Dernier ajout : 31 octobre.
Si l’année Nintendo n’a pas été particulièrement riche en jeux sur 3DS et Wii U, elle se résume principalement à plusieurs événements : le phénomène Pokémon Go, les deux premières applications de Nintendo (Miitomo et Super Mario Run), la sortie de la NES Mini ou encore la présentation de la Nintendo Switch.
Bilan 2016 : Nintendo, où l’art d’être patient (8 juin 2016)
Nintendo sur tous les fronts (7 septembre 2016)
Pour jouer il fallait aller du côté de l’eShop. C’est ainsi que j’ai découvert en janvier Adventures of Pip, un plateformer classique mais rondement mené, véritable hommage aux jeux du genre de la grande époque. On y incarne un bête pixel rouge qui peut se transformer en petit garçon pour gagner des mouvements à alterner dans des niveaux réglés comme une horloge.
– Adventures of Pip (eShop Wii U, 2016)

Sur l’eShop Wii U toujours, je découvre le sympathique Shadow Puppeteer, un jeu d’aventure où l’on doit mener un petit garçon et son ombre dans un monde cauchemardesque digne de Tim Burton. En février, les vingts ans de Pokémon commencent avec la réédition sur Console Virtuelle des premiers épisodes de la série. Je jette mon dévolu sur Pokémon Jaune. Le seul jeu Wii U d’envergure du trimestre (désolé Pokken Tournament) est la version remastérisée de The Legend of Zelda : Twilight Princess sur Wii U.



– Shadow Puppeteer (eShop Wii U, 2016)
– Pokémon Jaune (VC 3DS, 2016)
– The Legend of Zelda : Twilight Princess HD (Wii U, 2016)
J’ai continué mon pèlerinage de la série avec Phantasy Star III : Generations of Doom sur Megadrive. Au rayon oldies, j’ai aussi eu la grande fierté de terminer le mythique Wonder Boy sur Sega Master System ! Juste avant la sortie du très attendu Star Fox Zero en avril, je me refais le Star Fox 64 sur Console Virtuelle de la Wii U.



– Phantasy Star III (Megadrive, 1991)
– Wonder Boy (Master System, 1986)
– Star Fox 64 (CV Wii U, 2016)
C’était le jeu que j’attendais le plus. Star Fox Zero a eu du mal à l’allumage, mais en bon fan de la série je suis passé au devant de ses difficultés de conception pour apprécier la nouvelle vision de la saga par Miyamoto.
– Star Fox Zero (Wii U, 2016)

Pendant ce temps sur l’eShop, Super Meat Boy est enfin disponible sur la console de Nintendo. Jeu de plateformes sanguinolent, j’ai tant bien que mal essayé de faire rebondir la petite boule de viande dans des labyrinthes infernaux ! Minecraft fait sa mise à jour et je découvre cette "Super Mario Edition" bien sympathique. Sur la 3DS qui crie famine, je commence enfin Phoenix Wright 5 : Dual Destinities, qui s’avèrera pour moi un vrai supplice, que je terminerai quelques longs mois plus tard !



– Super Meat Boy (eShop Wii U, 2016)
– Minecraft Super Mario Edition (eShop Wii U, 2016)
– Phoenix Wright 5 : Dual Destinities (3DS, 2013)
Après la bonne surprise qu’avait été Fire Emblem : Awakening, je rempilais bien volontiers en mai avec le nouvel opus de Intelligent System. Jeu de stratégie tactique à scénario et multiples personnages, Fire Emblem Fates comporte ni plus ni moins que trois histoires (Héritage, Conquête et Révélations) qui m’ont bien occupées les mois suivants !
– Fire Emblem Fates (3DS, 2016)


Passant outre Tokyo Mirage Session et Paper Mario Color Splash sur Wii U, j’ai été séduit par Severed, un donjon-rpg à la première personne envoûtant. J’ai enfin fait l’excellentissime Shovel Knight, ni plus ni moins que le meilleur jeu de plateformes de ces dernières années. Autre succès de l’eShop et fraîchement sorti en boite en octobre, j’ai apprécié le jeu de course FAST Racing Neo.



