Dernier ajout : 21 juin.
Vous le savez, j’ai toujours aimé les tops, hit-parades... Mes jeux préférés Nintendo n’y échappent pas !
Le dernier top 50, à la fin 2012, intégrait mes jeux préférés sur Wii. Six ans après, la Wii U et la 3DS sont passées par là. Quels jeux sont restés ? Quels nouveau titres rentrent dans le club très fermé de l’élite ? (ils sont en gras) (et entre parenthèses le classement précédent) (et en lien sur l’image l’article ou la vidéo du jeu).
C’est parti pour le LE TOP 50 NINTENDO 2018 (NES-SWITCH) de RYoGA !
01 - The Legend of Zelda : Ocarina of Time (=)
02 - The Legend of Zelda : A link to the past (=)
03 - The Legend of Zelda : Link’s Awakening (=)
06 - Super Mario Land 2 : The 6 Golden Coins (14)
08 - Pokémon Bleu/Vert Feuille et Rouge (06)
09 - Tetris (07)
10 - Animal Crossing New Leaf (E)
New Leaf vient remplacer Wild World. Le jeu 3DS n’a pas quitté la console pendant presque cinq ans... jusqu’à ce qu’un certain Pocket Camp viennent troubler la fête !
11 - Splatoon/2 (E)
Que ce soit Splatoon sur Wii U ou Splatoon 2 sur Switch, Nintendo a eu le tour de force de créer une nouvelle IP devenue incontournable. Le Mario Kart des années 2010 !
Malgré l’entrée de Mario Kart 8 dans le top, l’épisode fondateur reste devant ! Super Mario Kart est ressorti sur Console Virtuelle Wii U et bien sûr SNES Mini. Même si le mode 7 commence à piquer sérieusement, le plaisir est intact.
16 - Super Mario World 2 : Yoshi’s Island (=)
17 - Donkey Kong Country 2 (45)
19 - The Legend of Zelda : Majora’s Mask (21)
Après Ocarina of Time en 2011, Majora’s Mask a fait l’objet d’un excellent remake sur 3DS en 2015 !
20 - The Legend of Zelda : Breath of the Wild (E)
Et le voilà dans le top, le fameux Breath of the Wild ! Jeu extraordinaire, je ne peux, au regard de la série, que le placer après mes épisodes préférés (ALTTP, GB, OOT et MM) dans lequels l’alchimie overworld/donjons plus condensée a à mon sens plus d’impact.
21 - Beyond Good And Evil (29)
22 - Super Castlevania IV (25)
27 - Mega Man X (26)
28 - Super Tiny Toons : Buster Bust Lose (33)
30 - The Legend of Zelda : Twilight Princess (34)
31 - The Legend of Zelda : the Wind Waker (35)
Les deux Zelda ci-dessus sont ressortis en versions HD sur Wii U. Et si je les ai recommencés, je ne les ai à vrai dire jamais refinis.
32 - Donkey Kong Country : Tropical Freeze (E)
Gros coup de coeur sur Wii U (et aujourd’hui sur Switch), j’ai beaucoup apprécié cet épisode.
Que ce soit sur Wii U ou aujourd’hui en version Deluxe sur Switch, ce Mario Kart est de loin le meilleur épisode de la série (même si pour moi Super Mario Kart reste mon chouchou) !
36 - Super Mario Galaxy (10)
Il était 10e au précédent top, mais je n’y ai pas rejoué depuis sa sortie en 2007...
37 - Resident Evil Rebirth (43)
38 - Super Mario Land 3 : Wario Land (44)
40 - Monster Hunter 3 Ultimate (E)
Malgré la sortie d’une espèce de reboot sur Wii en 2010 (très bon au demeurant), Goldeneye est toujours aussi mythique pour ses parties à 4 (même si c’est un peu chaud à reprendre en mains !
44 - Xenoblade Chronicles X (E)
Très différent du premier sur Wii (qui malgré son statut de légende cède sa place, faute de m’être réinvesti dans l’aventure), Xenoblade Chronicles X m’a enchanté sur Wii U en 2015. Je suis en train de finir Xenoblade Chronicles 2 sur Switch, mais, même si le bilan est plutôt positif, celui-là ne rentre pas dans le top 50 !
Odyssey fait une "petite" entrée dans ce top !
Rendons hommage à cet ovni de la Wii U, qui me procure encore aujourd’hui quelques soirées multi forts sympathiques !
47 - Resident Evil Revelations (E)
Ben oui, surprise ! Il faut dire qu’à force de le faire (sur 3DS, sur Wii U, sur Switch !), je me suis mis à l’aimer ce RE série Z !
48 - Wonder Boy the Dragon’s Trap (E)
Prenez un jeu SEGA Master System que j’aime, gardez-le au pixel près mais refaites avec un goût magnifique tous les graphismes et la musique : je dis OUI !
L’un de mes jeux préférés sur Wii U (dispo aujourd’hui sur Switch), je voulais en garder une petite trace dans ce top !
Et on conclut ce top par la petite merveille de gameplay qu’est le charmant Captain Toad (bientôt sur Switch également).
Sortent donc du Top 50 (mais restent aux portes de celui-ci : Généralement, parce que je n’y ai plus rejoué depuis, ou remplacé par un épisode suivant !
Super Mario Bros. (5), Super Smash Bros 64 (8), Chrono Trigger (12), Xenoblade Chronicles (22), Skies of Arcadia (23), Demon’s Crest (27), The Last Story (28), Animal Crossing Wild World (31), Muramasa (36), Pikmin (36), Pandora’s Tower (38), Metroïd Other M (39), Metroïd 2 sur GameBoy (40), Monster Hunter 3 (41), Mario Kart 64 (47)
Ils rejoignent donc les anciens exclus : Eternal Darkness (21), Mega Man 2 (31), Super Mario All-Stars (32), Magical Quest starring Mickey Mouse (34), Conker’s Bad Fur Day (35), Phantasy Star Online Episode I & II (36), Metroid Fusion (38), Lylat Wars (39), Pokémon Rubis & Saphir (41), Mario Tennis (42), Super Princess Peach (45), Secret of Evermore (46), Super Star Wars (48).
C’était l’activité du dimanche depuis le début d’année. Je chassais les korogus de Zelda Breath of the Wild !
Je m’aidais de la carte officielle et du masque korogu (oui parce que sinon c’est franchement impossible), tout en privilégiant l’exploration tout de même.
Ce fut donc un beau voyage dans la contrée d’Hyrule...
Petite panique quand on se rend compte qu’il en manque deux et que pourtant toute la carte a été scrutée ! Il s’avère qu’il y a une erreur dans la première édition, et qu’un autre est masqué par une pliure de la carte !
Breath of the Wild fini à 100%... mais je trouverai bien le moyen de continuer à y jouer. Ce serait trop dur d’abandonner un aussi bon jeu ! (330 heures de jeu au compteur !)
Au cours d’une année 2017 flamboyante, Nintendo a su proposer sur Switch des titres majeurs et fédérateurs comme Zelda : Breath of the Wild, Super Mario Odyssey, Splatoon 2 ou encore Xenoblade Chronicles 2. Le début 2018 fut beaucoup plus calme, et il est évident que Nintendo réserve toutes ses surprises pour l’E3 en juin. Mais voyons comment Nintendo a su "nourrir la machine" entre temps.
