Dernier ajout : 21 juin.
Nintendo France organise désormais chaque année un événement parisien pour découvrir avec une petite semaine de retard les jeux présentés à l’E3 de Los Angeles. L’occasion de pouvoir enfin mettre les mains pour la première fois sur des jeux comme Super Mario Odyssey, Mario+Rabbits ou encore Fire Emblem Warriors !
Super Mario Odyssey
La star du salon, c’était bien sûr Super Mario Odyssey. La démo d’une dizaine de minutes nous donnait la possibilité de jouer à deux niveaux : Sand Kingdom et Metro Kingdom.
Metro Kingdom est l’environnement urbain qui aura choqué de nombreuses personnes. Personnellement il n’en a rien été. La ville est jolie, pleine de secrets à droite à gauche.
Dans un premier temps j’ai testé les mouvements de Mario. On retrouve ses différents sauts issus de Super Mario 64 comme les sauts retournés, les sauts en longueur ou encore l’attaque rodéo. Le lancer de chapeau est la nouveauté de cet épisode : on peut l’envoyer sur les ennemis ou les blocs pour les détruire, et généralement interagir avec plein de mécanismes qui diffèrent selon la situation. Concentré, le lancer de chapeau tournoie autour de Mario pour le protéger des attaques de toute part.
Nous faisons la rencontre du maire de la ville qui nous demande d’aller chercher les membres d’un groupe de musique, dispersés dans la ville. C’est l’occasion d’aller explorer et de se rendre compte que la ville fourmille de recoins. C’est au cours de mes jeux de funambule que je découvre que Mario n’a plus de vies au compteur. Lorsqu’il perd ses points de vie ou s’il tombe, on lui retire désormais des pièces. C’est un système que Kirby au fil de l’aventure avait expérimenté. Et oui, on est plus près de ses sous !
Sand Kingdom est le bac-à-sable parfait ! Je déambule dans le désert jusqu’à rejoindre un petit village de mexicains. Dans une boutique, j’utilise mes pièces pour acheter des costumes. Je me procure le chapeau mexicain (j’avoue ne pas savoir quel pouvoir il confère auquel cas il en a un !). Après avoir déniché des pièces cachées derrière des affiches ou sauté sur quelques ennemis, nous faisons face à une tour escarpée. Comme dans The Legend of Zelda : A Link between World où Link devenait une fresque sur un mur, Mario devient un motif 2D 8 bit en un clin d’oeil. La gestion entre les deux espaces 3D et 2D est d’ailleurs très réussie. En 2D, Mario escalade quelques plateformes et évite les ennemis. Retour à la 3D, Mario envoie son chapeau sur un boulet en vol pour prendre son contrôle et passer le ravin. C’était vraiment très amusant. Mario est bien de retour ! Le jeu sort le 17 octobre 2017.
Splatoon 2
Le stand Splatoon 2 proposait de jouer soit en équipe de quatre au nouveau mode de jeu "Salmon Run" soit plus classiquement à quatre contre quatre en mode de territoire.
Le mode Salmon Run se déroule en trois manches. Sur une petite île, des monstres sortent de l’eau et nous attaquent. L’objectif est de les détruire et de ramener leurs oeufs dans un panier.
Plusieurs types d’ennemis loufoques nécessitent différentes tactiques, comme ceux qui utilisent une puissante lance à incendie (de peinture) ou ces monstres volant que l’on détruit en envoyant des bombes de peinture dans les bennes à ordures qu’ils transportent.
Attention aux requins qui surgissent de la peinture ou aux dragons dont il faut détruire la colonne vertébrale os après os ! Les ennemis passent leur temps à répandre leur couleur, ce qui nous empêche d’avancer, et vice versa. Si l’on vient à mourir, nous nous transformons en une bouée de sauvetage qui se traîne lamentablement. Les coéquipiers doivent nous peinturlurer pour nous sauver. Si les quatre sont tués en même temps, c’est la fin de la partie. La difficulté est réglable en pourcentage et à partir de 40% c’est déjà très dur !
Le mode "guerre de territoire" n’a rien de spécial à part de nouveaux niveaux, armes et pouvoirs spéciaux que l’on avait déjà commencé à apercevoir lors du Global TestFire.
Il est possible d’organiser des parties avec huit dock Switch reliés en mode local pour profiter de parties dans les meilleurs conditions. Notons également la présence d’un mode spectateur en ligne qui permet à un joueur d’héberger une partie, d’y inviter huit personnes... et de regarder leur duel. Pratique pour les personnes qui veulent en apprendre plus sur les tactiques des autres ? Bref, rendez-vous le 28 juillet prochain !
Mario + The Lapins Crétins Kingdom Battle
Révélé officiellement à cet E3 2017, Mario + The Lapins Crétins Kingdom Battle m’avait fait forte impression. Bonnes impressions qui se sont confirmées après avoir pris le jeu en mains pendant une vingtaine de minutes.
Le jeu alterne les phases d’exploration très simples (on balade notre équipe dans des décors variés et chaleureux) et les phases de combat tactiques (à la XCom pour ceux qui connaissent). Le mariage des deux univers Mario et Lapins Crétins est franchement réussi. Je ne suis pas fan des Lapins Crétins en général, mais là j’avoue que les gags liés à l’univers Mario m’ont fait rire.