– Severed (eShop Wii U, 2016)
– Shovel Knight (Wii U, 2015)
– FAST Racing Neo (Wii U, 2016)
C’est ensuite Skyrim et sa chasse aux dragons qui m’hypnotise pendant un certain temps ! J’avais déjà bien commencé la version PS3 de 2011 lorsque des images du jeu ont été présentées sur la future console Switch de Nintendo ! Je le finis peu de temps après la sortie de la version remastérisée sur PS4/XBox.
– Skyrim (PlayStation 3, 2011)

Fin octobre, c’est la sortie du PlayStation VR, le casque de réalité virtuelle de la PlayStation 4. Je peux l’essayer chez un ami avec tous les jeux du catalogue (Jobs Simulator, Thumper, Drive Club, Until Dawn : Rush of Blood, Playroom VR, etc) L’expérience sympathique va du rigolo au "pas mal bluffant". A suivre. Nintendo annonce en grandes pompes début novembre la mise à jour de son jeu Animal Crossing New Leaf : de quoi relancer l’intérêt du jeu qui ne faiblissait pas pour autant chez moi ! Fin novembre sort la très convoitée NES Mini, et sa trentaine de jeux -plus ou moins- mythiques.



– Le PlayStation VR (Jobs Simulator, PlayStation 4, 2016)
– La Mise à jour de Animal Crossing New Leaf (3DS, 2013-2016)
– La NES Mini
Ma deuxième grosse attente de l’année sur 3DS était Pokémon Soleil (et Lune) en novembre. Je l’ai donc dévoré sans ménagement.
– Pokémon Soleil (3DS, 2016)

Et sinon, j’ai pu enfin jouer à The Last Guardian sur PlayStation 4 chez un ami. Je n’ai fait que la première heure mais en grand fan de Ico et Shadow of the Colossus, j’ai été totalement conquis par cette troisième œuvre de Fumito Ueda. J’ai hâte de pouvoir vivre cette belle aventure !
– The Last Guardian (PS4, 2016)

Sinon en ces fêtes de fin d’année, je n’étais pas tellement inspiré pour rejouer à des oldies 16bits comme la saison des fêtes me l’inspire habituellement. J’ai donc ressorti ma Nintendo 64 et refait entièrement le mythique Conker’s Bad Fur Day paru en 2001 sur Nintendo 64. Le jeu irrévérencieux de Rare est toujours aussi étonnant à parcourir !
– Conker’s Bad Fur Day (Nintendo 64, 2001)

2017 sera l’année du renouveau pour Nintendo avec la Switch ! Plus que quelques jours pour savoir à quelle sauce nous serons mangé !
Invité chez Nintendo avec d’autres journalistes de la presse vidéoludique, nous avons essayé Super Mario Run pendant une petite heure pour découvrir son contenu. Si vous pensiez que Nintendo et DeNa allaient traiter à la légère leur première application smartphone consacrée à Mario, détrompez-vous, le jeu pourrait vous surprendre !

Article publié sur Puissance-Nintendo
New Super Mario Bros par-ci, New Super Mario Bros par là, ou encore Super Mario Maker : il est vrai qu’on pouvait en avoir un peu marre de ces aventures 2D dont la formule a été surexploitée ces dernières années. C’est pourquoi l’annonce d’un nouveau Mario 2D reprenant le moteur de New Super Mario Bros U n’avait pas de quoi faire rêver, quand bien même elle serait sur smartphone. Le succès de Pokémon Go ayant visiblement joué sur les ventes de jeux Pokémon sur 3DS, on sent Nintendo prêt à faire mentir Mario.
Un gameplay renouvelé
Miyamoto nous l’a dit : un seul doigt suffit pour jouer à Super Mario Run. Cela voudrait-il dire que le gameplay a été simplifié ? Mario avance désormais automatiquement, saute tout seul par dessus les ennemis et les corniches. Appuyer sur l’écran revient à faire sauter Mario, réappuyer en l’air lui faire faire sa petite pirouette et gagner de l’élan. Laisser Mario avancer selon les circonstances et écraser les ennemis si on actionne le saut juste devant eux sont autant de nouvelles habitudes à prendre.
Destabilisant au début. ce gameplay par le saut et le timimg s’avère assez amusant. Pire, il devient rapidement instinctif et réellement amusant tant les niveaux habituels ont été totalement repensés.