Un début d’année électrique
Dès le début d’année la tension est palpable. J’ai beau me lancer dans la quête des 900 korogus, la console réclame autre chose : il faut rêver de ce que nous réserve cette nouvelle année. Je me lance dans une enquête sur les jeux officiellement annoncés et ceux qui pourraient venir.
Le 10 janvier, en un tweet où l’on voit un Chibi-Robo en feu, Nintendo of America enflamme littéralement le net.
Un Nintendo Direct Mini est effectivement annoncé quelques heures plus tard. Il révèle principalement Dark Souls Remastered par From Software, un Mario Tennis Ace par Camelot et des reprises de jeux Wii U comme Donkey Kong Country : Tropical Freeze et Hyrule Warriors : Definitive Edition. Ys VIII : Lacrimosa of DANA sortira à l’été et The World Ends with You -Final Remix- fera son retour sur Switch en 2018.
Un début de planning s’esquisse avec du Payday 2 en février, du Kirby Star Allies en mars, et du DKC TF et Dark Souls en mai. Rien de bien folichon. Le Nintendo Direct Mini m’aura surtout donné envie de rebrancher la Wii U pour refaire Hyrule Warriors et Donkey Kong Tropical Freeze (que je finis dans la foulée).
L’expérience interdite
Les joueurs restent quelque peu sur leur faim. C’est pourquoi l’annonce d’un nouveau Direct le 17 janvier avec la présentation d’un "nouveau concept de jeu pour toute la famille" rallume la flamme autant qu’il inquiète.
Ce sera le Nintendo Labo !
Un atelier de construction d’accessoires en carton qui interagissent avec la Nintendo Switch de manière très originale. Le concept, particulièrement ingénieux, a de quoi surprendre. Il montre à quel point Nintendo est capable de puiser dans son histoire (tout cela rappelle forcément les créations de Gunpei Yokoi) et de sortir des sentiers battus pour aller chercher un public toujours plus large. Nintendo Labo sort le 27 avril et ne s’adresse pas forcément à tout le monde... on sera néanmoins curieux ici !
Discrétos
Le 1er février est annoncé discrètement le prochain jeu Nintendo mobile créé avec DeNA : MarioKart Tour, sans plus de détails.
Boucher les trous
Ceux qui attendent de véritables nouveautés se sentent un peu délaissés. Il faut dans un premier temps se contenter du retour de Bayonetta 2 en février, et d’un Kirby Star Allies en mars, tout nouveau, sympathique même, mais quand même réchauffé. En février sort également une mise à jour gratuite de Super Mario Odyssey avec les ballons. Un mode de jeu assez amusant qui relance l’intérêt pour quelques heures.
Kirby Star Allies (Preview + vidéo, Test) (Switch)
Bayonetta 2 (Preview + vidéo, Test) (Switch)
Je me suis également essayé à différents jeux eShop recommandés par la critique comme Old’s Man Journey ou Owlboy, mais ce fut deux déceptions. Le premier, voyage tactile hérité des mobiles, est aussi beau qu’ennuyant manette en main. Le deuxième a son test dans ces colonnes. Utilisant mes points or du Club Nintendo, j’ai également pris Les Aventures de Bertram Fiddle - Épisode 1 : Une Affaire Effrayantable, un point ’n click joli et amusant qui m’a occupé deux-trois heures.
Début mars, nous n’avons toujours qu’une visibilité à fin mai. Heureusement un nouveau Nintendo Direct vient élargir tout ça. Le 8 mars, Nintendo précise quelques dates (Hyrule Warriors : Definitive Edition le 18 mai, Mario Tennis Aces le 22 juin, Octopath Travelers le 13 juillet), rajoute un peu de Wii U remaster (Captain Toad le 13 juillet) et accueille chaleureusement quelques portages tiers (South Park L’Annale du Destin le 24 avril, Little Nightmares le 18 mai, Crash Bandicoot le 10 juillet, Okami HD cet été et Undertale en 2018). Deux remake, Mario & Luigi Voyage au centre de Bowser + L’épopée de Bowser Jr et Luigi’s Mansion, sortiront sur Nintendo 3DS.
Quelques nouveautés sont annoncées. Wario Ware Gold sur Nintendo 3DS pour le 27 juillet. Travis Strikes Again est présenté pour la première fois : ce ne sera pas No More Heroes 3 mais une aventure à part composée de plusieurs mini-jeux en coopération. Un DLC sortira cet été pour Splatoon 2 : Octo Expansion. Enfin, est teasé de bien belle manière l’arrivée de Smash Bros sur Switch, sans savoir pour autant s’il s’agit d’un pur portage de la version Wii U, une "definitive edition", ou d’un tout nouveau jeu. Tablons sur une version remaniée du jeu Wii U de 2014.
La séquence qui a fait tripper tout le monde !
Depuis, quelques annonces de jeux tiers par-ci par-là. Pour Nintendo et ses jeux planifiés pour mai, juin et juillet, la route semble tracée jusqu’à l’E3 qui nous révèlera sans aucun doute ses jeux prévus pour le second semestre (Smash Bros, Yoshi, Fire Emblem)... voir au delà si Metroid Prime 4 et Pokémon RPG ratent le coche de 2018 pour une sortie en 2019. On peut s’attendre également à quelques news sur Bayonetta 3 et continuer de rêver à voir débarquer un Pikmin 4 ou un Animal Crossing Switch !
D’autres portages Wii U à venir sur Switch ? Nintendo aurait tort de s’en priver ! Mais le catalogue est déjà bien essoré : il ne reste plus que les Zelda HD, Xenoblade Chronicles X, Mario Maker, Pikmin 3, Wonderful 101 et puis et puis ça suffit bien comme ça !
A suivre : L’été en pente douce sur Switch
Après une bien belle année 2017, la Switch se doit de continuer sur sa lancée !
Voici les jeux actuellement en développement de manière officielle.
Chez Nintendo :
– Kirby Star Allies (Nintendo/HAL Laboratory)
– Yoshi (Nintendo/Good Feel)
– Metroid Prime 4 (une équipe de Nintendo dirigée par Kensuke Tanabe)
– Pokémon (Nintendo/Game Freak)
– Fire Emblem (Nintendo/Intelligent System)
Chez les éditeurs tiers :
– Bayonetta 3 (Platinum Games)
– No More Heroes 3 (Grasshopper Manufacture)
– Dragon Quest Builders (Square Enix)
– Project Octopath Traveler (Silicon Studio)
– BlazBlue : Cross Tag Battle (Arc System Works)
– World End Syndrome (Arc System Works)
– Shin Megami Tensei V (ATLUS )
– One Piece : Pirate Warriors 3 (Bandai Namco)
– Wolfenstein 2 the new Colossus (Bethesda)
– Street Fighter 30th Anniversary Collection (Capcom)
– Megaman 11 (Capcom)
– Mega Man X Collection (Capcom)
– Gal Gun 2 (Inti Creates)
– Bloodstained : Ritual of the Night (Inti Creates)
– L’Attaque des Titans 2 (Koei-Tecmo)
– Valkyria Chronicles 4 (SEGA)
– DRAGON QUEST HEROES I – II (Square Enix)
– DRAGON QUEST XI (Square Enix)
– Payday 2 (Starbreeze Studios)
– Starlink : Battle for Atlas (Ubisoft)
Ensuite, voici les studios qui n’ont pas encore annoncé quoi que ce soit depuis leur dernier jeu :
Chez Nintendo, Nintendo Entertainment Planning & Development regroupe depuis 2015 les équipes de développement. On peut reprendre les noms des équipes et se demander sur quoi elles travaillent :
– EAD Software Group No. 1 (Directeur et producteur : Hideki Konno)
Principaux jeux développés : Série Mario Kart, série Nintendogs, Luigi’s Mansion
Depuis Mario Kart 8 et Mario Kart 8 Deluxe, peut-on s’attendre à un Luigi’s Mansion 3 annoncé en 2018 ?