J’ai pu pratiquer trois phases de combats successives, lesquelles nous apprenaient à chaque fois une ou plusieurs nuances de gameplay. Déplacer ses personnages, utiliser les habilités des uns et des autres, apprendre à tirer le plus parti de l’environnement, faire attention aux comportements des ennemis.
En gros, on place son équipe, on gère leurs attaques sur les ennemis, lesquels sont parfois cachés derrière des blocs destructibles. Nos personnages peuvent faire des glissades dévastatrices en passant sur un ennemi, puis aller se cacher, voire retirer encore une fois. Nous avons bien entendu utilisé les tuyaux de la zone pour passer d’un endroit à un autre du stage. C’était vraiment chouette et je pense que je serai de la partie le 29 août prochain !
Fire Emblem Warriors
Ayant adoré Hyrule Warriors, j’attendais avec impatience de mettre la main sur la nouvelle création de Koei Tecmo. Fire Emblem Warriors s’avère de prime abord bien moins beau que son prédécesseur, avec des soldats de base franchement laids. La bonne nouvelle, c’est que ces ennemis sont bien plus nombreux à l’écran, et que le jeu est malgré tout bien plus fluide.
Sans compter que le gameplay et le système de combat a été repris et amélioré. Il est désormais possible de switcher de personnages présent sur le champ de bataille à tout moment en appuyant sur la croix directionnelle (comme dans Hyrule Warriors Legends sur 3DS).
D’autre part, un système de paire a été instauré. Il est possible de fusionner notre personnage avec un autre allié proche de lui afin de réaliser différents mouvements et combos impossibles autrement. J’attends d’en voir plus pour savoir, notamment au niveau de l’univers (on retrouve différents personnages de Fire Emblem, dont Fates) et de l’histoire (deux jumeaux demandent de l’aide face à une invasion). Sortie cet automne.
La conférence qui montre Xenoblade Chronicles 2, Yoshi et Metroïd 3DS
Si ces trois jeux n’étaient pas jouables pour nous, ils nous ont été montrés gameplay à l’appui par des membres de Nintendo Europe.
Vous pouvez lire mes impressions complètes sur Xenoblade Chronicles 2 dans un autre article de ce blog. On nous a montré le système de personnages (un "Driver" allié à une "Lame"), le système de combat et un peu d’exploration dans cet univers enchanteur. Je vous raconte tout ça ici. On espère le jeu pour la fin d’année !
Le jeu suivant n’est autre que Yoshi Switch. Reprenant le canevas du Yoshi’s Woolly World, le jeu ne m’impressionne pas particulièrement. On nous révèle ensuite que le niveau que l’on vient de voir peut être pratiqué de l’autre côté, à l’envers du décor, dévoilant de nouveaux secrets. C’est un mignon, mais bon, la formule ne s’en trouve pas transcendée pour autant. Découvrez plus de détails dans mon article.
Je suis content de retrouver Metroid sur 3DS. Metroïd Samus Returns est un remake du titre éponyme sorti en 1991 sur Game Boy (un épisode méconnu que j’ai découvert avec plaisir il y a quelques années). Développé par MercurySteam (qui s’était chargé du Castlevania Mirror of Fates en 2013 sur 3DS), le jeu reprend tous les mouvements de Samus acquis lors de ses épisodes Game Boy Advance, Metroïd Fusion et Zero Mission. Cette fois, un laser s’active quand les ennemis sont à portée de tir. Une charge de dernière minute peut être activée quand un ennemi vous fonce dessus.
Nous retrouvons les ambiances et mécanismes connus. Les quarante metroïdes à pourchasser peuvent cette fois faire évoluer leur ADN en fonction des ennemis qui les entourent, ce qui est l’occasion de leur faire prendre de multiples formes et de varier les plaisirs. Comme je le disais, je suis content de retrouver Samus, mais je ne sais pas, quelque chose bloque encore. Est-ce le design moins chaleureux des graphimes 3D dont on reconnait la patte MercurySteam (que je n’aime pas particulièrement) ? Est-ce que parce qu’il s’est passé presque quinze ans depuis le dernier Metroïd 2D et que de l’eau a coulé sous les ponts ? J’attends d’en savoir plus d’ici la sortie le 15 septembre prochain.
Le temps étant compté, je n’ai pas eu le temps de me faire la main sur Pokkén Tournament DX, Fifa 2018, Sonic Forces ou les jeux 3DS, en l’occurrence Miitopia et Hey Pikmin ! (d’ailleurs tous les deux disponibles en démo sur l’eShop 3DS). J’ai pu au passage prendre la future 2DS XL en main : qu’est-ce qu’elle est légère !
On termine ce petit reportage en direct du salon Nintendo Paris 2017 avec les amiibo, toujours soigneusement présentés.
Merci à Nintendo pour cette invitation. Une chose est sûre, le planning va être bien chargé sur Nintendo Switch ! Quels sont les jeux que vous attendez le plus ?
Le salon du jeu-vidéo se déroule chaque année en juin à Los Angeles. C’est le moment pour les éditeurs de présenter leurs grosses cartouches, celles qui vont faire rêver les fans et leur donner envie de continuer à les suivre.
Relire les impressions de l’E3 2015 ou de l’E3 2016 !