Les niveaux en défilement classique vers la droite cèdent parfois leur place à une succession de niveaux en un seul écran, comme ici les premières Ghost House. Mario rebondit vers l’étage supérieur et continue son chemin vers le bord gauche pour réapparaitre de l’autre côté de l’écran, comme dans l’antique Mario Bros ou Super Mario Bros 2. Il rebondit ensuite à l’étage du dessus jusqu’à prendre des portes vers d’autres parties du niveau.

Quoi qu’il arrive, Mario va toujours vers la droite. S’il est amené à rebondir d’un mur et à être orienté vers la gauche, il se retourne et reprend sa course vers la droite. S’en suit une inertie qui peut occasionner des passages inhabituels comme ces dalles à contre-sens qui repoussent en arrière les sauts de Mario jusqu’à une zone dans le coin en hauteur inaccesssible autrement.
Si Mario tombe dans le vide, une bulle vient le remettre dans la course, moyennant une vie. Ces items "bulles" peuvent être parfois trouvés dans des blocs de bonus, au même titre que les fameux champignons qui nous sauvent souvent la mise.
Si un bouton de mise en pause du jeu peut être activé à tout moment d’une simple pression(et que le jeu se stoppe automatiquement en cas de la réception d’un appel téléphonique), des petites dalles rouges avec le fameux symbole de pause du magnétoscope temporisent l’action. Elles segmentent fréquemment le jeu à chaque étape principale. Si vous n’appuyez pas, Mario reste sur cette dalle jusqu’à ce que vous appuyiez de nouveau. Dans le feu de l’action, la partie s’effectuera sans pauses, mais l’on sent que Nintendo a pensé aux joueurs dans les transports en commun qui peuvent etre interrompus tres régulièrement.
Le Tour des Mondes, un vrai challenge
Finir un niveau est en soit le premier challenge puisque c’est le seul moyen de débloquer le niveau suivant. Pour cela, vous connaissez la musique : atteindre le drapeau final.
Et ce n’est pas aussi facile qu’il y parait, certains niveaux dès le deuxième monde mettant nos réflexes et nos nerfs à rude épreuve avec des plateformes mouvantes bien retors. Plus question de réagir comme dans les anciens Mario, ici c’est le rythme qui prévaut.

Mais c’est sans compter sur les médailles colorées qui sont à collecter pour chaque niveau. Rose, mauve et noir, elles sont trois, correspondant à trois niveau de difficulté. Vous commencez bien sur par la série de médailles roses. En effet, il faut collecter cinq pièces roses dans le niveau. Utilisez votre astuce et votre mémoire pour trouver le bon timing de sauts et les récolter d’un seul coup pour valider la grosse médaille. Vous obtenez alors des tickets pour le mode de jeu "Défi Toad" et passez à une nouvelle quête plus difficile avec les pièces mauves, puis enfin noires.
Les statistiques des ennemis abattus sont également prises en compte. Chaque icône ennemie gagne ainsi de l’expérience et des niveaux. Vous gagnerez plus de pièces lorsque vous en tuerez un autre.
Les pièces sont bien sûr importantes et vous permettent d’acheter des choses dans les autres modes de jeu.
Tout pour les Toad !
Le Tour des Mondes et les vingt-quatre niveaux du jeu ne sont pas le seul mode de jeu de Super Mario Run. Un mode construction et un mode Défi Toad sont de la partie.
Avant de partir avec le gâteau de la Princess Peach (sic), Bowser a détruit le Royaume Champignon. Pour le reconstruire, il faudra utiliser vos pièces pour acheter des batiments aux effets variés, mais surtout les repeupler. Les Toad se sont fait la malle du Royaume et vous avez pour mission d’aller les chercher.

