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Mes jeux de l’année 2025

, par RYoGA

2025, l’année bien sûr marquée par l’arrivée de la Switch 2 !

Je termine l’année 2024 et commence 2025 en finissant Ufouria : la Saga 2, un jeu de Sunsoft sorti début 2024. Le premier épisode était sorti à l’époque sur NES, je le connaissais vaguement. Les bande-annonces de ce nouvel opus m’intriguaient puis m’ont fait craquer lors de la promo de fin d’année. Ufouria 2 est un jeu de plateformes à mi-chemin entre un Super Mario Bros. 2 (dont il est le meilleur successeur à mon goût) et un Metroïdvania.

On incarne jusqu’à quatre personnages avec chacun ses habiletés dans un univers connecté qui se débloque au fur et à mesure. Un véritable vent de fraicheur, d’autant que le jeu soit être aussi mignon que couillon. C’est donc un premier gros coup de cœur !

L’année de toutes les promos

Puis, début d’année toujours, je saute le pas vers un jeu dont j’avais entendu parler depuis très longtemps : The Stanley Parable. Je savais que je m’embarquais dans un "Walking Simulator" façon What Remains of Edith Finch, Firewatch ou quelque chose du genre Portal, mais j’étais bien loin du compte.

Décrire l’expérience existentielle dans laquelle vous entraîne The Stanley Parable serait une gageure. Le jeu explose toutes les frontières de l’absurde, pour notre plus grand plaisir. Cette édition "Deluxe" Switch comprend même du contenu supplémentaire qui pousse encore plus loin ce jeu absolument hors-normes. Je l’ai dévoré et j’en redemande !

Dans la foulée j’essaie un autre jeu précédé par sa réputation : The Outer Wilds ! Voilà un jeu d’exploration spatiale plutôt métaphysique dont il va falloir se dépatouiller pour en comprendre les tenants et aboutissants.

Le jeu est assurément fascinant puisque à la première personne, que ce soit à pieds ou en vaisseau spatial, on explore sans transition un univers composé de planètes gravitant autour d’un soleil. Un univers irrémédiablement voué à l’extinction dont il va falloir apprivoiser les mécanismes. Un jeu complexe que j’avoue avoir lâché plusieurs fois sans en avoir dévoilé tous les secrets.

En février, je termine enfin Alicia Dragoon sur Megadrive ! Grace au Nintendo Switch Online et ses fonctionnalités de sauvegarde et de rewind, j’accède enfin au final de ce jeu sorti en 1992 que j’affectionne particulièrement.

C’est une promo encore qui m’ouvre les portes à un petit jeu tout charmant : Lil Gator Game. Ce jeu de plateformes et d’aventure a tout d’un A Short Hike en 3D, et pourtant ce ne sont pas les mêmes développeurs ! Il me faut une journée pour finir à 100% cette aventure colorée et joyeuse qui sait allier des moments de pure parodie à des propos plus sensibles. Un joli coup de cœur !

Vous savez peut-être que j’adore le Monopoly. Et donc il fallait bien qu’un jour je craque pour une version virtuelle du célèbre jeu de plateau. Et ça a été plutôt violent puisqu’en une quinzaine de jours je me suis frappé une quarantaine d’heures de jeu dessus ! Mais ça m’a rendu particulièrement heureux !

J’ai beaucoup aimé Cassette Beasts en 2024, un Pokémon-like très moderne. Le DLC en promo, je ne me fais pas prier. Je profite de l’histoire supplémentaire, "la jetée de l’inconnu", qui se fait avec plaisir.

Autre jeu en promo à un franc-six-sous, Dreamland Farm, un tout petit mignon jeu de ferme fait par un studio indépendant. C’est basique, même très basique, mais la sauce prend car il y a une marge de progression au niveau des outils et des matériaux. Le jeu devient un puits à dizaines d’heures, et j’aurais bien aimé en avoir plus (genre c’est quoi ces bâtiments vides ou aux portes fermées) ! Mais de l’aveu des développeurs ils ne pouvaient pas en faire plus avec le budget en l’état et pour avoir mieux il faudrait voir un autre jeu potentiel.

Skyrim est sorti en 2011. Je l’avais fait en 2016 sur PlayStation 3. Il était ressorti en titre de lancement de la Switch en 2017, mais je n’avais pas ressauté le pas. Jusqu’à aujourd’hui, profitant d’une promo avantageuse. Je ne l’ai pas re-terminé mais je me suis fait quelques sessions de pure exploration plutôt rigolotes qui me laissent plein de souvenirs fendards.

J’ai déjà terminé Final Fantasy VI sur Game Boy Advance à l’époque. Mais depuis sa ressortie sur Switch en 2023 je guettais la promo. C’est chose faite et je me relance dans l’aventure, mais j’en reste bloqué à Ultima, la créature ci-dessous. Ce n’est pas très grave, FFVI n’étant pas mon épisode préféré.

Xenoblade Chronicles X : Definitive Edition sort le 20 mars sur Switch et c’est le premier jeu boite que je prends de l’année. Si l’excellence de cet épisode n’est pas à remettre en doute, je ne le refais pas en entier pour autant.

En avril je m’essaie à Monument Valley, qui sort enfin sur Switch. Parce que c’est un jeu culte et que je ne voulais pas mourir bête. J’en ai fait un peu le début mais sans raison particulière je n’ai pas poussé très loin. Ah, et dans la même énergie j’ai passé quelques heures sur le jeu Fez, avant de me perdre dans son monde labyrinthique.