Cette années les différentes conférences se répartissaient sur quatre jours. Dans ces conditions, difficile de tenir le marathon en retrouvant notamment les camarades de la Foire aux Navets à chaque édition. Nous avons néanmoins pu partager la conférence Electronic Arts puis celle de Microsoft.
Samedi 10 juin 2017
La conférence Electronic Arts a ouvert le bal à 21h00. Je n’attendais rien de particulier de l’éditeur, abonné aux jeux de sport et Star Wars. Et cela n’y a pas coupé avec la fastidieuse présentation de Star Wars : Battlefront II, où comment dénaturer totalement l’univers en mélangeant les époques et les personnages. Du Battlefield, du Need for Speed, du FIFA, du NBA et du Madden, il y en a pour tous les goûts.
Le seul jeu qui a attiré mon attention est A Way Out, par les créateurs du remarqué Brothers : A Tale of Two Sons. En coopération et en écran splitté, deux prisonniers se font la malle. C’est bien fait et intriguant, à suivre donc, sur PC, PS4 ou Xbox One. La conférence se termine sur un énigmatique trailer de Athem, le prochain jeu de Bioware (Mass Effect) qui se dévoilera alors plus en avant lors de la conférence Microsoft.
Dimanche 11 juin
La conférence Microsoft débute à 23h00. Elle est très attendue, notamment car elle doit dévoiler le projet "Scorpio" évoqué l’année précédente. La XBox One X est présentée comme la console la plus puissante du marché, face à la PlayStation Pro dont elle devient la rivale immédiate. Sa particularité principale est de faire fonctionner les jeux en 4K, une technologie qui n’est pas encore massivement implantée. Un prix : 499 euros.
Peu d’exclues : Forza Motorsport 7, Sea of Thieves (troisième E3 et toujours pas de date pour le jeu multi de Rare), ou encore Ori and the Will of the Wisps. Parmi les jeux présentés et multi-plateformes, Metro Exodus, Assassin’s Creed Origin, The Last Night, Crackdown 3, State of Decay 2, Life is Strange 2 et enfin Anthem.
Dans ce dernier, visuellement largement au-dessus de ce qui se fait actuellement, votre personnage peut s’envoler, comme dans Xenoblade Chronicles X, traverser les environnements, notamment plonger dans l’eau et en ressortir aussi sec. L’effet est saisissant.
Lundi 12 juin
La conférence Bethesda a lieu à 6h00 du matin. Je préfère dormir. Deux suites sont annoncées avec The Evil Within 2 et Wolfenstein II : The New Colossus. Un nouvel épisode de la saga Dishonored est dévoilé avec Death of the Outsider. Doom VFR et de Fallout VR, compatibles avec le casque de réalité virtuelle de HTC Vive dans un premier temps, ont été montrés plus en avant cette année.
La version Switch de Skyrim a eu droit à sa présentation dans les règles, avec l’explication des mouvements de motion gaming et des ajouts "nintendoesques" comme la possibilité de revêtir la tunique bleue de Breath of the Wild, l’épée de légende et le bouclier hylien.
J’ai regardé après coup la conférence de 7H00 des studios Devolver (ceux derrière les séries Serious Sam ou encore Hotline Miami). Un show complètement déluré, bien sanguinolent, caustique et potache... bon après ne me demandez pas quels jeux il y avait !
Le PC Gaming Show débute à 19h00. J’avoue ne pas l’avoir regardée et ne pas me sentir concerné par la liste des jeux présentés (La Terre du Milieu : L’Ombre de la Guerre, XCOM 2 - War of the Chosen, Griftlands, Mount & Blade II : Bannerlord, Ooblets, BattleTech, Total War : Warhammer II, War Groove, etc).
Seul centre d’intérêt pour moi : l’annonce pour les 20 ans de la remasterisation de Age of Empire premier du nom avec Age of Empires : Definitive Edition. En 4K, s’il-vous-plait. Sous Windows 10, donc pas pour moi pour l’instant malheureusement.
La conférence Ubisoft de 22h00 était fortement attendue et je me suis posé devant mon écran pour la regarder, préférant un peu de repos pour assurer la suite, quitte à ne pas voir la tête de mes chers camarades de la foire aux navets, forcément hypés.
Mario + Rabbids Kingdom Battle fait l’ouverture avec une présentation enfin officielle (le jeu avait "leaké" quelques jours plus tôt, et les rumeurs couraient depuis plusieurs mois). Shigeru Miyamoto débarque sur scène et rejoint Yves Guillemot, PDG d’Ubisoft. Couleurs, joie de vivre, c’est pour moi -enfin !- la première image forte de l’E3 ! Le jeu d’exploration/stratégie semble particulièrement amusant : rendez-vous le 29 août !
S’en suit du bon avec Skull & Bones, The Crew 2, Starlink Battle for Atlas, Transference VR, Assassin’s Creed Origins, Far Cry 5, South Park L’Annale du Destin, Just Dance 2018, mais le meilleur était gardé pour la fin avec...
... un trailer en images de synthèse pour annoncer Beyond Good and Evil 2 ! On y voit un singe truander un cochon et s’enfuir pour rejoindre les forces de la résistance. Quand le logo-titre apparait, j’en ai des crampes aux ventre ! Michel Ancel (Rayman) était visiblement ému lors de son arrivée sur scène. Le jeu est montré à l’E3 avec une démo technique à volets fermés. Les plateformes ne sont pas arrêtés mais il y aurait PC, PS4 et XBO. Il travaille sur le jeu depuis trois ans. Pas de date de sortie, il faudra encore attendre !