C’est notamment dans le mode de jeu "Défi Toad" que vous pourrez trouver les petits champignons. À la base, ce mode défi vous fait affronter un adversaire dans une course de prestige. Sera déclaré gagnant celui qui aura passé la ligne d’arrivée en ayant accompli les plus beaux sauts accrobatiques. Vos pirouettes sont acclamées en temps réel par des Toad fascinés. Un écran de résultats à la Splatoon présenté par Toadette déclare le vainqueur qui remportera les Toad, qui pourront ainsi réintégrer le Royaume.
Intéractions sociales
À l’instar de Miitomo, l’application dispose de sa propre liste d’ami avec lesquels vous pouvez intéragir. La recherche peut s’effectuer par identifiant, facebook, twitter et autres réseaux sociaux.
Le site My Nintendo va également intégrer Super Mario Run pour une toute nouvelle série de missions et de récompenses. Remporter des défis Toad, terminer le mode 5, ajouter un ami, sont autant de missions que vous pourrez relever pour gagner des pièces My Nintendo. Quant aux récompenses dans le jeu, elles correspondent à des tickets pour le défi Toad, des objets de construction pour le Royaume, comme lorsqu’on achète des habits dans Miitomo.
Les versions gratuite et payante
Super Mario Run en version gratuite propose les trois premiers niveaux du jeu du premier monde (et un essai de vingt secondes dans le quatrième niveau qui correspond au château de Bowser). Les modes construction et défi sont disponibles en versions incomplètes.
La version complète coute 9,99 euros. Le jeu ne contient ensuite pas de contenu payant supplémentaire ni d’achats intégrés. Les six mondes de quatre niveaux chacun se débloquent alors, ainsi que les versions complètes des modes construction et défi. Votre boite à cadeaux contiendra également vingt tickets Toad, trois milles pièces et un bloc surprise.

Déconcertant, Super Mario Run vient chambouler ce que l’on croyait savoir du gameplay des jeux Mario en 2D. Plus accessible, ce gameplay ne s’avère pas pour autant moins technique. Tout est basé sur les sauts, les rebonds, la fuite des dangers et la quête des objets. La vingtaine de niveaux est là pour nous en faire la brillante démonstration. Application oblige, des bonus et intéraction viennent s’ajouter pour faire passer le temps et collecter des bonus virtuels dans le jeu et My Nintendo. Une bonne pioche pour un joueur mobile sur iOS d’abord, Android plus tard. Le gamer Nintendo y trouvera également son compte. Une mission réussie pour Nintendo sur ses nouvelles frontières.
Sortie en 1983 au Japon sous le nom de Family Computer, la console 8 bits de Nintendo sort sur le territoire européen en 1987. Ce sera un succès mondial. Et depuis, le capital nostalgie est très fort. C’est notamment ce qui a incité Nintendo à ressortir les jeux les plus populaires de la machine en 2003 sur Game Boy Advance dans la catégorie Famicom/NES Mini. Aujourd’hui encore, 29 ans après la sortie chez nous, Nintendo n’hésite pas à sortir une version miniature et fidèle de la console, embarquant 30 jeux sous le capot.