– EAD Software Group No. 2 (Directeur et producteur : Katsuya Eguchi)
Principaux jeux développés : Série Animal Crossing, série Wii Sports/Play
Katsuya Eguchi a fait Animal Crossing New Leaf et Happy Home Designer. Vivement l’annonce d’un Animal Crossing sur Switch !
– EAD Software Group No. 3 (Directeur et producteur : Eiji Aonuma)
Principaux jeux développés : Série The Legend of Zelda
Aonuma vient de finir BOTW et pense déjà au prochain Zelda.
– EAD Software Group No. 4 (Directeur et producteur : Hiroyuki Kimura)
Principaux jeux développés : Série New Super Mario Bros., série Cérébrale Académie, Pikmin 3
Depuis Pikmin 3 sur Wii U, on attend le 4 !
– EAD Software Group No. 5 (Directeur et producteur : Tadashi Sugiyama)
Principaux jeux développés : Série F-Zéro, Steel Diver, série Wii Fit, Star Fox 64 3D, Star Fox Guard, Star Fox Zero.
Le réalisateur de Super Mario Kart, Pilotwings et F-Zéro X nous a livré Star Fox Zero sur Wii U en 2016. Travaille t-il sur un nouveau Star Fox ou un nouveau F-Zéro ?
– Nintendo Software Planning & Development (Group Manager : Katsuya Yamano)
On doit à cette équipe la série des Wario Ware, Rhythm Tengoku/Paradise, Tomodachi Collection/Life, tous les jeux étranges de la DS et... Metroid : Other M !
Quels jeux de ces séries reverrons-nous sur Switch ?
Sur quoi travaillent également les équipes qui ont oeuvré sur ARMS, Splatoon 2, 1-2 Switch et Super Mario Odyssey ?
Chez les studios affiliés à Nintendo :
– Retro Studios : rien depuis Donkey Kong Country : Tropical Freeze (2014)
– Next Level Games : Quel sera le prochain jeu des créateurs de Metroid Prime : Federation Force (2016), Luigi’s Mansion 2 (2013), Punch-Out !! Wii (2009) ou les Mario Football (GC et Wii) ?
– Nd Cube : les Wii Party et les Mario Party (depuis le 9), c’est eux ! Bientôt un Party sur Switch ?
– Nintendo Software Technology : la filiale américaine a développé Wave Race et 1080° mais n’a plus rien fait depuis des jeux DS.
– 1-UP Studio (ancien Brownie Brown Inc.) : Ils ont aidé à Super Mario 3D Land, Super Mario 3D World, Captain Toad et Tri Force Heroes. Leur truc c’est les RPG : Fantasy Life (2012, 3DS), les jeux Mana/Magical de la DS/GBA et... Mother 3 !
– Genius Sonority : rien depuis Pokémon Shuffle (2015, 3DS). On leur doit également la trilogie The Dempa Men, mais surtout Pokémon Colosseum et XD sur Gamecube !
– Creatures Incorporated : rien depuis Great Detective Pikachu (2016, 3DS). On leur doit les Poképark et les Pokémon Ranger.
– Camelot Software Planning : rien depuis Mario Tennis Ultra Smash sur Wii U en 2015 et Golden Sun Obscure Aurore sur DS en 2010.
– Grezzo : rien depuis Majora’s Mask 3D (2015) et Ever Oasis (2017) sur 3DS. Ils disent travailler sur un jeu "de Légende". Un nouveau remake en vue sur 3DS ? (la rumeur parle de Link’s Awakening refait en 3D).
– Intelligent System/ Omega Force/Team Ninja : après Hyrule Warriors et Fire Emblem Warriors, un nouveau musou sur Switch ?
– Shin’en : rien depuis FAST RMX sur Switch. Leur prochain jeu, F-Zéro ?
– Monolyth Soft : ils viennent de finir Xenoblade Chronicles 2.
Chez les éditeur tiers :
Rappelez-vous ce visuel diffusé le 20 octobre lors de la première présentation de la Switch.
Depuis, la plupart de ces studios ont sorti leurs premiers titres (voir ci-dessus). Mais plusieurs d’entre eux n’ont encore rien montré. Les voici :
– Codemaster : intéressé uniquement pour porter des jeux PS4/XBO.
– From Software (Dark Souls)
– GungHo Online Entertainment (Puzzle & Dragons) : a un jeu prévu et en développement depuis 5 ans.
– Konami : ont certes sorti Super Bomberman R, mais réfléchissent à leur jeu suivant (Castlevania ?)
– Level 5 : ils peuvent clairement créer la surprise en 2018 sur la Switch !
– Marvellous : a sorti Fate/EXTELLA : The Umbral Star. On les entend s’intéresser à la Switch. Bientôt du Rune Factory ou Senran Kagura ?
– Spike Chunsoft (Danganronpa) : ont un jeu en développement sur Switch !
– Take-Two (Rockstar Games) : Après NBA 2K18, WWE 2K18 et LA Noire, à quoi va t-on avoir droit de beau sur Switch en 2018 ?
– Pour Noël, Silicon Studio nous aurait-il teasé Bravely Default 3 (ou un portage du premier) ?
Et c’est sans compter les studios de développement qui ont rejoint Nintendo depuis l’annonce de la Switch !
Espérons un Nintendo Direct prochainement pour éclaircir tout ça ! Bonne année 2018 !
Mise à jour du 11 janvier 2018 : le Nintendo Direct Mini a révélé quelques jeux comme un Dark Souls Remastered par From Software, un Mario Tennis Ace (par Camelot donc) et plusieurs remastered de jeux Wii U.
– 28 janvier : Dragon Quest Builders
– 16 février : Bayonetta 2 (et 1)
– 23 février : PAYDAY 2
– 16 mars : Kirby Star Allies
– 4 mai : Donkey Kong Country : Tropical Freeze
– 25 mai : Dark Souls Remastered
– Printemps : Mario Tennis Aces
– Printemps : Hyrule Warriors : Definitive Edition
– Eté : Ys VIII : Lacrimosa of DANA
– 2018 : The World Ends with You -Final Remix-
Mise à jour du 8 mars 2018 : le Nintendo Direct du 8 mars a révélé plusieurs portages de jeux Nintendo et jeux tiers. Travis Strikes Again présenté (ce n’est pas No More Heroes 3). Un Smash Bros Switch a été teasé. Le DLC de Splatoon 2 arrive cet été. Un nouveau Wario Ware Gold et un potage de Luigi’s Mansion sortiront sur 3DS !