Mardi 13 juin
Déjà bien fatigué et travaillant le lendemain, je ne me suis pas levé pour la conférence Sony qui avait lieu à 03h du matin. D’après mes compères navets, je n’ai pas raté grand chose. Sony est revenu sur les titres présentés l’année dernière comme Uncharted : The Lost Legacy, Days Gone, God of War, Detroit : Become Human, ou Destiny 2. Le PlayStation VR a fait le minimum avec Skyrim VR, Monster of the Deep : Final Fantasy XV, Starchild, The Inpatient, Bravo Team et Moss.
Les deux surprises : le retour de la saga Monster Hunter sur console Sony avec Monster Hunter World, la vraie évolution après beaucoup de routine sur consoles Nintendo. Mais aussi le remake intégral de Shadow of the Colossus sur PS4. Pourquoi pas.
Nintendo
Je réussi à voir le Nintendo Spotlight de 18h00. Une édition très courte de 25 minutes qui a enchaîné les trailers de jeux prévus pour 2017, voire 2018.
Au titre des jeux déjà annoncés, nous avons pu revoir Xenoblade Chronicles 2, Fire Emblem Warriors, Mario + Rabbids : Kingdom Battle et bien sûr Super Mario Odyssey dont le trailer chanté et enchanté a conclu la conférence. Le jeu sort le 17 octobre 2017 !
Les nouvelles annonces : Yoshi et Kirby se sont montré via des trailers et sont prévus pour 2018. Autant Kirby réussi toujours à m’enthousiasmer malgré le relatif classicisme de la série, autant le nouveau Yoshi me renvoie à Woolly World qui avait fini par m’ennuyer profondément. Rocket League se fait une petit place au milieu de toutes ces annonces.
Le créateur de Pokémon en remet une couche sur Pokken Tournament DX qui sort en septembre sur Switch. Puis annonce qu’un Pokémon RPG est en développement sur Switch. Il nous donne rendez-vous l’année prochaine pour en voir plus. J’ai bien sûr hâte de voir de quoi il s’agit !
Autre annonce marquante : la mise en chantier de Metroïd Prime 4 sur Switch ! Pas encore d’images à montrer mais l’existence d’un tel projet ravit un très grand nombre de joueurs. Merci à Nintendo d’enfin annoncer leurs titres à venir au delà de l’année en cours, ce n’est pas plus mal de savoir à quelle sauce on va être mangé !
Les DLC Zelda ont été présenté un peu plus. Le premier sort le 30 juin. Il active notamment le traceur sur la carte pour voir son parcours des 200 dernières heures. J’ai 210h au compteur, ce qui m’avait amené à interrompre ma partie car je souhaite voir à quoi ressemblait mes débuts sur le jeu. Le DLC 2 qui ajoutera une histoire est pour l’instant le prétexte pour sortir des amiibo des quatre prodiges.
Le Direct est suivi du Nintendo Live TreeHouse au cours duquel de longues sessions de gameplay sont présentées. Généralement je ne les regarde pas.
C’est au cours de ces séquences que sont annoncés de nouveaux amiibo pour Super Mario Odyssey, Fire Emblem Warriors, mais aussi pour le nouveau Metroïd 2D annoncé sur Nintendo 3DS : Metroïd Samus Returns ! Ce remake de l’épisode Game Boy de 1991 sort le 15 septembre 2017 !
D’ici peu j’aurai l’occasion de tester tous les jeux Nintendo. restez à l’écoute pour mes futures impressions !
Deux mois après sa sortie, le moral est au beau fixe pour la Nintendo Switch. Les ventes sont bonnes. Les sorties sont régulières avec un joli mélange de sorties fortes en magasin et de titres dématérialisés de qualité. Le programme annoncé est alléchant. Et les surprises sont à venir dès l’E3 prochain dans un mois. Un lancement réussi, donc.
Tout a commencé avec la bête elle-même, entre réservations et chasse aux accessoires. La Switch est à la maison, et quitte rapidement la télévision pour s’inviter chez les amis, les transports ou les vacances. Le menu de la console est sobre, très sobre, mais rapide. Je découvre la possibilité de prendre des captures d’écran et mitraille mes jeux. On ajoute ses amis via le Nintendo Network, en local ou par codes amis, pour pouvoir voir leurs listes de jeu et les temps qu’ils font sur chacun. Pas de console virtuelle au lancement (en dehors de quelques jeux Neo Geo sur l’eShop), pas de Netflix : on se concentre sur le jeu et Zelda.
Le premier mois est majoritairement consacré à Zelda Breath of the Wild, qui explose les compteurs. Quinze jours intenses aux cours desquels j’explore au maximum Hyrule. Il est effectivement possible de terminer le jeu très rapidement sans même à faire les donjons principaux. Mais je me retiens, fais les quêtes et termine les donjons avant de retourner affronter le boss final. Et ce n’est qu’un début...
L’excellent Snipperclips s’invite aussi rapidement pour quelques parties en duo ou à quatre. Je n’ai à l’heure actuelle pas encore terminé les différents mondes... il faudrait peut-être s’y remettre !