J’ai connu la NES aux alentours de l’année 1990. Super Mario Bros et Duck Hunt étaient sortis et j’y jouais chez des amis. J’aimais bien, sans plus.
Je lisais Picsou Magazine et le fameux Duck Tales était chroniqué dans une nouvelle rubrique jeux-vidéo. Le phénomène des Tortues Ninja, de Dragon Ball ou encore des Chevaliers du Zodiaque battait son plein et ces séries animées voyaient débarquer leurs produits dérivés, dont des jeux vidéo. Je ne pouvais y jouer mais ces titres-là me faisaient bien sûr rêver. La console et les jeux étaient très chers et il était hors de question de les avoir à la maison.
Une simple jaquette en magasin faisait rêver !
Finalement c’est SEGA et sa Master System (avec Alex Kidd intégré) qui su me convaincre. Je passais après à la Megadrive, puis à la Super Nintendo. La NES fut donc complètement zappée en ce qui me concerne.
Ce n’est qu’en 2003, alors que sévit une première vague de retrogaming, que je me procure une NES avec les Mario et Zelda de circonstance. La Gamecube avait joué les entremeteuses : le CD collector Zelda comprenait notamment les deux épisodes NES. Le disque de Metroid Prime permettait de rejouer au premier épisode.
En plus des Mario, Zelda, Metroid, Teenage Mutant Hero Turtles, Duck Tales et Dragon Ball, j’ai découvert depuis le très bon Megaman 2, Kirby’s Adventure, Castlevania ou encore Rescue Rangers.
Avec la NES, ce n’est donc pas l’amour fou. Je la vois comme un pont obligé vers les séries que j’ai principalement découvertes sur Super Nintendo.

C’est néanmoins avec un grand plaisir que j’accueille la version 2016 de la NES avec la NES Mini ! Je vous en reparlerai !
Et comme je ne savais pas où la mettre (un article sur la saga Kirby n’est pas particulièrement à l’ordre du jour !), voici ma vidéo de Kirby’s Adventure sur NES !

Nintendo vient de mettre en place la première grosse mise à jour d’Animal Crossing : New Leaf sur Nintendo 3DS. Le jeu est sorti il y a trois ans ! Depuis les amiibo sont sortis... et ne se vendent pas du tout pour ce qui concerne les figurines Animal Crossing. Il fallait donc trouver un moyen de les écouler pour Noël, et quoi de mieux qu’une mise à jour les rendant compatibles avec New Leaf ? Je suis mauvaise langue ! Cette mise à jour propose bien plus de contenu qu’une simple compatibilité amiibo, et apporte une foule de choses bien senties.

Pour détailler le contenu de cette mise à jour, une vidéo appelée "Animal Crossing Direct" a été diffusée ce mercredi 2 novembre. Elle met en scène des humains à la place des animaux du jeu dans une ambiance résolument hippie. Surprenant et drôle !

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La mise à jour est d’ores et déjà disponible. Il suffit de la télécharger sur l’eShop de la 3DS. L’écran titre change avec un bandeau "Welcome amiibo" bien laid !

Je suis en train d’y jouer et je prends des petites images à chaque gros changement que je remarque. Il y a aussi des petits détails, comme le fait de pouvoir s’asseoir sur les cailloux, ou encore de pouvoir secouer les arbres même un outil à la main...
Bons de commande et caravanerie
Après une nouvelle petite introduction dans le train où l’on discute avec Marie, nous nous retrouvons devant la mairie. Notre assistante nous présente la nouvelle borne à même de nous donner des bons de commerce.

Ces bons de commerce peuvent être échangés contre des meubles à la caravanerie, la grosse nouveauté du jeu. Ils peuvent aussi être échangés contre de l’argent au bureau de Poste.

On obtient des bons de commerce en réalisant des petites missions qui sont affichées sur notre carte de visite nouvelle génération.

La caravanerie est un nouvel espace qui s’ouvre sur la gauche ou la droite de votre ville.

On y trouve Joe le Hippie qui vous propose entre autre des objets inédits.

Dans la caravane, un animal de passage vous propose des objets de son style, moyennant des bons de commerce.

Petits changements
Veuillez noter que votre code onirique change. Il faut donc passer chez Serena pour actualiser le rêve de votre ville. Voici au passage le mien.