– 24 avril : South Park L’Annale du Destin
– 18 mai : Hyrule Warriors : Definitive Edition
– 18 mai : Little Nightmares
– 22 juin : Mario Tennis Aces
– 10 juillet : Crash Bandicoot
– 13 juillet : Octopath Travelers
– 13 juillet : Captain Toad
– 27 juillet : Wario Ware Gold (3DS)
– 31 juillet : Okami HD
– 2018 : Luigi’s Mansion (3DS)
– 2018 : Super Smash Bros
– 2018 : Travis Strikes Again
– 2018 : Splatoon 2 - Octo Expansion (DLC)
– 2018 : Undertale
Continuer la chronologie avec Nintendo Switch : retour sur le début 2018
Début 2017, je retrouve la belle Shantae sur ma Wii U abandonnée pour les fêtes. Shantae Half-Genie Hero n’est pas aussi fun que le précédent, Pirate’s Curse. Le 20 janvier, date de sortie de Dragon Quest VIII : L’Odyssée du roi maudit sur 3DS, je donne une nouvelle chance au jeu (je l’avais abandonné rapidement sur PS2), mais malgré plusieurs dizaines heures de jeu tout au long de l’année, je ne l’ai toujours pas fini... Enfin je découvre le jeu Firewatch, projeté sur grand écran et joué entre amis au cours d’une après-midi mouvementée !
– Shantae Half-Genie Hero (WiiU / Switch)
– Dragon Quest VIII : L’Odyssée du roi maudit (3DS)
– Firewatch (2016, Multi)
Au niveau actualité, Nintendo présente la Switch le 13 janvier, et j’y joue dans la foulée ! Avant et après cet événement, je participe au Live de JV.com pour en parler !
En février, je me procure enfin un smartphone digne de ce nom. Je peux ainsi profiter des jeux Nintendo sur mobile (Miitomo, Super Mario Run qui sortira sur Androïd le 23 mars) comme le tout récent Fire Emblem Heroes. Mais c’est surtout Pokémon Go qui va m’entraîner dans une grande aventure ! En effet, je ne lâche pas le jeu de l’année ! Sur 3DS, je me vois confier le test de Poochy & Yoshi’s Woolly World.
Fire Emblem Heroes (Mobile)
Pokémon Go : Episode 1 / Episode 2 (Mobile)
Poochy & Yoshi’s Woolly World (3DS)
En mars débute l’exposition "Game" à la Fondation EDF. Mais c’est surtout, le 3 mars, le lancement de la Switch et du nouveau Zelda qui fait l’actualité. Avec Zelda dans les mains, je disparais de la circulation pendant une bonne quinzaine ! Il est aussi question du Season Pass de Breath of the Wild, une pratique que Nintendo ne manquera pas de réitérer sur ses différents jeux. J’aime tellement Breath of the Wild que nous passons même des heures à cuisiner !
The Legend of Zelda : Breath of the Wild (Wii U / Switch)
Nous souhaitons également bienvenue à la Switch avec le très mignon Snipperclips ! Fin mars, Nintendo a l’excellente idée de proposer en téléchargement gratuit le Splatoon 2 Global Testfire, une session d’essai de son jeu à sortir fin juillet ! En avril l’excellent remake Wonderboy III : the Dragon’s Trap vient illuminer la console !
Snipperclips (Switch)
Splatoon 2 Global Testfire (Switch)
Wonder Boy the Dragon’s Trap (Switch)
Le 28 avril 2017, Mario Kart 8 Deluxe vient prendre le relai de "jeu qu’on ne débranche plus de la machine" ! Début mai Minecraft Switch Edition est disponible ! Fin mai, Nintendo lance le ARMS Global Testpunch, la phase de test en ligne/publicité sur le jeu ARMS à venir en juin. Le bilan après quelques mois est donc plutôt positif !
Mario Kart 8 Deluxe (Switch)
Minecraft Switch Edition (Switch)
ARMS Global Testpunch (Switch)
Dans cette période, je trouve encore le temps de me faire prêter une PlayStation 4 pour enfin jouer à The Last Guardian et quelques autres jeux (Inside, Life is Strange, etc). ARMS est dispo le 16 juin. Le 22 juin sort sur l’eShop Switch Oceanhorn : Legend of Uncharted Seas, un Zelda-like en 3D isométrique de très bonne facture. Pas très long, le jeu m’occupe jusqu’à la sortie du premier DLC de The Legend of Zelda : Breath of the Wild le 30 juin.
The Last Guardian (PS4)
OceanHorn : Monster of Uncharted Seas (Switch)
The Legend of Zelda : Breath of the Wild - DLC 1 (Switch)
L’E3 de Nintendo dévoile ses blockbusters à venir (Super Mario Odyssey, Xenoblade Chronicles 2, Fire Emblem Warriors, Mario + Rabbids : Kingdom Battle) et en dévoile de nouveaux (Metroid Prime 4, Pokémon RPG, Yoshi et Kirby Switch). Sur Paris, je joue à la plupart de ces titres dans la foulée au #NintendoParis2017.
Le bel été de la Nintendo Switch peut commencer, rempli de couleurs !
Début juillet, le Splatfest World Premiere lance les hostilités pour nous faire patienter avant le lancement du jeu. Une fois sorti, Splatoon 2 s’avère un kif absolu seul ou avec plein d’amis Switch !
Splatoon 2 (Switch)
Autre kiff total, Sonic Mania, que je termine dans la foulée. Fin Août, c’est Ubisoft qui nous régale avec Mario + Lapins Crétins, que je terminerai tranquillement tout au long du mois de septembre, en parallèle de Monster Hunter Stories, une autre aventure de longue haleine sur Nintendo 3DS. Metroid : Samus Returns sort également en septembre, je n’y jouerai que plus tard dans l’année !
Sonic Mania (Switch)
Mario + Lapins Crétins : Kingdom Battle (Switch)
Monster Hunter Stories (3DS)
Le Nintendo Direct du 14 septembre dévoile entre autres Doom, Wolfenstein II, L.A. Noire ou encore Snipperclips Plus. Project Octopath Traveler est disponible en démo et le jeu s’avère prometteur. Fin septembre sort la SNES Mini, avec Star Fox 2 !
Project Octopath Traveler (Démo Switch)
La Snes Mini
Star Fox 2 (SNES Mini)
Quelques Splatfest plus tard, voilà Super Mario Odyssey qui débarque enfin le 27 octobre ! Un aventure incroyable que je dévore sans ménagement !
Super Mario Odyssey (Switch)
Longtemps attendu, le jeu mobile Animal Crossing Pocket Camp est dévoilé le 25 octobre au cours d’un Nintendo Direct, pour une sortie partielle dès la fin de la présentation. Couac ou coup de pub, l’application s’avère disponible via téléchargement. La version européenne est disponible un mois plus tard, mais j’avoue ne pas avoir attendu ! Résultat : plus de deux mois que je n’en ai pas décroché (et Animal Crossing New Leaf, abandonné, en a fait les frais !). Il faudrait quand même que je consacre un petit article à celui qui est mon plaisir coupable de l’année !