Fin mars Nintendo propose aux joueurs une session d’essai en ligne de Splatoon 2, à sortir cet été sur Switch. On ne se fait pas prier ! On retrouve sans surprise Splatoon. Les nouveautés seront annoncées par la suite. J’imagine que cette session a servi à Nintendo à régler les paramètres online.
En avril je continue Zelda, en cherchant tous les sanctuaires et en améliorant mes habits. Après une première vidéo de cuisine réalisée avec Mlle S en mars, nous en réalisons une deuxième pour approfondir le sujet !
La démo de Puyo Puyo Tetris suffit à elle seule à nous tenir en haleine plusieurs soirées entre amis ! Mais voilà venu le moment de jouer à un jeu que j’attendais de pied ferme : Wonderboy III the Dragon’s Trap ! Remake d’un de mes jeux préférés sur SEGA Master System, Wonderboy III the Dragon’s Trap reprend l’original au pixel près, mais transforme le visuel et le sonore de la plus belle manière qui soit. Je dévore le jeu dans la foulée.
Voici ensuite venir MarioKart 8 Deluxe, fin avril. C’est reparti pour des courses solo ou en ligne. Pouvoir emmener le jeu partout avec la Switch est vraiment appréciable.
C’est la même chose pour Minecraft Switch Edition, qui sort en ce début mai.
A venir : Thumper, Ultra Street Fighter II, Rime, Sonic Mania et sans doute Arms et Splatoon 2 ! Bref un bien beau lancement qui ne demande qu’à s’étoffer avec des annonces dès ce soir lors d’un Nintendo Direct (consacré à priori une nouvelle fois à Arms) et dans un mois avec l’E3 !
Mes tests disponibles :
Mario Kart 8 Deluxe (Preview)
Wonder Boy the Dragon’s Trap (Test)
Mes vidéos disponibles :
Bienvenue à la Switch & Snipperclips
Les recettes de The Legend of Zelda : Breath of the wild
Le Splatoon 2 Global Testfire
Trois vidéos découverte de Mario Kart 8 Deluxe + du Battle à 4
Présentation vidéo de Wonder Boy the Dragon’s Trap
Découverte de Minecraft Switch Edition !
Site de l’article : le bel été de la Switch
Début janvier, Nintendo a présenté la Switch en long, en large et en travers. Il ne restait plus qu’un mois et demi à attendre. Et puis la délivrance !
La Switch est donc sortie le 3 mars dernier. Dès le week-end de lancement la console et Zelda sont introuvables, de même que certains accessoires ou autres jeux (Bomberman en tête). Des stocks modérés qui sont vite partis, ce qui laisse nombre de joueurs sur le carreau alors que les affichages publicitaires continuent d’envahir l’espace public.
J’ai pu récupérer ma Switch et l’édition collector de Zelda réservée. Et une semaine avant je m’étais jeté sur les accessoires, qui sont devenus introuvables depuis. En attendant les restocks !
Et donc depuis je suis sur Zelda, le magnifique Zelda ! J’y reviendrai prochainement dans ces colonnes !
Article suivant : Et deux mois après ça donne quoi ? (17 mai)
La Fondation EDF est depuis 30 ans un lieu d’échanges culturels situé au coeur de Paris dans le 7ème arrondissement. Pour son trentième anniversaire, la Fondation a choisi d’accueillir un média un peu plus vieux que lui : les jeux-vidéo. "Game, le jeu vidéo à travers le temps" revient sur l’histoire du média des années 50 à aujourd’hui, sous toutes ses formes. L’exposition sur trois étages est conçue par Jean Zeid, journaliste à France Info passionné de jeux-vidéo.
L’entrée au rez-de-chaussé est le présent avec un Uncharted 4 bien mis en avant, l’évolution des jeux au travers de quatre épisodes de FIFA, l’évolution des techniques avec un personnage polygonal de Ubisoft qui s’affine avec le temps, la mise en avant des créateurs incontournables, et même de Youtubeurs. Derrière, une borne d’arcade Out Run, une machine de danse, une Gameboy géante, un mur consacré à l’e-sport, une salle exposant en quelques cadres des "beaux jeux", et enfin une chambre des années 80 reconstituée avec toutes les machines de jeu des années 70.
Le premier étage est réservé au rétro et à l’histoire du média. On y trouve la fameuse "Brown Box", première console de jeu créée par Ralph Baer. Mais aussi les antiques Pong et autres pionniers du genre comme Space War. Plus loin des bornes proposant les consoles et quelques jeux emblématiques comme Pac-Man, Donkey Kong, Astéroïd, Alex Kidd, Sonic, Rayman, Lara Croft... mais pas de Super Mario ! Les accessoires ont leurs murs avec les manettes, périphériques et autres figurines connectées.
Le sous-sol enfin propose de s’essayer à la réalité virtuelle avec Eagle Fight. Une salle propose de s’essayer à quelques "serious games" sur tablettes et une dernière de se replonger dans des reportages télévisés des années 80 qui n’étaient alors pas tendres avec le média.
Avec cette exposition on (re)trouve avec plaisir de nombreux éléments à même de crédibiliser le média, d’en apprendre plus sur le sujet, et bien sûr jouer à quelques jeux phares. On regrette l’absence totale de Mario. L’exposition ouvre le 1er mars et est entièrement gratuite. A voir donc !
Voir aussi mon article sur l’expo de la Villette Jeu vidéo (2013)
L’aventure Pokémon Go continue pour moi !
