins aiment y passer leur week-end et on remercie vraiment Magdalena de nous y avoir envoyé.

On s’est baladés dans la ville, on a bu des verres de Patricia dans les petits cafés ombragés.

La plage

Dimanche, envie de feignasser au soleil, de profiter du calme, on fait une longue promenade sur la plage, en se disant qu’on tombera peut être sur la Plaza del Toro dont on nous avait parlé la veille.

Gaspard et Togo

En chemin, un chien errant nous accompagne spontanément tout le long de notre promenade. Il y a des meutes de chiens sur la plage, ils jouent, se disputent, font leur vie...

Retour

Au retour, nous retrouvons Buenos Aires telle que nous l’avions laissée.

Traversons le Rio

11 mai 2013, par gasp, Rio de la Plata, Uruguay

Magie de l’internet, au moment où vous lisez ces lignes, nous traversons la Plata en direction de l’Uruguay.

Extrait de : "Carte de la Confederation Argentine divisee en ses differentes provinces et territoires et des pays voisins : Etat Oriental de l'Uruguay, Paraguay, partie du Bresil et de la Bolivie, Chili."


Télétravail

10 mai 2013, par gasp, Buenos Aires

Ces derniers jours, on s’est un peu remis à travailler.

Ces derniers jours, on a travaillé sur quelques petits projets web pour des français. Avec le décalage horaire, c’est assez confortable : on prend les briefs le matin, alors qu’il est le début d’après-midi en France et pendant la nuit, chez nous c’est l’après-midi donc au chant du coq (français), le travail est déjà bien avancé.

Au début on s’est calé dans notre chambre avec des petits thés, bien tranquillement, mais ne pas sortir de Piedras 749 de la journée, c’est un peu dommage. Et puis nos colocataires commencent vraiment à nous prendre pour des geeks asociaux !

On s'installe pour geeker

Hier, on a donc décidé de devenir graphistes itinérants, en allant squatter les cafés et restaurants de Palermo, le quartier arty-hipster-DA-jemelapête. C’est comme ça qu’on est tombé sur le Bartola Café, très sympathique, on y mange bien, même si au bout d’un moment l’ambiance rose-bonbons-petits-gateaux-à-la-crème peut donner envie d’écouter du heavy métal et de boire du sang de chauve-souris.

Thé, SPIP et HTML au Bartola Café

Après on est allé sur Alvarez Thomas, où la coupure de courant nous a un peu fait décrocher pour enfin rejoindre Magda (souvenez-vous, la couchsurfeuse) chez 1love, son agence supermégaclasse où tout le monde est sur le toit à boire du maté, fumer et regarder les étoiles, coupure de courant oblige...

Ambiance hamac et bougies, chez 1love

La PROA, identité visuelle

5 mai 2013, par gasp

On a beaucoup aimé l’identité visuelle de la Proa, le musée d’art contemporain dont on parlait hier.

L’identité visuelle a été réalisé par Spin, des graphistes britanniques vraiment classe.

Photographies


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