Animal Crossing Pocket Camp (mobile ; capture redimensionnée)
Novembre est le mois des surprises avec pour commencer Morphite. First Person Aventure de Blowfish Studios, Morphite nous entraîne dans l’exploration d’un espace infini. Gear Club Unlimited s’avère être un jeu de course particulièrement maniable et agréable qui me séduit alors que ce n’est pas du tout mon type. RiME enfin, que j’ai attendu toute l’année, et dont l’univers me comble malgré les faiblesses techniques.
Morphite (Switch)
Gear Club Unlimited) (Switch)
RiME (Switch)
Le 1er décembre sort Xenoblade Chronicles 2, et je m’apprête à commencer l’aventure, mais la rédaction des tests des deux Resident Evil Revelations sur Nintendo Switch prend le dessus ! Je refais avec plaisir le premier RER et découvre le deuxième épisode, bien glauque dans son genre ! On change d’ambiance (quoique) avec The Deer God, un petit jeu d’exploration/aventure dans lequel on incarne un cerf !
Resident Evil : Revelations (Switch)
Resident Evil : Revelations 2 (Switch)
The Deer God (Switch)
Retour à la liberté avec le DLC 2 de Zelda qui sort courant décembre ! Avec les fêtes de fin d’année, je me penche sur les jeux mis de côté comme Xenoblade Chronicles 2 (un peu, car j’avoue avoir décroché au bout d’une dizaine d’heures de jeu), Metroid : Samus Returns (j’ai avancé mais je suis rebuté par la difficulté). Et c’est finalement du côté des Fire Emblem que je trouve mon bonheur. Suite à une overdose de Fire Emblem Fates en 2016 (j’avais enchaîné les trois épisodes), j’avais repoussé ma session de Fire Emblem Echoes (sorti en mai de cette année) à plus tard. Je l’ai commencé et il m’accompagnera sans problème en 2018 ! Mais c’est surtout Fire Emblem Warriors (que j’avais loupé à cause de sa sortie proche de celle de Odyssey) qui m’a fait du bien avec une aventure entraînante et dynamique.
The Legend of Zelda : Breath of the Wild - DLC2
Xenoblade Chronicles 2, débuts laborieux (Switch)
Fire Emblem Warriors (Switch)
Cette année, contrairement aux précédentes, je n’ai pas eu besoin de faire des oldies pour occuper le temps ! Que ce soit la Switch ou les jeux mobile bouffe-temps comme Pokémon Go ou Pocket Camp, ce fut un plaisir intense et continu. Bravo à Nintendo pour avoir géré un planning de main de maître, entre les gros hits bien espacés, les sessions de test pour préparer aux sorties des jeux, aux surprises et démos.
La Switch est une merveilleuse console, et je nous souhaite beaucoup de bonheur dessus en 2018 ! (Je vous ai déjà préparé le planning des jeux à venir sur la machine. A suivre !)
Continuer la chronologie avec Les jeux annoncés sur Switch... et les autres !
Rime fait parti de ces jeux que j’attendais depuis bien longtemps. Le jeu a été présenté pour la première fois en 2014 et m’avait immédiatement séduit. Prévu initialement sur PlayStation 4 et après un développement chaotique, le jeu sort sur tous les supports en mai 2017. La bienvenue version Switch rate le lancement et, prévue pour la fin d’année, sort finalement le 17 novembre.
RiME, another Journey
RiME raconte l’histoire d’un petit garçon échoué sur une plage qui a perdu la mémoire. Son attention est attirée par un immense phare qui domine l’île. De là, il va chercher à l’atteindre et découvrir sa destinée.
C’est un jeu d’action/aventure où l’on va chercher à progresser dans les niveaux, escalader des murs et résoudre les puzzles que forment les décors.
Mes amis qui avaient fait le jeu sur PlayStation 4 étaient ressortis mitigés de l’expérience, la faute à un manque de surprises lié à de très nombreux emprunts vidéoludiques. Comment en effet ne pas faire immédiatement la comparaison avec des jeux comme Journey, Ico et Shadow of the Colossus pour l’ambiance et l’aspect plateformes. Si RiME emprunte aux meilleurs (jusque dans la sublime bande-son qui cite Journey, Ghibli et le Seigneur des Anneaux), le jeu a de la difficulté à trouver son style, malgré une beauté évidente.
D’autre part, RiME n’est pas long du tout : environ 6 heures de jeu. Ce n’est en soit pas un défaut (Journey peut se faire entre 3 et 1H30). Il est découpé en quatre parties que l’on appellera "Introduction, fuite, reconstruction et conclusion". Tout ne se vaut pas, mais offre quelques passages magnifiques. J’ai donc globalement apprécié le jeu, que je referai sans doute lorsque l’occasion se présentera.
RiME rame
Mais venons en au fait : la version Switch de RiME. Les autres versions étaient déjà connues pour ne pas être toujours fluides, témoignant de difficultés techniques rencontrées par les studios de développement. Or il s’avère que la version Switch de RiME amplifie ces difficultés là. Le jeu saccade à de très nombreuses reprises pendant la première moitié du jeu (qui se passe principalement en extérieur), ce qui gène fortement le plaisir de la découverte.
Ce n’est pas dramatique, nous renvoyant même à une époque où les jeux étaient mal optimisés étaient légion, mais quand même. En parallèle, le jeu devient immonde graphiquement parlant lorsqu’on passe en mode portable, affichant une résolution véritablement médiocre. Je ne comptais pas faire le jeu en version portable, mais là aussi c’est forcément décevant.
Ne tirez pas sur l’ambulance
Face à ce constat, la version Switch s’est littéralement fait démontée par une certaine critique. Cela a eu pour effet de détourner de nombreux joueurs de cette version qu’ils avaient pourtant attendue et de fournir du grain à moudre aux détracteurs de la Switch.
Je ne pense pas qu’un jeu doive être forcément pénalisé pour des raisons techniques. Ici, ce ne sont pas quelques ralentissements qui m’empêchent de profiter de tout le reste. Combien de jeux se sont fait démonter de la sorte alors que l’essentiel n’est pas là ? Beaucoup de critiques ou de joueurs semblent avoir oublié le temps où ils s’amusaient avec des jeux qui n’étaient pas exemptes de défauts.
Quoi qu’il en soit, cette cabale aura au moins eu le mérite de tirer la sonnette d’alarme à destination des développeurs qui assurent aujourd’hui avoir entendu le problème et comptent essayer de le résoudre... même si on imagine qu’ils avaient sûrement essayé avant, mais que des délais ont du être respectés.
Je ne regrette pas un instant d’avoir acheté RiME sur Switch. Le jeu est une belle bulle de rêve et la version qui le porte aujourd’hui toussote un peu trop. Espérons qu’une mise à jour puisse corriger éventuellement deux-trois choses. En attendant, le jeu rejoint sans problème mon top de l’année sur la console. mais chut, ne le répétez à personne.
Voici une vidéo du début du jeu.