Après avoir gelé mes petits doigts à force de combattre dans le froid une arène à deux rues de chez moi, croisé des joueurs plus ou moins coopératifs, j’ai suffisamment capturé de Pokémon pour rejoindre le niveau de mes amis qui s’y étaient mis depuis l’été dernier.
L’événement Saint Valentin, avec les points d’expérience et les bonbons doublés y a fait pour beaucoup.
Puis la grosse mise à jour est arrivée avec l’insertion de 80 nouveaux Pokémon, issus de la deuxième génération. J’étais comme un fou lorsque je m’en suis rendu compte à minuit, allant même pour la première fois chasser de nuit dans mon quartier jusqu’à récupérer tout ce qu’il était possible d’avoir.
J’ai alors enchaîné les nouvelles captures, que je partageais fièrement sur Twitter, avec quelques strophes de chansons entraînantes. Le Pokédex a donc bien avancé en quelques jours. Je commence à stagner, vu qu’il est plus difficile de trouver de nouvelles bestioles. Mon Pokédex est à 152 Pokémon capturés pour 179 vus.
J’ai aussi pour la première fois aussi à tenir deux arènes en même temps et récupérer 20 pièces pour ça. prochaine étape : augmenter un Pokémon jusqu’à ce qu’il tienne tête aux caïds du quartier ! Ce ne sera pas évident vu le regard que j’ai sur les autres joueurs, sans compter que je fais partie de l’équipe jaune, sous représentée face aux bleus !
Le 14 février 2017, Nintendo annonce via une vidéo youtube le futur lancement de DLC pour leur jeu The Legend of Zelda : Breath of the Wild.
Ceux qui me connaissent (ou écoutaient le PN Cast) savent que je n’approuve pas le principe de DLC, porte ouverte à tous les abus. Nintendo, longtemps frileux aux DLC, a finalement sauté le pas sur 3DS et Wii U, voir mon article sur le sujet.
Retour sur les DLC
Les premiers contenus téléchargeables sont arrivés au cours des années 2000 lorsqu’il a été enfin possible pour les développeurs de proposer des contenus en ligne que les joueurs pouvaient récupérer et payer en ligne. Les DLC étaient alors présentés comme du travail supplémentaire pour les équipes après la sortie du jeu, suite à son succès et afin d’entretenir celui-ci.
Se posaient alors déjà les problèmes suivants. Certains d’ordre pratique : les contenus dématérialisés sont dissociés du jeu sur disque, ce qui peut poser un soucis sur la pérennité du contenu à long terme. D’autres d’ordre esthétique : les menus du jeu sont défigurés par des ajouts non prévus à l’origine, quand ceux-ci ne sont carrément pas des bandeaux publicitaires ventant les contenus eux-même. Mais surtout d’ordre éthique : seuls ceux qui payent auront accès au contenu (plus ou moins) intéressant, ce qui crée une fracture entre les types de joueurs, dont la notion de partage et de souvenirs sur un jeu s’avère capitale.
J’en vois certains sourire à l’évocation de ces quelques points et balayer ces soit-disant problèmes d’un revers de main. Visiblement ces personnes ne voient aucun problème à ce que leurs jeux soient découpés en morceaux, échoués sur de fragiles disque durs, considérés non plus comme des oeuvres d’art (ce que je pense de certains jeux exceptionnels) mais comme des produits dont on peut tirer sur le contenu quitte à en oublier d’être classe. Peu importe le flacon du temps que l’on ait l’ivresse ?
Les dérives sont vite arrivées. Les DLC, nouveau modèle économique, ont finalement été intégrés au planning de développement du jeu. Cela implique des choix en amont de ce que l’on va mettre dans le jeu lors de sa sortie et de ce que l’on va garder de côté pour le proposer dans les jours/semaines/mois suivant la sortie. J’ai beau retourner le problème dans tous les sens, je ne vois là qu’une façon de dénaturer l’expérience de jeu, et non de l’enrichir.
Au début, les DLC étaient des ajouts dispensables car les développeurs ne voulaient pas donner l’impression d’amputer leur jeu. Puis les contenus se sont diversifiés et certains ont gagné en qualité, souvent parce qu’on avait pris le temps de réfléchir à même la conception ce qui allait être réservé au jeu principal ou à l’expérience supplémentaire.
Les tarifs se sont donc vu réellement augmenter. Les dates de sortie se rapprocher. L’inauguration de "Season Pass" échelonnant les contenus d’utilité diverses et variés invitant les joueurs à payer avant même la sortie de ces contenus dont certains ne sont parfois même pas détaillés. La boite de Pandore ayant été ouverte, les marketeux rivalisent d’idées pour trouver la pire mauvaise idée pour appâter et faire vendre du contenu en dépit du bon sens. Les exemples sont légions mais celui qui est le plus cynique selon moi : les contenus sont bel et bien disponibles dans le jeu à sa sortie ; payer revient à le déverrouiller pour y avoir accès. C’est comme payer une amende pour un titre que tu as payé plein pot. L’industrie du jeu vidéo prend une tournure nauséabonde.
Nintendo et les DLC
Chez Nintendo heureusement on ne touche pas aux DLC. On se concentre pour livrer les meilleurs jeux qui soient. Et pourtant, quand on regarde à côté on voit bien que les DLC rapportent, que les services de jeu en ligne rapportent. Alors finalement on décide de rejoindre le mouvement, progressivement.