Passez aussi chez Nook pour faire agrandir votre maison ! Vous l’avez déjà faite agrandir au maximum ? Qu’importe, Nook vous propose un placard d’extension, la "remise secrète", pour pouvoir accumuler encore plus d’objets !

Comme pour toutes les constructions, il faut attendre le lendemain pour qu’elle soit effective. Normalement je ne change pas l’heure de mon jeu pour éviter tout désagrément mais là je crois que je ne vais pas pouvoir attendre !
Le mode photo
Lorsque vous quittez puis redémarrer le jeu le mode photo apparaît. Il vous permet d’intégrer vos avatars, les habitants de votre ville, ou des figurines amiibo Animal Crossing dans une prise de vue réelle de votre choix.

Importations de données de Happy Home Designer
Il y a aussi le catalogue de Happy Home Designer qui peut être ajouté si l’on dispose d’une sauvegarde du jeu sur sa machine. On obtient d’autre part des objets spéciaux dans le catalogue de Méli-Mélo.

Lou se retrouve alors chez Nook pour nous proposer une leçon de décoration d’intérieur. Nous pouvons alors manipuler les meubles au stylet comme dans Happy Home Designer !! C’est assez incroyable que ce gameplay soit incorporé à New Leaf ! Je l’ai essayé chez moi, ça fait son petit effet !

A gauche l’option de déplacement des meubles. A droite la remise secrète !

Follet et les amiibo
Il faut aussi attendre le lendemain pour pouvoir rencontrer Follet, le personnage qui débloque la compatibilité amiibo. Vous trouvez sa lampe et la ramenez chez vous.

Là, il vous propose de poser un amiibo Animal Crossing pour se transformer en lui.
On ne peut avoir qu’un vœu, qu’une visite d’amiibo (figurine ou carte) par jour ! Il va falloir un peu plus de temps pour essayer les amiibo Zelda ou Splatoon !

Je choisis Kéké ! Je fais le vœu "qu’il vienne me voir bientôt" ! Oui mais où ? A la caravanerie ? En effet, Kéké s’y trouve !

C’est dans les objets qu’on peut lui commander que se trouvent la New 3DS et la Wii U qui donnent accès aux deux mini-jeux "Évasion de l’île déserte" et le "Puzzle League" ! Ils coûtent 3 bons de commerce chacun ! N’importe quel amiibo Animal Crossing débloque les mini-jeux !


Les mini-jeux

Puzzle League est un Tetris-Like, ou plutôt un Yoshi’s Cookie-like puisqu’il s’agit de faire des lignes horizontales ou verticales, sachant que vous pouvez intervertir deux blocs-fruits pour progresser.
Il y a un mode Histoire où vous affrontez les personnages de votre ville. Puis un mode marathon. D’autres modes à débloquer pour un total de cinq.

Vous disposez d’une attaque spéciale pour vous aider en appuyant sur "y". Les figurines amiibo peuvent être scannés pour changer ces attaques spéciales, spécifiques à chaque amiibo. Les cartes amiibo, même celles des mêmes personnages que les figurines, ne marchent pas. J’ai essayé.


Les effets des amiibo :
Kéké : "Résiste" - Lorsque les blocs atteignent le haut du champ de jeu, tu peux encore jouer un instant, alors continue !
Nook : "Fruits frais" - transforme un type de blocs au hasard.
Marie : "Freine blocs" - Ralentit l’apparition de nouveaux blocs pendant quelques instants.
Layette : "Curseur d’élite" - Élimine les blocs où se situe le curseur pendant un temps limité.
Risette : "Fruits mélangés" - Transforme les blocs du type le plus représenté en blocs du type le moins représenté.
Max : "Double escamotage vertical" - Élimine deux ligne de blocs verticales.
Thibou : "Bloques blocs" - Empêche l’apparition de nouveaux blocs pendant quelques instants.
Céleste : "Puissance double" - Double les points obtenus pendant une durée limitée.
Serge : "Panacée" - Transforme les parasites en bloc normaux.
Resetti : "Nouveau Départ" - Transforme aléatoirement tous les blocs.
Charlie : "Fruit banni" - Élimine un type de fruits.
Méli & Mélo : "Tir croisé" - Élimine quatre blocs en forme de croix autour du curseur.
Amiral : "Curseur explosif" - Élimine les blocs adjacents au curseur.
Blaise : "Grandeur déchue" - Élimine la plus haute colonne de blocs.