Ajout du 19 février 2018 : Les développeurs ont enfin déployé leur mise à jour sur le jeu. Elle sauve le mode portable du marasme en rendant le jeu beaucoup plus lisible (adieu la bouille de pixel), ce qui le rend désormais tout à fait praticable en nomade.
Quel que soit le mode, les saccades sont toujours là à certains moments précis du déroulement au début du jeu : quand on passe des grands ponts, et à peu près tous les moments où le jeu charge la suite de l’environnement.
Et voilà, c’est fini ! Miiverse, le réseau social de la Wii U, 3DS et Web depuis 2012, a fermé ses portes aujourd’hui.
Hier nous avons fait une dernière balade sur le réseau via la Wii U, pour se remémorer les bons souvenirs de cette expérience sociale (en dessins me concernant) !
Vous pouvez également revoir mes premiers dessins sur Miiverse 1 et Miiverse 2 ou encore quelques dessins sur Zelda Gameboy, qui témoignent de la bonne humeur d’alors. Jusqu’alors confiné à la Wii U puis en décembre 2013 à la 3DS, Miiverse s’ouvre au web entier en juillet 2015. C’est un peu le début de la fin, comme en témoigne mon article sur "Miiverse fait sa pub". Je ne posterai alors quasiment plus de dessins sur le réseau, qui en parallèle se fait petit à petit oublier. Je posterai un dernier article avec les meilleurs dessins de 2014-2015 à l’occasion ! RIP et merci Miiverse !
Pour marquer la fin du service Miiverse ce mercredi 8 novembre, j’ai fait mon propre Mug Miiverse ! J’ai repris quelques uns des dessins qui figuraient sur ma page pour faire un petit patchwork !
Si vous aussi vous souhaitez comme moi créer votre propre Mug Miiverse, je vous indique la marche à suivre ! Avec un logiciel de retouche d’image, vous pouvez créer votre propre Mug Miiverse assez rapidement.
J’ai choisi d’en faire un sur le site de camaloon car on peut choisir une belle couleur vert clair à l’intérieur du mug - ça fait un rappel de la couleur de Miiverse !
1) La maquette
Voici la maquette que j’ai créée pour faire mon mug selon le format du site.
Cliquez sur cette image pour l’obtenir au bon format, puis enregistrez en faisant un clic droit.
Vous pouvez ouvrir cette maquette avec votre logiciel d’image et placer 9 de vos dessins miiverse sur les cases grises (il faudra agrandir un peu les dessins). Si vous le voulez, écrivez le nom de votre compte Miiverse en bas à gauche (j’ai choisi la typo Century Gothic car elle ressemble à celle de Miiverse, j’aime bien la typo Verdana aussi). J’ai aussi mis ma signature de dessin en bas à droite (dans le petit bloc gris).
Il faut ensuite enregistrer un .jpg de cette image (attention à supprimer la maquette avant si elle est toujours visible, pour ne plus la voir en-dessous !).
2) Sur le site
Voici les étapes pour uploader l’image et commander le mug sur le site camaloon.fr !
1- Choisir « Mug sélection » (attention, « mug économiques » ce n’est que pour les commandes à partir de 50 unités !
2- Choisir la couleur d’intérieur du mug
3- Cliquer sur « Ajoutez vos dessins »
4- Cliquer sur « télécharger des images », puis « ajouter image »
5- Choisir l’image créée avec vos dessins miiverse (format jpg)
6- Cliquez sur le petit bouton « 3D » sous le mug pour visualiser une simulation 3D du mug : vous pouvez ensuite cliquer sur le mug pour le faire tourner en 3D !
7- Si tout est OK, cliquer sur « Ajouter au panier » et lancez la commande. N’oubliez pas d’entrer un code de réduction si vous en avez un !
(Pour Noël jusqu’au 31 decembre 2017 il y a une remise de 20% sur les mugs avec un code promo. En savoir plus ici : https://camaloon.fr/offre-de-noel)
PS : Cet article n’est pas une pub pour ce site, c’est juste que c’est celui que j’ai choisi d’utiliser, notamment à cause de la couleur verte !
PS2 : Ceci ne sera pas un mug officiel Miiverse ;-)
PS3 : Si vous en faites un, n’hésitez pas à partager vos photos avec le hashtag #MugMiiverse !
Après un lancement réussi, la Switch a continué à profiter d’une aura positive, grâce à ses jeux et un bon bouche à oreille.
Dès le mois de mai, Nintendo a fait tout son possible pour mettre ARMS sous le feu des projecteurs. Le jeu de combat coloré et chaleureux a eu le privilège d’avoir avant sa sortie plusieurs sessions de test en ligne appelées "Global Testpunch". Les joueurs ont pu se faire une idée avant d’éventuellement passer à la caisse lors de la sortie du titre le 16 juin.
Petit apéritif avant de passer au plat de résistance (Splatoon 2), ARMS n’aura pas chez moi (comme chez beaucoup d’autres) suscité de grande passion. La faute à un contenu un peu chiche que même plusieurs mises à jour au fil des mois n’arriveront pas à combler.
L’E3 est là et Nintendo montre ses blockbuster à venir (Super Mario Odyssey, Xenoblade Chronicles 2, Fire Emblem Warriors, Mario + Rabbids : Kingdom Battle) mais en dévoile de nouveaux (Metroid Prime 4, Pokémon RPG, Yoshi et Kirby Switch).
Le 22 juin sort sur l’eShop Switch Oceanhorn : Legend of Uncharted Seas, un Zelda-like en 3D isométrique de très bonne facture. Pas très long, le jeu m’occupe jusqu’à la sortie du premier DLC de The Legend of Zelda : Breath of the Wild le 30 juin.
Les épreuves de l’épée, succession de salles où l’on doit survivre, sont un sacré challenge. Chaque salle propose des combats et des environnements différents dont il faut apprendre les mécaniques sur le bout des doigts pour pouvoir s’en sortir. La quête des différents masques permet notamment de récupérer le masque Korogu, à même de nous aider à débusquer les petites bestioles (au nombre de 900, on le rappelle !). J’apprécie aussi particulièrement le mode "empreinte" qui permet de retracer 200 heures de notre parcours sur la carte du monde.
Le 7 juillet est dévoilée la prochaine session de test en ligne de Splatoon 2. Cette démo ne sera pas un "Global Testfire" comme celui qui s’était déroulé fin mars, mais carrément un Festival appelé "Splatfest World Premiere". Les nouvelles idoles, Perle et Coralie, apparaissent pour la première fois et annoncent le thème du premier Splatfest du jeu : ce sera les glaces contre les gâteaux !
Le festival a lieu une semaine après, et le jeu n’est même pas encore sorti ! Le plan marketing est parfaitement rodé puisque le jeu sort une autre semaine plus tard. Je me jette dessus et n’arrête pas pendant un mois ! Au premier août j’ai déjà 60 heures de jeu et j’avoue ne pas les avoir vues passer du tout !
En effet, Splatoon 2 est bourré de modes de jeu. Les modes de jeu classiques sont de retour et je me risque à certains que je n’avais jamais pratiqué dans Splatoon 1 comme expédition risquée, ou bazookarde. Je dévore le mode histoire que je trouve vraiment bien fait (je n’avais pas fait celui de Splatoon 1 non plus).
