Dernier ajout : 31 octobre.

Majora’s Mask est un Zelda, qui comme Zelda 2 sur NES en son temps, divise les joueurs. La principale chose qui lui est reprochée est son système de sauvegarde qui oblige le joueur à terminer une section du jeu (aller vers le donjon, donjon, retour du donjon) avant de pouvoir sauvegarder... et remonter le temps des trois jours sur lesquels se passe l’histoire. On perd alors rubis et franfreluches mais pas armes et pouvoirs acquis. De fait, Majora’s Mask est un jeu exigeant. Oui il exige que le joueur y soit concentré et se plonge dans l’aventure. On ne joue pas à MM pour se détendre en jouant dix minutes ! En effet, et c’est là que le titre révèle sa grandeur, c’est qu’il vous immerge dans un univers comme rarement un jeu ne l’a fait.
MM vous oblige à observer cet univers sous toutes ses coutures pendant les 72 heures qui se déroulent inlassablement jusqu’à ce que vous en ayez résolu tous les mystères. La grande force de Majora’s Mask tient dans son ambiance superbe, mélange époustoufflant de naiveté et de glauquitude(tm), dans le caractère de ses personnages, et dans la montée d’adrénaline qui vous prend alors que vous vous rendez compte que ce qui vous attend à la fin de ces 72 heures n’est autre que... la fin du monde ! Une lune démoniaque s’approchant de plus en plus de vous ! Pour l’ensemble, mais aussi pour ces heures sublimes, Majora’s Mask n’est rien d’autre qu’un chef-d’oeuvre !

- Voir ma vidéo de Zelda Majora’s Mask (2016)
Il est de ces jeux dont on ne sait rien, que l’on prend dans son cabat de Nice TNL par pure curiosité et qui deviennent votre jeu de chevet (pour la vie ?). Smash Brothers est de ceux là. S’il ne devait en rester qu’un ce serait celui-là. Une console, deux manettes, un Gasp, et c’est parti pour des heures de folies, de matchs dantesques Ness VS Pikachu où chacun essaie de varier sa tactique continuellement, où le jeu fait fusion avec les veines du joueur et où les neurones se connectent dans les membres des petits personnages rondouillards qui alimentent le titre.
Car c’est véritablement ça qui pour moi fait la force de ce jeu, et qui ne fera sans doute pas autant d’effet à une autre personne : c’est la capacité de me fondre littéralement avec les personnages. Alors coup de chance ou maniabilité ultime ? Sans doute les deux et tant mieux pour moi, j’ai trouvé mon jeu culte.
Gasp et Lionel se livrent une lutte sans merci.
Ma vidéo de gameplay de Super Smash Bros (2014) !

Que fait RYoGA alors qu’il est en train de faire de la figuration pour une pub tournée dans le cadre de son école ?

Il joue à pokémon pour tuer le temps bien sûr !
Pokémon, superbe jeu d’aventure au concept novateur, envahit ma vie (et ce pour les prochaines années à venir). J’y joue alors n’importe où, en cours aussi. Il rejoint Tetris et Zelda au panthéon des meilleurs jeux gameboy !
Player One est le magazine de Jeux-vidéo, qui au milieu des COnsole +, Joypad, Megaforce, Super Power, Banzaï ou autres Supersonic, avait ma préférence. Il y avait un esprit extraordinaire, avec l’époque de Télévisator 2 ou encore l’émission sur MCM. Les hors séries étaient aussi exceptionnels. Moi j’vous dis mon bon monsieur, c’était l’bon temps !
J’en aurais presque pleuré quand le mag s’est éteint en janvier 2000 pour une sombre histoire d’attaque en justice pour des lunettes cadeau bonus non officialisées par la loi, ce qui leur a été fatal.
On retrouve les auteurs de Player One dans le Magazine Nintendo officiel, et dans la nature.
Ma collection de Player One :

Et dans le dernier Player :

J’ai gagné Wipeout 3 sur playstation, le problème c’est que je n’avais pas de playstation mais une N64. Comme à l’époque il n’y avait pas de jeu N64 qui me tentait, j’avais mis Final Fantasy 8, le jeu du moment. Mais ils ont eu ce qu’ils ont eu ! (j’aurais peut-être même acheté la PS si j’avais gagné FF8 !).
Finalement J’ai donné le wipeout à un pote.

Tout comme Mario et Metroid, voilà une saga mythique qui a parfaitement réussi son passage à la 3D. Tous les éléments de Zelda 3 recyclés, remastérisés, transcendés, pour nous livrer une aventure épique, hyppique aussi (hum), à travers les contrées d’Hyrule gorgées de secrets, et à travers le temps. Un chef d’oeuvre total qui à travers notre souvenir franchira les portes du temps...
Je me souviens l’avoir pris un vendredi après-midi, et ne pas l’avoir lâché avant le samedi midi. Puis le refaire a toujours été un grand plaisir.
- Voir ma vidéo de Zelda Ocarina of time (2016)
Plan paru dans le player one de juillet-août 1996 :

