La suite !
jeudi 16 février 2006, par RYoGA
La suite !
un gros pouf..mon reve
(attention ne pas confondre avec la grosse pouf...)
oui les blogs, c’est la mode, tout le monde en a un(meme moi qui pourtant ne porte jamais de fringue à la mode, parceque ca me gave)
mais c’est une facon indirecte de communiquer avec des gens qui ont les memes centres d’interet que nous , de proposer un sujet et d’exposer son point de vue...
et puis....dessinerais tu autant si tu n’avais pas de blog ?
;)
encore plein de note comme ca m’sieur RYoGA
Vaste sujet de refexion ! D’ailleurs je m’interesse beaucoup au phénomène des bogs BD d’un point de vue sociologique et technique (tous mes dossier de curs ont un rapport avec quasiment) !
Je pourrais te donner ma theorie personelle sur le sujet mais elle serait forcement longue,fastidieuse et incomplete !
inon pour le jeu de mot du titre de la note \o/ yeah \o/ !
Béji > Ebaudidi n’est pas (encore) mort. Mais c’est des vieux faut les comprendre, c’est pas le même rythme de bloguage hein !
Batardize > non, le orange, toujours.
Kéké > je n’ai pas un tel fauteuil, comme le dit d’entrée Chat Laid
Tous > La péroraison
« La péroraison est l’une des cinq parties canoniques du discours : c’en est le couronnement. C’est dire l’importance de ce moment ultime, qui est le dernier feu de l’orateur, et doit de ce fait produire l’impression décisive pour emporter la conviction des auditeurs. »a
La péroraison met fin au discours. Elle peut être longue et se diviser en parties : l’amplification où l’on insiste sur la gravité, la passion pour susciter passion ou indignation, la récapitulation où l’on résume l’argumentation. Pour Cicéron, dans De inventione, la péroraison peut être un résumé (enumeratio), un mystère (enigmatio) ou un appel à la pitié (conquestio).
D’après le Dictionnaire de rhétorique de G. Molinié (Le Livre de Poche).
Et merci à Yannick Dahan pour la découverte !