Le nouveau mode Salmon Run est pas mal du tout, et une communauté de joueurs motivés se forme, ce qui donne lieu à des matchs à dix (dont deux spectateurs) et des conversations via l’appli sur smartphone.
Histoire de battre le fer tant qu’il est chaud, un deuxième Splatfest est organisé début août : ce sera le ketchup contre la mayonnaise ! Originalité, la couleur de la peinture correspond à celle des sauces !
Au mois d’août je me crée un compte Nintendo japonais pour profiter de démos exclusives sur le store japonais comme Monster Hunter XX ou Dragon Quest Heroes I&II.
Le 15 août c’est la sortie tant attendue de Sonic Mania. Je dévore le jeu, véritable suite spirituelle des épisodes Megadrive, réalisée par des fans qui ont tout compris de l’essence de la saga.
C’est la rentrée et Mario & les Lapins Crétins : Kingdom Battle sont déjà là. Le jeu de RTS est excellent et m’occupera tout le mois de septembre. On peut féliciter Ubisoft Milan pour le très bon mėlange des deux univers au sein de type de jeu complexe et néanmoins accessible.
Le 14 septembre, Nintendo diffuse un nouveau Direct pour passer en revue les prochaines sorties. Plusieurs jeux sont dévoilés comme entre autres Doom, Wolfenstein II, L.A. Noire ou encore Snipperclips Plus. C’est finalement la disponibilité de la démo d’un titre à venir en 2018, Project Octopath Traveler, qui m’occupe quelques heures délicieuses. Le nouveau RPG des créateurs de Bravely Default s’annonce réussi.
L’été est bien fini, on est dans l’été indien avec la sortie le 27 octobre de Super Mario Odyssey, un grand jeu que j’ai dévoré en quelques jours !
A venir : RIME, Xenoblade Chronicles 2, Club Gear Unlimited... en attendant de savoir ce que 2018 nous proposera !
Mes tests disponibles :
OceanHorn : Monster of Uncharted Seas (Test)
Shantae Half-Genie Hero (Test)
Gear Club Unlimited (Preview)
Super Mario Odyssey (Preview)
Yoshi Switch (Impressions)
Xenoblade Chronicles 2 (Impressions)
Mes vidéos disponibles :
Super Mario Odyssey (Vidéos)
Monster Hunter XX (Vidéo)
Mes articles disponibles :
J’ai joué aux jeux Nintendo de l’E3 ! #NintendoParis2017
L’E3 2017 à chaud et à froid (16 juin 2017)
Continuer la chronologie avec Mes jeux de l’année 2017
J’ai pu tester la Nintendo Classic Mini : Super Nintendo et ses 21 jeux !
Quand Nintendo nous invite à jouer à la SNES Mini, nous ne décollons plus du siège pendant plusieurs heures ! Les 21 jeux, les fonctionnalités, vous découvrirez tout sur cette machine rétro à l’attention des nostalgiques, des rétrogamers et des curieux !
Rarement une console aura eu une telle aura, 25 ans après sa sortie. En témoignent les ressorties régulières des titres mythiques de la Super Nintendo, notamment sur les différentes consoles virtuelles. Après la NES Mini l’année dernière - et son succès foudroyant - Nintendo surfe sur la vague avec l’arrivée d’une version miniaturisée de sa Super Nintendo de 1992, et 20 jeux inclus dedans. Enfin, 21, puisque l’inédit Starfox 2 est, 21 ans après sa non sortie dans le commerce, enfin de la partie.
La belle
A l’instar de la NES Mini, la SNES Mini telle que nous allons l’appeler par son petit nom (l’intitulé exact est "Nintendo Classic Mini : Super Nintendo") reprend très fidèlement le design de la console d’époque, en plus petites proportions toutefois. Pour vous donner une idée, elle tient effectivement dans la paume d’une main. On ne s’attend pas à ce que beaucoup de monde s’amuse à la tenir ainsi, mais soit. La console prendra place sur ou dans votre meuble télévision, même si la laisser par terre peut rappeler à certains l’utilisation d’antan : en tailleur devant son écran cathodique et au plus près de notre meilleure nouvelle copine d’alors.
Et l’on retrouve un peu cette philosophie avec la SNES Mini et ses différents boutons qu’il va falloir actionner en se levant régulièrement du canapé. Ainsi, le bouton d’alimentation fait toujours son office, et allume votre console en faisant également fonctionner la diode rouge sur le devant. C’est surtout la touche "Reset" qui va vous faire faire de nombreux aller-retours console-canapé puisqu’elle est le seul moyen de sortir d’un jeu en cours, ou même utiliser la fonction "replay" (sur laquelle nous reviendrons). Rajouter un bouton sur la manette SNES Mini aurait vraisemblablement dénaturé la fidélité à l’originale, mais penser à une combinaison de touches inutilisées (Select + R par exemple ?) aurait peut-être été une solution. Ne soyons pas trop tatillon et bougeons un peu nos fesses. Pour le reste, le slot pour les cartouches ou encore le bouton "Eject" ne sont plus fonctionnels, faute de jeu à insérer.
Les deux manettes fournies sont des répliques exactes des originales. Tout au plus sent-on une couche de vernis plus rugueuse employée, si vous vous amusez à passer le doigt sur la zone supérieure de la surface (cela n’arrivera jamais en jeu). Les câbles ont été rallongés par rapport à ceux de la NES Mini. C’est une bonne chose, même si on l’a dit, il faudra de toute façon se rapprocher régulièrement de la machine pour changer de jeu, sauvegarder ou faire des replay. Les connectiques sont toujours ceux de la Wii, ce qui veut dire que vous pouvez utiliser les rallonges vendues pour la NES Mini et peut-être même la manette SNES du Club Nintendo (du temps de la Wii). Ne l’ayant pas encore testée, on ne s’avancera pas. Ces connectiques Wii sont cachées derrière une trappe, seule bizarrerie esthétique de l’ensemble. Les slot non fonctionnels d’origine sont conservés pour l’image, mais une fois la trappe ouverte et les manettes branchées, on ne les verra plus.
Derrière, un port HDMI pour profiter de la machine sur votre télévision haute définition. Un câble micro USB est utilisé pour l’alimentation, à brancher sur le slot USB d’un ordinateur, de votre Switch ou autre. Vous pouvez également utiliser un adaptateur secteur (non fourni), que l’on trouve aujourd’hui dans le commerce ou fourni avec la plupart des appareils électriques, dont les téléphones portables.
D’un point de vue purement pratique, la console nous renvoie à l’ère filaire que l’on croyait pourtant révolue. Tout comme la NES Mini, des câbles de rallonge ou même des adaptateurs manettes sans fil peuvent s’avérer utiles pour ceux désirant moins s’encombrer. Il faudra s’habituer à la trappe des ports manettes et accepter d’avoir à se lever pour passer d’un jeu à l’autre, à moins d’être immergé dans un jeu de longue haleine. Dans la pratique, c’est donc l’aspect convivial qui prime, comme à l’époque, et c’est peut-être l’un des aspects les plus fidèles à la machine qu’il a été le plus délicat à conserver.