Évasion de l’île déserte reprend le (très bon) (et meilleur, de loin) jeu de amiibo festival sur Wii U. Il s’agit de s’échapper d’une île "jeu de l’oie" en ramassant des morceaux de radeau cachés sur des cases.

Bizarrement le jeu ne veut pas qu’on prenne de captures Miiverse pendant l’introduction. Sans doute parce que c’est un premier "logiciel Wii U" sur 3DS !!

Le jeu dispose de nombreuses règles et utilise toutes les cartes amiibo, chacune ayant des effets particuliers. Cela en fait un titre particulièrement stratégique. Il y a une trentaine de niveaux ! C’est vraiment une très bonne chose de l’avoir sur 3DS !

Je vous invite d’ailleurs à revoir mes vidéos sur le jeu amiibo festival et surtout le mini-jeu en question ! J’y détaillais toutes les règles.
Follet, le retour
Le lendemain, mon deuxième vœu pour Follet a été de voir apparaître Link Loup ! Je le retrouve dans son van !



Il est même d’accord pour emménager dans ma ville !!

Le surlendemain, j’utilise l’amiibo Inkling Girl pour voir débarquer le van de Splatoon avec un poulpe orange à l’intérieur. On peut y acheter des objets et vêtements sur le thème du jeu.

Notez que même si vous avez plusieurs lampes (une par personnage que vous avez créés), un seul et même vœu peut être fait par jour pour l’ensemble des personnages !

Vous pouvez continuer à suivre mes photos sur Miiverse !
Voilà donc une bien belle mise à jour offerte par Nintendo ! Mini-jeux, fonctionnalité amiibo, missions, voilà de quoi nous occuper encore longtemps avec New Leaf ! En attendant la version Switch de Animal Crossing !
La cartouche Super Famicom prenait la poussière, faute d’adaptateur compatible ! L’erreur est réparée ! Je peux enfin jouer à la suite de Secret of Mana !
Voir toutes les autres vidéos !
Voir également :
– Le jeu enfin traduit dans Collection of Mana
– Trials of Mana le remake
Nous avions vu ensemble la version Super Nintendo de Aladdin. Voici désormais la version Megadrive. On ranime le débat sur la meilleure version ?
Je vous invite aussi à (re)lire le petit article que j’avais fait sur les jeux Disney sur Megadrive !
Voir toutes les autres vidéos !
Nintendo vient enfin de dévoiler sa prochaine console, baptisée jusqu’ici "Nintendo NX". Au revoir NX, bienvenue Nintendo Switch !

Comme entendu depuis des mois lors de rumeurs insistantes, la Switch sera bien une console hybride. Comprenez qu’elle fera autant console de salon que console portable.
Nintendo explique le concept au moyen d’une longue vidéo où l’on voit un joueur passer de son salon à l’extérieur en prenant les éléments du dock et de la manette pour en faire une console portable autonome.
L’idée de pouvoir reprendre son jeu d’un support à l’autre sans avoir à éteindre/rallumer la console est séduisante.
La vidéo mise aussi sur la convivialité : plusieurs dispositions sont possibles avec les manettes détachables, appelées "Joy-Con".

Le "dock" reste à la maison près de la télé. La "Nintendo Switch Console" est l’écran qui peut être enlevé du dock et servir d’écran annexe. Avec les "Joy-Con", la console devient une vraie portable. Ils peuvent être détachés pour varier les gameplay, seul ou à plusieurs. Les jeux sont sur des cartouches semblables aux jeux 3DS. Un "Nintendo Switch Controller Pro" est une manette classique pour jouer chez soi.
Le trailer présente les premiers jeux de la Switch : une version de Skyrim (sorti en 2011 et que je viens de commencer sur PS3 !!), un Mario Kart, un Splatoon, mais surtout un tout nouveau Mario en 3D.