Première nouveauté Nintendo Switch Online pour laquelle je ne me fais pas prier : Fire Emblem : the Sacred Stones est disponible sur le NSO Game Boy Advance ! Tout comme le précédent épisode qui m’avait passionné l’année précédente, je dévore pendant un mois cet opus que je ne connaissais pas du tout ! J’ai surkiffé ! Vivement l’épisode Gamecube !

Et puis fut la Switch 2 !

Le 5 juin 2025 sort la Switch 2. Je prends le pack Mario Kart World et Cyberpunk 2077. Pour Mario Kart World, je passerai mon temps essentiellement sur le mode balade, délaissant totalement le mode multi en ligne beaucoup trop énervé.

Quant à Cyberpunk 2077, j’ai commencé mon aventure que je continue de temps à autre par petits bouts. Je ne saurais encore dire si ça me plait ou pas.

Le 17 juillet sort Donkey Kong Bananza, le jeu qui m’avait décidé de prendre la Switch 2 au lancement. Si le jeu est indéniablement le titre fort du lancement, je ne m’y suis pas vraiment retrouvé. Une question de goût et de style principalement. Je termine le jeu avec la déception d’être passé à côté de quelque chose, et le sentiment d’avoir pris la console trop tôt, uniquement pour la hype.

Je balance ma sauvegarde de Animal Crossing New Horizons sur ma Switch 2, me laissant désormais la possibilité de refaire une île sur Switch 1. C’est ce que je fais en juillet pendant quelques jours, le temps de refaire une île avec tous les bâtiments et ma maison entièrement remboursée !

Le retour des promos qui tuent

En août je me laisse tenter par une promo fort alléchante : 3 euros et des brouettes pour les deux jeux Nexomon et Nexomon : Extinction, deux Pokémon-like en 2D à l’ancienne. De fait, les deux jeux s’avèrent particulièrement réussis dans leur genre et m’entraînent dans leur chasse aux Nexomon dans deux aventures au long court.

En fait on peut le dire : Nexomon est un clone sans vergogne de Pokémon 2D à tous les niveaux. Le jeu développé sur mobile peine à cacher ses origines d’un point de vue graphique (on sent le moteur Unity à plein nez) et si son histoire lorgne souvent avec des dialogues potaches, tout le reste fonctionne parfaitement.

Une recette que reprend sans soucis sa suite directe, Nexomon : Extinction, qui améliore l’ensemble pour en faire un jeu plus que prenant. Les deux jeux, avec leur durée de vie conséquente, m’occupent pendant deux mois.

Un rapport qualité/prix/temps de jeu que seul Kingdom New Lands continue d’exploser (oui, coucou, Kingdom - acheté 3€80 en 2019 - est encore mon jeu le plus joué de l’année, pour la sixième année consécutive) ! La série Kingdom a d’ailleurs fêté cette année ses dix ans. Et pour l’occasion, Kingdom Two Crowns, le dernier jeu en date, s’offre un DLC gratuit appelé "Rulerversary". Une mission supplémentaire sympathique pour rassasier notre soif de conquêtes !

Autre jeu en promo pour deux copecs, Inspector Waffles Early Days est un point-and-click en 2D façon Pokémon Rouge/Bleu très rigolo qui n’est pas sans rappeler le flegme de Phoenix Wright. Je viens d’ailleurs à l’heure où j’écris ces lignes de prendre le premier jeu de la série, lui en 2D façon pixel art façon Ron Gilbert (on en reparlera sans doute plus tard).

Je parlerais succinctement de Yars Rising, jeu de plateformes développé par Wayforward (Shantae) et édité par Atari (toujours debout), qui revisite le mythe Yar’s Revenge (mon amie la mouche). J’ai à peine commencé le jeu, qui n’a pour l’heure pas réussi à m’accrocher.

Un mot (très) rapide également sur Super Mario Galaxy 1+2 qui sortent le 2 octobre, en boite, sur Switch, histoire de nous prendre encore quelques sous.

Même chose pour Tomb Raider (2013) qui se rappelle à notre bon souvenir avec sa sortie sur Switch/Switch 2. En effet j’avais bien aimé le jeu sur PS3 à l’époque. j’ai apprécié le retrouver.

Les derniers barouds d’honneur de la Switch

Si on écoutait les réseaux sociaux, Pokémon Legends Z-A et Metroid Prime 4 : Beyond seraient d’innommables purges. J’ai failli écouter les commères de dortoir et ne pas prendre le Pokémon Legends. Bien heureusement je me suis ravisé.

J’ai tout simplement adoré Pokémon Legends Z-A. D’accord le jeu a quelques maladresses. Mais encore, tout comme pour Metroid, ces maladresses s’effacent complètement devant l’intérêt général du jeu et de l’engouement qu’il a su susciter chez moi. J’ai adoré parcourir cette ville de long en large pour y accomplir des missions, combattre et capturer les Pokémon et Méga-Pokémon. Au final le jeu se place aisément sur mon top 3 de l’année.

Concernant Metroid Prime 4 : Beyond, manette en mains je pars d’entrée de jeu convaincu. Ce qui s’avérait des défauts aux yeux des autres n’en sont pas apparus pour moi. Il ne me restait plus qu’à me concentrer sur ce que le jeu fait admirablement : l’ambiance et le gameplay des Metroid Prime, des prises de risque qui s’intègrent pleinement à la saga (les pouvoirs psychiques, la moto en monde ouvert, des compagnons attachants). Et puis Samus et son univers ont la classe, plus que jamais.

Rendez-vous en 2026 pour la suite !

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