La bête
L’interface est très semblable à celle de la NES Mini. Les différents jeux se succèdent et peuvent être classés par ordre alphabétique, chronologique, de temps de jeu, ou de mode 1 ou 2 joueurs. Jusqu’à quatre fichiers de sauvegarde peuvent être créés et protégés d’un écrasement intempestif au moyen d’un petit cadenas virtuel.
Le menu propose de choisir différents affichages au format 4/3 entre la nouvelle résolution HD, celle d’origine et un effet télé cathodique. 4/3 oblige, les côtés de l’écran peuvent être habillés par une dizaine de bordures aux motifs et styles divers et variés. L’interface du jeu peut être réglée avec la langue de votre choix. Nous parlons bien ici de la langue utilisée dans les menus et pas celle des jeux, sujet sur lequel nous reviendrons.
Les paramètres permettent principalement d’activer ou non les modes replay et démo. Le mode démo correspond tout simplement aux trailers des différents jeux qui se lancent si vous ne touchez à rien pendant que vous êtes sur l’interface de la SNES Mini. Le mode replay est de loin plus intéressant car il va vous permettre de "rembobiner" votre partie de jeu pour revenir en arrière et reprendre une action qui aurait mal tourné.
Le temps de rembobinage diffère selon les jeux. Sur les jeux d’action il est généralement de 45 secondes. Sur les jeux d’aventure il est de plusieurs minutes, afin de s’adapter aux stratégies.
Be kind rewind
Pourquoi vouloir rembobiner ? Certains jeux plus difficiles que d’autres comme Super Ghouls ’n Ghost ou Contra III peuvent justifier de revenir sur des erreurs pour éviter une mort trop rapide. La Console Virtuelle Wii U proposait déjà une fonctionnalité de ce type, sauf qu’au lieu de rembobiner on effectuait des sauvegardes régulières - relativement - rapides à relancer. C’est d’ailleurs cette fonctionnalité qui m’a permis, je l’avoue, de terminer enfin ces deux jeux pour lesquels j’étais depuis toujours resté sur le carreau.
Mais pour le reste, ne devrait-on pas tout simplement accepter de jouer le jeu, de rater un ballon volant de Donkey Kong Country, une pièce rouge de Yoshi’s Island ou pire un round de Street Fighter II ? Chacun se fera son avis. La fonctionnalité existe et on verra à terme si elle sera employée, d’autant qu’elle s’avère assez peu ergonomique. Il faut ainsi aller appuyer sur le bouton "reset" de la console, sauvegarder sa partie avec "y", appuyer sur le bouton "x" pour lancer le replay, naviguer avec L et R pour avancer dans la séquence enregistrée comme des plages d’un DVD, et appuyer sur Start au moment où l’on souhaite relancer la partie. Avec toutes ces manipulations, les faux pas sont immanquables, à base de retours intempestifs dans le menu principal.
Travaille ton anglais avec la SNES Mini !
Reste enfin à aborder les jeux. Une sélection autrement plus intéressante que les 30 jeux de la NES Mini. Les 21 jeux de cette SNES Mini sont quasiment tous des jeux entrés au panthéon du jeu-vidéo et ont relancé les séries auxquelles ils appartiennent pour de longues années.
Si la console est européenne, les versions des jeux sont les versions américaines. Si l’on gagne la fréquence 60 hz (chez nous les jeux étaient en 50 hz, ce qui impliquait une vitesse de déroulement inférieure et donc moins fidèle aux créations originales), on perd, et c’est l’une des tristesses des cette SNES Mini, les langues européennes des jeux pourtant localisés à l’époque.
Au revoir toute la traduction française et les cultissimes noms de niveaux comme "Jungles en folies" de Donkey Kong Country, "Cotonou Prout-Prout" de Yoshi’s Island. Au revoir les aventures intégralement en français de Zelda 3 ou Secret of Mana : nous ne croiserons plus les septs sages et nous ne "rosserons" plus personne.
Nintendo n’a pas souhaité modifier le package américain pour y inclure des roms multilingues à même de satisfaire les différents pays de l’Europe. Sur Console Virtuelle 3DS, différentes roms correspondant à chaque traduction de Pokémon sont sorties en 2016. C’était un exploit alors que la Console Virtuelle Wii U avait déjà abandonné les traductions PAL au profil d’une rom 60 Hz et en langue anglaise. On se souvient pourtant que Nintendo avait proposé Secret of Mana sur Wii en version française en 2007.
Dans la même continuité, et par soucis d’uniformiser le produit, notre version PAL comprend du contenu US, jusqu’au visuel des affiches des jeux. Notre Super Probotector devient au passage Contra III, Starwing redevient Starfox et Final Fantasy VI le FFIII américain. FFVI n’était à l’époque jamais sorti chez nous, tout comme Earthbound et Super Mario RPG qui sont ici, tout comme leurs versions Virtual Console bien évidemment en anglais. Ne vous attendez pas à avoir la version française de FFVI sortie sur Game Boy Advance !
Il est certes dommage de ne pas avoir les versions françaises pour les jeux d’aventure que nous avons connu tels quels à l’époque. On se consolera en se rappelant ces heures passées devant ces jeux uniquement en anglais qui nous auront forcément aidé à apprendre la langue de Shakespeare. En souhaitant un bon apprentissage à ceux qui voudront se lancer dans la conquête du pouvoir d’or ou à l’assaut du fort mana.
Des années de plaisir ?
Super Mario World, Street Fighter 2 Turbo, Zelda 3, Starfox, Super Mario Kart, F-Zéro, Super Metroïd, Super Ghouls ’n Ghost, Megaman X, Super Punch Out, Yoshi’s Island, Donkey Kong Country, Super Castlevania IV, Contra 3, Secret of Mana, Final Fantasy VI, Super Mario RPG, Earthbound, Kirby Super Star et Kirby’s Dream Course. 20 jeux exceptionnels, hormis peut-être les deux Kirby. Quelques autres jeux peuvent manquer, forcément, mais la légende de la Super Nintendo est bien là.
A cette légende s’ajoute aujourd’hui Starfox 2, jamais sorti sur aucun territoire et pour cause, le jeu fut annulé en 1996 alors qu’il était quasiment terminé, pour des raisons marketing. En effet, la Nintendo 64 pointait debout de son nez et Nintendo trouvait que la puce graphique "Super FX" utilisée dans ces jeux avait fait son temps.
C’est indéniablement une belle surprise, une plongée 20 ans en arrière que les fans de la marque ne pourront qu’apprécier, et où on s’amusera de voir notamment des inspirations de Star Fox Zero sur Wii U. Voici d’ailleurs le test complet de Star Fox 2 sur SNES Mini !
Difficile de dire non à la Nintendo Classic Mini : Super Nintendo et ses jeux de légende quand on est fan ! Voilà comment on pourrait résumer l’accueil de la machine auprès des fans trentenaires et plus généralement des joueurs du monde entier, tant la console et ses jeux sont incontournables. La machine est parfaitement fiable et émule les différents titres à la perfection. Une fonction replay un peu gadget et l’absence de quelques traductions mythiques sont compensées par le gain du 60 hz et la mise en avant de titres plus confidentiels voire inédits.
Article publié sur Puissance-Nintendo
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