La 3DS et la Wii U sont conçues comme des plateformes permettant de télécharger des jeux en ligne, Virtual Console ou copies de jeux vendus dans le commerce. Pendant quelques années, Nintendo va y tenter différentes expériences liées aux contenus téléchargeables.
En 2012 Nintendo lance ses premiers DLC sur 3DS dans New Super Mario Bros 2 : des courses aux pièces chères et inutiles dans un jeu déjà très mauvais. En 2013 des quêtes supplémentaires sont proposées en DLC dans Fire Emblem Awakening. On s’en passe facilement. New Super Luigi U est une jeu complet téléchargeable pour 20 euros sur Wii U. Pikmin 3 sort une dizaine de missions en DLC. En 2014 le premier Season Pass est lancé avec Mario Golf : World Tour avec différents packs comprenant des personnages supplémentaires. Il faut au moins un DLC gratuit aux couleurs de Zelda pour que Sonic Lost World soit sauvé du naufrage commercial. Wi Sports Club essai de vendre les sports au cas par cas.
Mais c’est assurément le DLC de Mario Kart 8 qui va faire trembler les joueurs. Le jeu sort en mai. Les DLC sont annoncés fin août pour un planning parfaitement étudié. Un Season Pass propose d’acheter dès lors une deuxième série de courses qui ne seront livrées qu’en mai 2015. Je refuse d’acheter ces DLC. Une offre du Club Nintendo permet d’avoir le premier lot de courses contre des points fidélité : je les prends. Quelques mois plus tard j’achète la deuxième salve de courses : il y a Animal Crossing dedans.
Nintendo EST devenu DLC. Des mises à jour constantes des jeux sont faites sur la Wii U par Internet. Les jeux Virtual Console ou eShop sont considérés comme les sorties principales chez Nintendo qui sort à peine quelques jeux en boite dans le commerce. On peut désormais acheter ses jeux directement sur le site Nintendo avec sa carte bleue. Comme précisé par écrit après chaque achat sur l’eShop, nous "consentons" à ne pas pouvoir nous rétracter sur les achats en ligne. Le Club Nintendo change de tête et récompense les achats en ligne. Nous avons alors changé d’ère.
Hyrule Warriors et Super Smash Bros ont vu le nombre de contenus exploser. Certains sont futiles comme des costumes en tous genre. Certains encore sont hors de prix ("Bonjour, tu veux Ryu ? Hé bien casque !"). Aucune version boite comprenant tous les contenus n’est sortie après coup, comme cela se faisait encore il y a quelques années chez la concurrence. Mario Kart 8 Deluxe sortira sur Switch avec tout le contenu de la version Wii U, mais tablons que cette version proposera ses propres nouveaux circuits DLC. Peut-on s’attendre à un Smash Bros Deluxe sur Switch ?
Un Season Pass pour Breath of the Wild
Et aujourd’hui, un Season Pass pour The Legend of Zelda : Breath of the Wild. Le jour de la sortie du jeu vous pourrez payer 20 euros de plus pour débloquer du contenu pour le jeu. Alors oui, bien sûr, rien ne vous oblige à le faire. D’autant que les contenus sont très vaguement détaillés voire passablement inutiles pour le premier pack (sachant que l’on ne peut pas ne prendre que le deuxième pack).
Mais "une nouvelle histoire", "un nouveau donjon"... quel fan peut décemment refuser de prolonger une aventure Zelda ? Refuser un contenu qui a été créé au sein même du développement ?
Le problème aujourd’hui vient de la démarche en elle-même. Ce contenu a été relégué en DLC pour le tiers du prix du jeu complet. Ce contenu est annoncé avant même la sortie du jeu, et comme pour tous les Season Pass de la concurrence sur le même modèle, je n’approuve pas la démarche. Tant qu’à faire, Nintendo pouvait proposer l’intégralité du titre. Mais non, il a fallut le découper pour maintenir l’attention jusqu’en décembre, et il nous faut payer en plus pour cela. Quel message est-ce que cela envoie ? Que vous n’avez pas confiance en vos propres talents ? Que votre jeu est mauvais et que l’on va grappiller ce que l’on peut avant que les gens se rendent compte qu’ils ont été berné ?
The Legend of Zelda est une des plus belles séries de Nintendo, la plus à même de nous faire rêver. Et Nintendo vient de trouver le moyen de nous gâcher la fête, à quelques jours de sa sortie, en nous mettant devait le fait accompli et en créant la discorde chez les fans.
Non, le Season Pass de Breath of the Wild n’est pas une bonne chose. Car c’est la porte ouverte à plein de petits coffres qui popent sur la map, d’histoires alternatives à 5 euros, de mode de jeu à 2 euros 50 et de costumes folkloriques en tous genre.
Annoncé depuis plusieurs mois, le jeu pour mobile Fire Emblem est finalement sorti plus vite que prévu, et ce dès le 2 février dernier.
Tactical RPG simplifié mais malgré tout prenant et riche en contenu, Fire Emblem Heroes se veut une bonne introduction à la série qui s’est donné une nouvelle jeunesse sur 3DS avec Awakening et Fates.