Pour la petite histoire j’avais loué le Megaman X2 un week-end pour avoir un jeu récent à décortiquer, ce que j’ai fait pendant un week-end ! j’ai gagné Donkey Kong Country 2, j’étais TROP heureux !
Malheureusement, je n’ai pas, ni aujourd’hui ni hier, joué à tous les jeux qui composent le petit carnet... Son rôle était vraisemblablement de me permettre, le temps d’une rédaction et d’une session de découpage et de collage, de le découvrir comme si j’y jouais. D’autre part, le cahier est parcouru de jeux issus de séries aujourd’hui devenues phares, que j’ai d’une certaine manière découvertes avec des yeux nouveaux.
Aujourd’hui sort sur PS3 et 360 le dernier épisode de la série, Lords of Shadow, et autant dire que beaucoup de changements ont été opérés depuis !
Castlevania, une série de Konami à l’origine sur NES, qui se voyait naturellement adaptée sur Gameboy. Sir Belmont, Dracula, un fouet, des gigots, et c’était parti pour une chasse à travers des niveaux peuplés de goules et de pièges sadiques. Si depuis je me suis rattrapé avec les deux premiers opus NES, je ne saurais trop quoi dire sur ce deuxième épisode Game Boy, si ce n’est que Belmont a l’air plus proche du bonhomme en bois avec un bâton dans le cul qu’un grand aventurier... Enfin bon, vous savez, la magie du pixel !... Je retourne à Castlevania 4 moi !
Edit : alors il se trouve que depuis, suite à cette résurrection d’outre-tombe, je me suis procuré cet opus qui est ma foi très bon ! Les musiques sont splendides !
On continue de passer en revue les petits carnets que je faisais petit sur les jeux vidéo ! Aujourd’hui, voilà l’emblématique personnage de Capcom, l’increvable Megaman !
La série des Megaman compte une multitudes d’épisodes depuis sa création en 1987. Il est sorti par exemple rien que sur NES 6 épisodes et 5 sur Gameboy ! Pour tout vous dire, je crois bien n’avoir joué qu’au premier sur Gameboy et à l’excellent Megaman 2 sur NES.
Megaman 2 sur Gameboy reprend les niveaux thématiques de l’épisode NES. On ne sera donc pas trop perdu ! Mais pour l’heure, en attendant une rétrospective de la saga, voici la -ici simple- page du cahier consacrée à Megaman 2 sur Gameboy ! Une simple page ? Allez savoir pourquoi je n’ai pas dépecé les Console+ de l’époque !...
Et voici une vidéo pour se rendre compte de ce que ça donnait. Encore un jeu reconnu pour sa difficulté légendaire (quand on était petit du moins !)
Et tiens, puisqu’on est dans Megaman 2, que je sais que vous avez du mal à avaler l’histoire de la simple page, voici un plan que j’avais fait en 1996 pour Megaman X2 sur Super Nintendo ! J’avais loué le jeu un week-end, fait le plan, et envoyé à la rubrique concours de Player One. Hé ben j’avais gagné !

Sinon, aujourd’hui, je ne sais pas trop, je n’ai pas accroché plus que ça aux suites surfant sur cette belle époque, les auto-assumés régressifs Megaman 9 et 10 en téléchargements.
A venir : Castlevania 2 !
Prince of Persia ? Non, ce n’est pas le titre du dernier blockbuster des producteurs de Pirates des Caraïbes !!...
Si aujourd’hui on se plaint des jeux vidéo à la durée de vie inférieure à dix heures, sachez que Prince of Persia se bouclait en tout juste une heure. Scandaleux n’est-ce pas ?... Mais non voyons, nous ne parlons pas du tout de la même chose !
PoP (pour les intimes) nous mettait dans la peau du Prince, et nous avions effectivement une heure pour déjouer tous les pièges de l’infernal donjon dans lequel nous sommes enfermé. Dalles qui s’écroulent, pics acérés, faux tranchantes, rien ne nous sera épargné jusqu’au combat final contre Jafar. Le chrono tourne et vous devrez tout mémoriser pour arriver au bout !
Après un long temps d’absence (d’oubli on va dire), revoilà les scans des petits carnets que je faisais étant enfant au sujet des jeux vidéo que j’aimais ou qui m’inspiraient ! On reprend donc celui du Gameboy avec les Simpsons, Escape from Camp Deadly !
Voilà un jeu Gameboy typique de ce qui se faisait à l’époque : bizarrement conçu, difficile, mais licence oblige, une aura particulière qui faisait que l’on s’accrochait malgré tout pour en voir le bout ! Détail impressionnant du titre à l’époque : des voix digitalisées dont le fameux "eat my shorts" que Bart lançait quand il se faisait toucher !
En effet, les Simpsons, Escape from Camp Deadly, sorti et joué à l’été 1991, me laisse le souvenir d’une vraie torture, à l’image de son thème, où Bart doit s’échapper d’un camp de vacances dirigé par une mono dictatoriale ! On pourra dire qu’étant petits on a été formé pour résister à toutes les souffrances !
Et merci à l’auteur de cette vidéo de nous rassurer en nous montrant que ce n’est pas si difficile que ça !
A venir : Megaman 2 !
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