Nintendo communique immédiatement après avec un panel des éditeurs tiers qui rejoindraient l’aventure.

Pour moi ça risque d’être au salon avec un contrôleur pro, et la console et ses Joy-con toujours connectés, dehors comme dans le dock. Sauf pendant les sorties entre amis où on s’amusera à faire des "parties de puzzles".
Vivement les prochaines infos sur les jeux à venir. Et bien sûr une prise en mains pour savoir si la bête est confortable.
Article suivant : J’ai joué à la Nintendo Switch ! (17 janvier 2017)
Après la version Mickey Castle of Illusion sur Megadrive, on revient sur un autre excellent jeu Disney de la machine : Quackshot starring Donald Duck !
Je vous invite aussi à (re)lire le petit article que j’avais fait sur les jeux Disney sur Megadrive !
Voir toutes les autres vidéos !
À Kyoto, l’une des plus belles expériences reste la visite du sanctuaire shintoïste Fushimi Inari-taisha. Ce sanctuaire est dédié au dieu renard qui veille sur les récoltes ou tout simplement la réussite de ceux qui viennent le prier, notamment les premiers jours de l’an.

Des arches géantes dites "torii" s’y trouvent un peu partout. Il est possible, moyennant quelques milliers d’euros, d’en acheter une à titre personnel ou celui d’une entreprise pour solliciter la bonne fortune.

L’ascension du sanctuaire et ses milliers de marches est assez longue, presque éprouvante, mais apporte une réelle satisfaction, de par sa beauté. Des milliers de torii surplombent les marches. Ils sont d’un orange très dense.

Quand on regarde l’arrière de la colonne on voit le nom en japonais des personnes ou des sociétés qui les ont acheté.
On grimpe, on grimpe. Avec de temps en temps de belles choses.



Arrivé en haut, en sueur, le souffle court, on savoure le calme d’une petite place.

On y trouve un petit restaurant avec une vue magnifique sur Kyoto.


Et on commande les fameuses "nouilles du renard". (Inutile de dire qu’il n’y a pas de renard dedans)

Alentours se trouvent les lieux les plus anciens du sanctuaire. Les renards ont des bavoirs.


Dans un petit autel, un store dans lequel les gens glissent leur carte de visite. Pour leur bonne réussite professionnelle. Je ne sais pas si les chasseurs de tête montent jusqu’ici !... En tous cas la mienne, toute orange, y est !

Il ne reste plus qu’à tout redescendre !


Je n’ai pas résisté aux petites figurines du renard, qui sont propices à l’accomplissement des souhaits.

Bon et du coup, quel rapport avec Starfox ?

Tout simplement qu’un jour de l’an au début des années 90, Shigeru Miyamoto est venu se recueillir au temple Fushimi Inari-taisha pour solliciter le dieu renard. Il travaillait en effet sur un projet de jeu en 3D pour la Super Nintendo qui était très important pour la société. Ce projet, c’était bien sûr Starfox. Et c’est là que Miyamoto s’est dit qu’il pourrait tout à fait prendre le renard comme animal personnage pour son jeu ! Cela ne pouvait que placer le jeu sous les meilleures auspices !

Miyamoto reprendra aussi l’idée des arches sous lesquelles on passe... pour avoir des bonus !
Notre petit groupe se rend ensuite vers un magasin de jeux vidéo rétrogaming et c’est là que je prends une Famicom, la toute première console de salon de Nintendo (équivalente à notre bonne vieille NES) ! Tout un symbole !


À suivre !

Chroniques rétrogaming du Japon
#3 Sur les pas de Nintendo à Kyoto
#2 Les bornes d’arcade Namco
#1 Den-den Town à Osaka
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