L’histoire du mode scénario est prétexte à retrouver de nombreux héros de tous les jeux de la série dans des combats au tour par tour dans lesquels les unités se déplacent sur des cases. Un rapport de puissance "à la Pokémon" (feu-eau-plante) installe une hiérarchie entre les classes de combattants qui sont de types variés, de l’épéiste, au magicien à l’archer...
La progression nous fait gagner des personnages qui possèdent un système d’étoiles plus ou moins élevé et doré pour déterminer leur puissance. Le maximum est de cinq étoiles dorées pour les héros. Il est possible de faire gagner de l’expérience aux personnages et même de changer leur rang, en utilisant des cristaux, unité d’échange pour les évolutions.
En plus de progresser dans l’histoire et faire évoluer nos équipes, l’objectif est de collecter un maximum de héros. On les obtient en dépensant des orbes, qui sont l’objet le plus convoité du jeu. On les obtient en réalisant des missions et il en faut un certain nombre pour invoquer un nouveau héros de façon aléatoire... Heureusement les doublons peuvent être fusionnés !
Comme Pokémon Go, le jeu disponible sur iOS et Android est entièrement gratuit. Il contient toutefois des achats intégrés pour les orbes, les cristaux et autres objets. Nintendo souhaite familiariser les joueurs avec cet univers devenu immanquable sur consoles et c’est pour cette raison que, contrairement à Super Mario Run qui est payant, l’accès est gratuit.
Fire Emblem Heroes est très bien réalisé, les graphismes sont jolis, les artworks des héros aux designs variés et plus ou moins convainquant restant très beaux artistiquement, et l’ambiance sonore est fidèle à la série. On passe plusieurs heures à débloquer tout le contenu. On y revient pour accomplir les missions ajoutées chaque jour et on en refait pour parfaire son équipe. Du beau boulot en somme !
Voici mon code ami (qui sert à gagner des plumes, item nécessaire pour changer de rang) pour ceux que cela intéresse !
Pour une fois, c’est Gaspard qui souhaitait me faire découvrir un jeu. Ce jeu, c’est Firewatch sur ordinateur (le truc avec un clavier et une souris) et retransmis sur un grand mur au moyen d’un rétroprojecteur. Quelques amis qui se relaient à tour de rôle, un canapé et une grosse couverture, et c’est parti pour une aventure hors du commun (et je parle bien de jeu-vidéo).
Firewatch raconte l’histoire d’un homme qui a décidé de devenir gardien de forêt pour l’été afin d’y voir un peu plus clair dans sa vie. En effet sa femme est atteinte d’alzheimer et visiblement il a besoin de recul plutôt que de rester auprès d’elle. Le voilà dans un cabanon isolé de tout, ayant pour seul contact une autre gardienne à quelques kilomètres de là, avec laquelle il communique par talkie-walkie.
On voudrait se balader et regarder le (très beau) paysage (à la première personne) mais les mésaventures arrivent très vite. Une succession d’événements posent différentes ambiances... plutôt contemplatives, mais pas forcément celles que l’on attendait. Les aller-retours dans une zone pas si grande que ça deviennent ainsi légion. Heureusement la curiosité l’emporte toujours et on découvre les sentiers condamnés au préalable avec satisfaction.
Le fait de l’avoir fait à plusieurs est une très bonne chose car dès qu’une situation se présentait, nous réagissions en nous posant toutes les questions possibles et imaginables. La réalité proposée par le jeu étant souvent plus terre-à-terre.
Il y a néanmoins le plaisir de découvrir les lieux. On sort souvent la carte pour savoir où on en est. Les conversations sont plausibles, que l’on choisisse de répondre ou non à notre interlocuteur. Un petit soucis d’ergonomie avec la souris et la molette pour choisir rapidement les différentes réponses possibles du walkie nous stresse. Il y aurait semble t-il plusieurs façon d’appréhender l’histoire, mais cela ne se tiendrait qu’à des détails ou des séquences absentes selon les choix.
Nous avons terminé le jeu en environ quatre heures. Une fois les mystères principaux révélés, certains en restent là, d’autres veulent voire ce que les choix de l’introduction peuvent changer. Mais il semble que ce soit surtout la psyché de notre héros dont il est question, et en ce qui le concerne, rien n’est vraiment fait pour que l’on s’attache à lui. Certains le trouvent même carrément antipathique, sachant que les événements ne le changeront à priori pas vraiment.
Merci donc à Gaspard pour cette découverte, une expérience de marche et de psychologie peu ordinaire !
Me voilà enfin en capacité de jouer à Pokémon Go ! Après des mois à voir mes camarades partir en chasse (ou à les accompagner une fois ou l’autre), je suis en mesure de rejoindre le mouvement !
J’avoue avoir pris plusieurs jours pour comprendre les nuances du jeu, que ce soit le positionnement des Pokémon, la façon de les capturer, d’utiliser les objets, de gagner des pièces et surtout de combattre dans les arènes.
Le fait de devoir sortir et se déplacer pour aller chercher des Pokémon, PokéStop ou arènes et une nouvelle façon étonnante (et assez étrange il faut l’avouer) de jouer !
J’espère avoir d’autres anecdotes à vous faire partager à l’avenir. La première étant que j’habite sur un Pokéstop (pratique pour recharger les objets) ! J’aurais préféré habiter sur un arène... pour éviter de me les peler à rester de longues minutes immobilisé à tapoter sur mon écran dehors par ce froid !
Chasse avec Bibi et Krayo !
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